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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme

16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 23:21

POUR NOS AMIS ET BIEN FAITEURS, POUR NOS ENNEMIS

 

Sainte Gertrude ayant, sur l'invitation de Notre-Seigneur, prié de cette manière pour les personnes qui lui étaient chères, notre Bon Sauveur usa envers chacune d'elles d'une compassion pleine de condescendance et d'amour, en remettant sous Ses yeux, dans la lumière de Sa connaissance divine, chacun de leurs besoins.  

 

« O bon Jésus, je vous présente tous ceux qui se sont recommandés à mes indignes prières, et je les confie à cette Divine Connaissance et à cet Amour qui sont en Vous, et qui Vous ont porté à descendre du sein de Votre Père sur la terre pour sauver l'homme.

 

En union de cet amour avec lequel Vous avez remis Votre esprit à Votre Père, je les remets et Je les renferme dans Votre très doux Cœur; et je Vous offre et je Vous donne ce même Cœur Divin, en union de l'amour qui Vous a fait unir ce Cœur humain avec Votre Divinité pour le salut des hommes : je vous offre Votre Cœur, que Vous avez souvent donné à Vos amis comme un gage spécial de Votre amour, afin que vous y puisiez des biens à répandre sur ceux pour lesquels je Vous prie et je dois vous prier. –

 

(C'est Jésus qui a appris cette prière à Sainte Gertrude). 

 

Dites ensuite un Pater, et offrez-le comme suit:

 

Bon Jésus, je Vous offre cette prière pour Votre éternelle gloire, afin que, par elle, Vous répandiez Vos bienfaits sur Vos amis et sur mes amis en particulier, selon le bon plaisir de Votre Divine Tendresse. Ainsi soit-il.

 

De la même manière, Sainte Gertrude offrit, à la grande satisfaction du Sauveur, un Miserere pour les personnes qui lui étaient chères.

 

Si vous voulez savoir combien il est utile de prier pour les autres, écoutez les paroles du Sauveur à Sainte Gertrude: Comme il est impossible que le cœur de celui à qui on transperce les pieds reste sans douleur, ainsi il est impossible à Ma tendresse paternelle de ne pas regarder avec amour, et de ne pas enrichir de Mes miséricordes celui qui ne cesse de Me supplier par charité pour le salut du prochain, bien que, chargé de ses propres péchés, il reconnaisse qu'il a besoin le premier des effets de Ma Divine Miséricorde.

 

PRIÈRE POUR LES ENNEMIS ET PERSÉCUTEURS

 

Sainte Gertrude avant récité la prière suivante. Jésus se prosterna devant Dieu Son Père, et offrit pour elle le fruit de toute Sa très Sainte Vie, afin d'effacer tous les péchés qu’elle n’avait jamais commis.  

  

« Seigneur Jésus, en union de cette indicible douceur et de cet amour avec lesquels, même au milieu des inexprimables douleurs de Votre Passion et des tourments de Votre mort, Vous avez prié pour Vos bourreaux, en disant: Mon Père, pardonnez-leur : je Vous supplie, du fond de mon cœur, de daigner pardonner à tous ceux qui m'ont jamais offensé en quelque chose. »   

Ainsi soit-il.

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 23:15
13 novembre 1791. Sous la pression maçonnique, Louis XVI accorde la citoyenneté aux juifs vivant en France. Une erreur qui s’avérera tragique.
Le remède à la situation actuelle découle naturellement de notre exposé. Indiquer ce remède est cependant autre chose que l’appliquer. Pour y arriver, il faudra vaincre la répugnance de ceux qui considèrent encore l’émancipation des Juifs comme un progrès.
II est absolument nécessaire de changer cette mentalité en les amenant à reconnaître leur erreur et à faire marche en arrière.Lorsqu’un homme se rend compte qu’il a fait fausse route, il doit avoir le courage de rebrousser chemin. Ceci vaut aussi pour les peuples.
Tout en accordant aux Juifs la liberté de leur culte et la sécurité de leur personne, il faut limiter leurs droits civiques. C’est –à -dire qu’il faut les traiter comme n’importe quel étranger. « Ni élu, ni éligible, ni électeur, ni citoyen » disait l’abbé Charles. Toute personne habitant à l’étranger sait qu’il ne doit pas se mêler des affaires publiques du pays qui lui offre l’hospitalité. Il peut être parfaitement heureux sans être électeur ou éligible. La situation politique des Juifs, tant qu’ils se trouveront encore chez nous, est ·donc parfaitement claire.
Quant à leur situation sociale, nous avons exposé que, pendant de longs siècles, l’Église a exclu les Juifs de tous les emplois publics leur conférant une autorité sur les chrétiens.
L’expérience nous a montré les suites désastreuses de l’abandon de ces mesures de protection. Il faut donc revenir aux lois qui écartent les Juifs de toute fonction sociale dans laquelle la conscience chrétienne aura à se prononcer.
Ainsi un Juif ne pourra entrer ni dans la magistrature, ni dans l’administration. Il pourra encore moins être appelé à une fonction dans l’enseignement primaire, secondaire ou supérieur. L’oeuvre juive de déchristianisation et de corruption a toujours visé en premier lieu l’enseignement et les lois qui le concernent.
Nous ne pouvons empêcher les Juifs de continuer leurs expériences qu’en revenant sur le chemin que saint Thomas d’Aquin nous a tracé : liberté pour les Juifs, protection des chrétiens. Que signifie cette liberté pour les Juifs ? C’est la liberté d’exercer leur culte, c’est la liberté d’élever leurs enfants dans la religion juive, c’est la liberté d’observer leur sabbat.
Ayant accordé cette liberté aux Juifs, saint Thomas demande la protection des chrétiens. Il faut que l’autorité empêche les Juifs d’attaquer la foi des chrétiens, qu’elle protège le peuple contre les tentatives de corruption de la part des Juifs. Saint Thomas conseille aux chrétiens d’être prudents dans leurs rapports avec les Juifs, d’éviter des relations intimes ou familières, de ne pas leur confier des charges publiques, de ne leur donner aucune juridiction sur les chrétiens ; en résumé, de ne leur confier aucun poste qui leur permettrait d’exercer quelque autorité ou influence sur les chrétiens.
L’antisémitisme de saint Thomas n’était autre chose que l’exercice du droit de légitime défense. Pour être efficace, cette défense légitime doit être accompagnée d’une renaissance religieuse.
Et c’est là que nous nous séparons de ceux qui partagent nos idées quant au danger juif, mais qui veulent y remédier en dehors du christianisme. Pour obtenir un résultat durable, il faut l’harmonie entre l’esprit et la matière. Il faut que les mesures pratiques que nous préconisons soient accompagnées d’un redressement des esprits.
Si notre société ne revient pas à la foi et aux principes chrétiens, nous ne sortirons pas du cercle vicieux dans lequel nous nous débattons. Si les Juifs réussissent dans leurs entreprises, c’est parce que les chrétiens ont affaibli leur défense en ne vivant plus d’après les préceptes de l’Église.
D’autre part, la vie publique ayant été ainsi déchristianisée, les Juifs exercent sur elle une influence toujours plus grande. La petite pierre détachée de la montagne, se transforme en avalanche dévastatrice lorsqu’elle ne rencontre pas d’obstacle capable d’arrêter sa course folle.
H. de Vries de Heekelingen – Juifs et catholiques (1939)

http://bibliothequedecombat.wordpress.com/2013/07/16/lemancipation-des-juifs-est-un-echec/

 

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 02:18

  

Témoignage de SS Paul VI  sur son état d’âme.

 

Il nous arrivait souvent de remarquer, sur les photographies de S S Paul VI, dès le début de son pontificat, une expression de tristesse et parfois d'angoisse. Lui-même, en diverses audiences, n'a-t-il pas confié à ses visiteurs que ses peines avaient souvent « le goût de l'agonie »? Telle, cette confidence lors de l’audience du 21 Juin 1964. Il se confie d’abord très humainement en disant : je. Puis il reprend le Nous pontifical traditionnel, qu’il assume pleinement.

 

« ...Même le Pape a besoin de réconfort. Je ne dresserai pas la liste de mes ennuis, elle serait trop longue. Pour un observateur superficiel, le Pape peut sembler vivre dans une atmosphère de sérénité suprême, où tout est magnifique, tout facile, tout admirable. Le Pape, bien qu'il soit réconforté par l'assistance spirituelle qui lui vient du Ciel, a ses peines qui lui viennent avant tout de son insuffisance humaine, parfois en conflit avec l'ensemble énorme et démesuré de ses devoirs, de ses problèmes, de ses responsabilités... Ses peines ont parfois le goût de l'agonie. »

 

«, Que dirions-nous d'une autre peine si courante aujourd'hui, celle de voir incomprise la pensée et repoussée la charité de l'Église? L'inefficacité du labeur apostolique et l'étude mauvaise qui en déforme parfois les intentions sont des épines profondes et quotidiennes pour le cœur du Pasteur de l'Église et elles le sont pour Nous aussi. » »

 

 « Nous vous demandons de prier pour Nous, d'offrir vos prières pour Notre humble personne et Notre grande mission, de prier pour que le Seigneur ait pitié de Nous, pour le Christ accepte d'être présent dans notre humble travail. »

 

Plus encore que les photographies, ce témoignage est la « preuve par l’âme » qui est inimitable et à cela nous le reconnaîtrons…

Même à ses adversaires de droite ou de gauche, du dedans ou du dehors, SS Paul VI est apparu soucieux, angoissé, à vif; (J’en ai été le témoin visuel) La confidence qui précède est de 1964 à la fin du Concile Vatican II ; il souffre physiquement d’une arthrose des genoux qui va bientôt gêner beaucoup ses déplacements. Mais c’est surtout intérieurement qu’il souffre. Il souffre comme un père, un pasteur, un pape. C’est sa charge.

 

C’est par amour qu’il souffre. C’est pour nous. Il souffre des persécutions internes, externes qui le réduisent à l’impuissance. Il est incompris, trahi, calomnié à un degré inimaginable au point d’en pleurer publiquement.

 

Il souffre comme ont souffert les papes depuis la Révolution, qui veut en finir avec la PAPAUTÉ. Qui supprime le pasteur, disperse le troupeau. Dans le secret de la Salette, Notre Dame nous le répète :

 

 « Le Vicaire de Mon fils aura beaucoup à souffrir… Le Saint Père souffrira beaucoup. Je serai avec lui jusqu'à la fin pour recevoir son sacrifice… »

 

Elle nous le redit à Fatima et en bien d’autres lieux d’apparition, demandant dans des messages pressants qu’on prie pour le pape légitime» Car pour elle, le pape légitime et Église c’est tout un.

 

Elle n’a jamais dit que dans la crise affreuse il n’y aurait plus de pape légitime pendant un demi-siècle. La « crise affreuse » de l’Église est également la crise affreuse pour le Pape légitimement couronné et assermenté.

 

Les W…R…B…. ne correspondant à ces critères, le vrai pape est donc SS Paul VI qui souffre en exil aujourd’hui.

Soyons donc compatissants Souffrons avec lui avec patience car l’Heure de Vérité est proche…

 

Merci à ses adversaires de respecter sa souffrance et la nôtre.

 

Tout humain, créé par Dieu, qui souffre ou a souffert a droit au respect de sa vie et/ou de sa mémoire…

 

SS Paul VI s’adresse à tous ceux qui souffrent – 8 Décembre 1965 (extrait)

 

« ….Mais nous avons quelque chose de plus profond et de plus précieux à vous donner: la seule vérité capable de répondre au mystère de la souffrance et de vous apporter un soulagement sans illusion: la foi et l’union à l’Homme des douleurs, au Christ, Fils de Dieu, mis en croix pour nos péchés et pour notre salut.

 

Le Christ n’a pas supprimé la souffrance; Il n’a même pas voulu nous en dévoiler entièrement le mystère: Il l’a prise sur Lui, et c’est assez pour que nous en comprenions tout le prix.

 

O vous tous, qui sentez plus lourdement le poids de la croix, vous qui êtes pauvres et délaissés, vous qui pleurez, vous qui êtes persécutés pour la justice, vous sur lesquels on se tait, vous les inconnus de la douleur, reprenez courage; vous êtes les préférés du royaume de Dieu, le royaume de l’espérance, du bonheur et de la vie; vous êtes les frères du Christ souffrant; et avec Lui, si vous le voulez, vous sauvez le monde! … »

 

   Prions pour tous ceux que le mensonge satanique veut « délivrer » de la souffrance par la mort. Retrouvons le sens de la Croix, unique espérance, clé de l’Éternel Paradis.     

 

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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 01:38

 

ORIGINES DU SCAPULAIRE (Il y a 762 ans)

 

Le 16 juillet 1251, Simon Stock, moine anglais, alors Général de l'Ordre du Carmel, suppliait la glo­rieuse Vierge, Mère de Dieu et Patronne de l'Ordre, de doter de quelque privilège spécial les Frères qui portaient son nom, afin de mettre un terme aux persécu­tions incessantes suscitées par l'envie et la jalousie et qui menaçaient de les anéantir. Souvent, à travers ses pleurs et ses sanglots, il redisait à la Madone:

 

« Fleur du Carmel, vigne fleurie, « Splendeur du ciel, Vierge Marie, 

« Mère incomparable, « Douce Mère qui ne connut point d'homme, « Aux enfants du Carmel donnez un gage tangible de votre protection,

« Étoile de la mer.»

 

Sa foi fut merveilleusement exaucée. Pendant la nuit du 15 au 16 juillet 1251, alors qu'il renouvelait son instante prière, la Reine du ciel lui apparut environnée d'une multitude d'anges, et tenant un scapulaire en main, elle lui dit ces mémorables paroles :

 

« Reçois, mon cher fils, ce scapulaire de ton Ordre comme le signe distinctif de ma confrérie et la marque du privilège que j'ai obtenu pour toi et les enfants du Carmel. Celui qui mourra revêtu de cet habit sera sauvé, il ne souffrira jamais des feux éternels. C'est un signe de salut. Une sauvegarde dans les dangers, un gage de paix et d'éternelle alliance. »

 

Une relation de saint Simon Stock et une bulle du pape Jean XXII prouvèrent l'authenticité de cette royale et maternelle faveur de la Reine du Carmel. C'est ce qui a donné naissance à la célèbre Confrérie de Notre Dame du Mont Carmel, enrichie de si nombreuses indulgences et qui s'est répandue dans le monde entier. Tous les fidèles qui entrent dans cette Confrérie — généralement à l'époque de la première communion — participent aux mêmes privilèges que les membres de l'Ordre. Et c'est la catholicité presque entière qui constitue, de fait, l'innombrable famille du Carmel.

Mais la Très Sainte Vierge, par une munificence nouvelle, voulut ajouter encore à ce premier bienfait. Le 3 mars 1322, elle apparut au pape Jean XXII et voici ce qu'on lit dans un ancien document qui a popularisé la « Bulle sabbatine ».

 

« Le pape Jean XXII, profondément angoissé en son âme et en butte en même temps à la tribulation extérieure, plaçait avant tout sa confiance dans la glorieuse Vierge Marie, Mère de Dieu. Un certain jour, avant son élection, tandis qu'il était plongé dans la prière et implorait dévotement le secours de Marie, cette bienheureuse et toujours Vierge Marie, Mère de Dieu, lui apparut revêtue du costume de l'Ordre du Carmel et lui tint ce langage:

 

« O Jean! O Jean!... Vicaire de mon Fils bien-aimé, de même que je te délivrerai de ton adversaire, ainsi par l'effet de mes prières adressées à mon très cher Fils, je te fais Pape et te constitue Vicaire de mon Fils. Vois donc, comme moi je t'ai ob­tenu cette grâce magnifique pour que tu la payes à mon Ordre, à mes frères particuliers et que tu confirmes la Règle que commencèrent à vivre Elie et Élisée au Mont Carmel et que composa mon serviteur, le patriarche Albert, et comme Inno­cent, Vicaire de mon Fils et ton prédécesseur, leur imposa cette Règle pour la rémission de leurs pé­chés, de même donneras-tu à mon Ordre, en mon nom et au nom de mon Fils ce privilège : Que qui­conque entrera en cet Ordre et observera dévo­tement ce genre de vie, sera sauvé éternellement et délivré de la peine et de la coulpe. Et si au jour de leur passage en l'autre vie ils sont amenés au purgatoire, j'y descendrai le samedi qui suivra leur décès et je délivrerai ceux que j'y trouverai et les ramènerai à la montagne sainte et à la vie éternelle.»

 

Par ce second privilège, la Reine du ciel s'est engagée à consoler, à soulager et à faire sortir du purgatoire le plus tôt possible les confrères qui ont porté le scapulaire de Notre Dame du Mont Carmel pendant leur vie. Cette promesse, faite soixante dix ans après la première, fut publiée par le pape Jean XXII dans une bulle célèbre, communément appelée « Bulle sabbatine ». L'authenticité d'un privilège aussi extraordinaire fut attaquée à diverses reprises, mais plusieurs souverains pontifes en prirent la défense. Paul V, en particulier, fit publier en 1613 un décret dans lequel il déclare ce qui suit :

 

« II est permis aux Pères Carmes de prêcher que les fidèles peuvent admettre la pieuse croyance au secours accordé, après leur mort, aux religieux et aux confrères de l'Association de Notre-Dame du Mont Carmel. Il est permis, en effet, de croire que la très sainte Vierge aidera les âmes des religieux et des confrères morts en état de grâce, pourvu qu'ils aient porté le scapulaire, gardé la chasteté selon leur état et récité le petit Office de la Sainte Vierge, ou s'ils ne savent pas lire, pourvu qu'ils aient observé les jeûnes de l'Église et se soient abstenus de manger de la viande le mercredi et le samedi, à moins que la fête de Noël ne tombe l'un de ces jours.* Les prières conti­nuelles de Marie, ses pieux suffrages, ses mérites et sa spéciale protection leur sont assurés après leur mort, surtout le samedi qui est le jour con­sacré à la sainte Vierge. »

 

Un siècle plus tard, Benoît XIII, voulant augmenter encore dans les âmes la dévotion au scapulaire, ordonna que dans toute l'Église, chaque année, le 16 juillet, on réciterait l'office et on célébrerait la messe de Notre-Dame du Mont Carmel. A cette occasion, il fit insérer dans le Bréviaire une leçon, la sixième, qui tout en reproduisant en substance le décret de Paul V, cité plus haut, fait connaître davantage l'affection et la sollicitude maternelle dont la Vierge Marie entourera ses protégés au purgatoire.

 

C'est donc de Rome même que les Carmes reçoi­vent la permission de prêcher le privilège en question, privilège réservé tout d'abord aux religieux et aux moniales du Carmel puis aux tertiaires du même Or­dre, et enfin à tous les membres de la Confrérie du Scapulaire. Si ce privilège ne laisse pas d'offrir de très précieux avantages, il faut toutefois nous garder d'une fausse sécurité qui nous ferait négliger l'expiation de nos fautes dès cette vie, sous le prétexte que Marie nous soulagera dans le purgatoire et nous en fera sor­tir promptement. Il est donc important de se bien rap­peler les conditions énumérées dans le décret de Paul V, conditions qui ont été posées par la sainte Vierge elle-même.

 

Note : *. — L'une et l'autre de ces obligations peuvent être commuées, pour raisons sérieuses, en d'autres œuvres pies, par exemple, la récitation quotidienne du chapelet ou de sept Pater, Ave et Gloria. Tout confesseur a ce pouvoir de commuer (Léon XIII, 14 juin 1901). « L'œuvre à imposer dans ces commutations dépend du prêtre autorisé à cet effet; celui-ci en jugera suivant la gravite des motifs, en tenant compte de la condition, de la santé et des diverses circonstances de ceux en faveur de qui il use de son pouvoir ».

(Cf. beringer, Les indulgences, tome 2, page 191 — 1932). Le petit office de la Sainte Vierge peut être récité en langue vul­gaire (Léon XIII, 14 juin 1901).

 

 

Extrait de : LE    SCAPULAIRE DE NOTRE-DAME DU MONT-CARMEL

                   Par une Carmélite de Montréal. (1955)

 

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 07:01

Prière à SAINT BENOIT, pour les agonisants et tous ceux qui sont en danger.

Confions à ce grand saint tous ceux qui meurent sans secours et ceux qui doivent accompagner les grands malades ou blessés, à qui on ne propose plus que l’euthanasie…. (Fête le 11 Juillet selon le nouveau calendrier – Selon la tradition le 21Mars)

 

Saint Benoît dit un jour à Sainte Gertrude, que si quelqu'un lui rappelle avec dévotion ce privilège qu'il a eu de mourir debout et en priant, il l'assistera si fidèlement à l'heure de la mort qu'il s'opposera à l'ennemi du salut, là surtout où l’assaut sera le plus fort.

 

« Glorieux Patriarche, Saint  Benoît, je vous rappelle ce privilège dont Dieu a daigné vous honorer avec tant de gloire, en vous accordant de rendre le dernier soupir en même temps que vous profériez une parole de prière ; d'où il est résulté que votre bouche exhale un parfum très suave, qui vous est particulier et qui charme les autres habitants du Ciel : Je vous demande qu'à l'heure de ma mort, vous veuillez bien m'assister si fidèlement que, partout où vous verrez se diriger plus cruellement contre moi les embûches de l'ennemi, vous vous y opposiez; afin que, défendu par votre présence ; j'échappe sûrement à ses pièges et j'arrive aux joies du Ciel pour en jouir à jamais. Ainsi soit-il.

 

Saint Benoît, intercédez pour les pauvres âmes en péril.

 

Tous les saints bénédictins, priez pour l’Église en péril.

 

 Ainsi soit-il

http://amdg.over-blog.fr/saint-benoit-en-notre-secours

 

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 06:43
L’enfer a déchaîné les erreurs funestes du Paganisme autrefois vaincu ; il a appelé sous son drapeau la haine antique de la Synagogue déchue et l’audace exaspérée du peuple déicide…
Il a enrôlé dans son armée toutes les passions violentes de l’humanité viciée (…). Toutes ces forces, l’Enfer les a organisées et les dirige contre l’Église de Christ (…). Le Paganisme, le Judaïsme, l’apostasie, les vices et les passions, sous la suprême direction de Lucifer, montent ensemble à l’assaut de l’Église (…).
L’Épouse du Sauveur est accoutumée à vaincre par la souffrance. Le peuple d’Israël, qu’il est grand et majestueux tant qu’il marche avec le Seigneur, mais qu’il est terrible et horrible dans sa haine contre son Messie qu’il a méconnu et tué sur la Croix ! S’il voulait seulement s’élever du sens matériel de ses Livres saints au sens spirituel, il serait sauvé…. Mais il ne le veut pas. Son aveuglement est volontaire… l’orgueil en est l’explication. (…)
L’orgueil d’une grande intelligence préfère mille fois souffrir que de s’abaisser et reconnaître son erreur. Aussitôt qu’il s’humilie devant Dieu, le Juif voit : "il tombe de ses yeux comme des écailles" (Actes IX, 18)…
Pourquoi donc les Juifs ne voient-ils pas la vérité ? Pourquoi – orgueilleusement – la cherchent-ils dans une Cabale foncièrement antirationnelle et ouvertement satanique ? N’espérez pas, ô Juifs, pouvoir échapper à la calamité qui vous menace encore une fois ! Votre nation déicide est dans ce moment arrivée à une de ces apogées de pouvoir… qui doit aboutir, comme toujours, à un grand malheur national.
Le jour qui vous écrasera sera la veille d’une expansion vitale de l’Église, votre victime, telle que l’Histoire n’en a jamais vue. Vos prophètes le lui ont promis !
L. Meurin, (Mgr),  La franc-maçonnerie synagogue de Satan, Bureau de la bibliothèque du clergé, 1893, pp. 414 – 415.

http://bibliothequedecombat.wordpress.com/2013/05/17/laveuglement-de-la-synagogue-est-volontaire/

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14 juillet 2013 7 14 /07 /juillet /2013 01:07

11 juillet

SAINT PIE, PAPE ET MARTYR (II e SIÈCLE ).

Ce saint naquit à Aquilée. Admis dans le clergé de Rome, il devint pape sous Antonin le Pieux, en l’année 142 ( 148 ? ), et succéda à saint Hygin. Dans cette haute dignité, il déploya un grand zèle pour la religion de Jésus-Christ, dont il était le vicaire. Il établit des peines contre les prêtres qui, par négligence, laisseraient tomber par terre, ou même sur l’autel, quelque parcelle du corps de Notre-Seigneur dans la sainte Eucharistie, ou quelques gouttes du précieux sang. Il ordonne de les cueillir avec la langue, si c’est possible; et, dans le cas contraire, de racler l’endroit et de jeter au feu ce qui aurait été recueilli. Il condamna l’hérésiarque Valentin, qui enseignait une espèce d’illuminisme, connu alors sous le nom de Gnosticisme. Il eut beaucoup à souffrir pour la foi, subit même le martyre en 157, et fut enseveli dans le Vatican, après avoir siégé neuf ans et demi.

 

PRATIQUES. — Que de saints et de martyrs parmi ceux qui ont siégé sur la chaire de saint Pierre ! Dans cette longue chaîne d’hommes vénérables, c’est à peine si l’on compte quelques très rares exceptions, dans une série de dix-neuf siècles. Quelle est l’institution qui puisse présenter un phénomène semblable ? Soyons pleins de respect pour le Saint-Siège ( Paul VI toujours vivant en 2013 ), de dévouement et de docilité à ses enseignements.

PRIÈRE. — Nous croyons fermement, ô Jésus, que vous résidez en corps, âme et divinité dans le sacrement de votre amour. Faites que nous ne manquions jamais de respect à votre sainte et adorable présence, et que nous vous recevions toujours avec la plus grande pureté de cœur.

 

A.I.

 

http://yannickcharbonnelreligion.blogspot.ca/

 

 

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