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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme

9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 01:56
« L’Avertissement que la Vierge va nous envoyer, ce sera comme un châtiment pour rapprocher les bons da­vantage de Dieu, et pour avertir les autres.

En quoi consistera l’Avertissement, je ne puis le révéler. La Vierge ne m’a pas dit de le dire, ni rien de plus.

Dieu voudrait que grâce à cet Avertissement, nous nous amendions, et que nous commettions moins de péchés contre Lui ».

 

« Il arrivera au plus fort de la tourmente ».

 

Chacun se verra face à lui-même comme dans un miroir. Nous verrons le mal que nous avons fait et le bien que nous aurions pu faire. Ce sera comme un mini-purgatoire.

 

ll viendra avec certitude et moins d’un an avant le Grand Miracle.

 

Ce sera un phénomène astral visible du monde entier.

 

“Ce sera comme le choc de deux étoiles, mais ça ne tombera pas.”

 

« Ce sera comme du feu. Il ne brûlera pas notre chair, mais nous le ressentirons corporellement et intérieurement ».

 

Toutes les nations et toutes les personnes le ressentiront de même.

« Si je ne connaissais pas l’autre châtiment qui viendra, je te dirais qu’il n’y a pas de plus grand châtiment que l’Avertissement ». (Conchita)

 

http://myriamir.wordpress.com/tag/garabandal-propheties/

 

 

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8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 12:40

 

 

 

 


 

 

 

En septembre 1963, à table avec des français à Garabandal,
Conchita se tait soudain et semble se concentrer.


Sa figure s'allume. Elle dit :


"Le miracle arrivera le jour de la fête d'un jeune martyr de l'Eucharistie...


C'était un garçon qui portait la communion aux chrétiens persécutés.


En le voyant ses compagnons voulurent l'obliger à rester avec eux pour jouer.


Furieux de son refus, ils le lapidèrent et le laissèrent pour mort.
Puis vint un soldat chrétien qui le prit et l'emporta dans ses bras."


Elle ne sembla pas remarquer le cri d'un assistant : "Mais c'est Saint Tarcissius !"



C'est le seul saint qui correspond exactement à la description donnée par Conchita.


Sa fête est le 15 août.


Comme on tient d'elle que le grand miracle aura lieu un jeudi,
le premier jeudi de cette fête à partir de 2012 est le jeudi 15 août 2013.



http://www.garabandal-story.com/aproposdemoi1/index.html
 

 

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8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 08:50

Quel que soit le degré de vertu où l'on est arrivé, on doit toujours s'estimer bien loin de ce qu'on devrait être. « Mes frères, disait saint Paul, je ne crois pas avoir atteint la perfection. Oubliant le bien que j'ai pu faire et m'avançant vers ce qui me reste encore à faire, je m'efforce de parvenir au but. »

 

Voilà notre modèle. Nous ne devons jamais croire avoir assez fait pour le salut. Le bien passé, il faut l'oublier, et ne pas plus s'en souvenir que si on ne l'avait jamais fait, parce que son souvenir produirait en nous l'or­gueil et le relâchement. Le bien qui nous reste à faire, il faut l'avoir toujours devant les yeux pour y travailler toujours. Le débiteur, tant qu'il n'a pas payé sa dette entière, ne se tranquillise pas sur ce qu'il en a payé une partie. Il songe sans cesse à ce qui lui reste à payer et ne néglige aucun moyen d'y satisfaire.

 

Le voyageur ne s'arrête pas dans son chemin, sous prétexte qu'il en a fait une partie ; il continue sa route jusqu'à ce qu'il soit arrivé au terme. L'athlète, qui sait que le prix de la course n'est qu'au bout de la carrière, se porte toujours en avant jusqu'à ce qu'il ait atteint le but. L'homme de négoce ne manque pas les occasions de faire profit, sous prétexte qu'il a déjà beaucoup gagné.

 

Ainsi devons-nous raisonner dans l'affaire de notre salut ; et plus la charité sera dans notre cœur, plus nous compren­drons que nous n'avons ni assez aimé ni assez bien servi notre grand Dieu ; plus nous découvrirons en nous de misères à guérir, de défauts à corriger ; plus nous verrons dans les voies intérieures un chemin immense à parcourir ; dans les exemples de Jésus-Christ et des saints, des modèles dont nous sommes loin ; dans nos comptes avec Dieu, des dettes ef­frayantes à payer pour tant de grâces reçues, pour si peu de pénitence faite.

 

Est-ce ainsi que nous raisonnons ?

 

Cesser d'avancer dans la vertu, c'est reculer : telle est la maxime de tous les maîtres de la vie spirituelle : Qui n'avance pas, recule. Là où il n'y a pas progrès, il y a déchet ; cesser de vouloir être meilleur, c'est cesser d'être bon, et ne pas monter dans la vertu, c'est descendre. Un homme placé au milieu d'un fleuve rapide, s'il cesse un seul instant d'agir et de faire effort contre le courant, sera bientôt emporté par la vague.

 

Notre mauvaise nature est ce fleuve qui tend sans cesse à nous entraîner au mal : par conséquent, point de salut pour nous qu'à la condition d'efforts incessants pour avancer en sens contraire. Une chrétienne ne peut donc pas dire : Je veux demeurer telle que je suis, ni meilleure ni pire. C'est là chose impossible : on ne demeure jamais dans le même état: ou l'on fait effort pour devenir meilleure, et chaque effort est un acte de vertu qui nous perfectionne ; ou on languit sans rien faire pour avancer, et cette langueur seule est une défaillance.

 

C'est un abus coupable de la grâce. « La terre, dit saint Paul, qui reçoit la rosée du ciel sans produire aucun fruit, est ré­prouvée et près d'être maudite. » Cette terre, évidemment, c'est notre âme, sur laquelle les grâces de Dieu ne cessent de pleuvoir ; et n'en pas profiter, c'est attirer sur soi des anathèmes.

 

Il est donc bien établi que ne pas avancer, c'est reculer ; que ne pas monter, c'est descendre : il n'y a point de milieu. Or combien n'est-ce pas malheureux de retourner en arrière après avoir longtemps cheminé ? Si Nôtre Seigneur déclare impropre au royaume des cieux celui qui jette seulement le regard en arrière, que sera-ce de celui qui recule ?

 

Interrogeons ici notre conscience: ne reculons-nous pas dans la voie de la vertu, au lieu d'avancer ? Comprenons combien c'est dangereux pour le salut ! Et décidons-nous sérieuse­ment à faire nos actions avec toute la perfection possible, à nous examiner là-dessus après les avoir faites, à nous punir s'il y a eu faute, négligence, lâcheté.

 

C'est le lieu de dire un mot ici des personnes qui, loin de vouloir progresser, prétendent se contenter du strict nécessaire en alléguant pour raison qu'il n'en faut pas plus pour faire son salut. Un écrivain distingué, Eugène de Margerie fait à ce sujet de très sages réflexions, qu'on ne saurait trop méditer.

 

« J'ai connu, dit-il, des jeunes gens qui appartenaient à des familles chrétiennes, qui avaient reçu l'éducation la plus irré­prochable, qui avaient traversé, sans chavirer, le passage cri­tique de l'adolescence à la jeunesse. A vingt ans, tout à coup, sous une néfaste influence, ils ont abandonné la pratique de la religion. Soyez assuré que leur foi manquait d'une base suffisante.

 

«Croyez-vous que s'ils eussent aimé Dieu de cet amour souverain qui pénètre toutes les actions et semble s'identifier avec notre sang pour remplir toutes nos veines ; croyez-vous que, s'ils avaient eu l'habitude de ne formuler aucun jugement, de n'entreprendre aucune affaire, quelle qu'elle fût, avant de le comparer à la règle suprême et infaillible de la vérité révélée ; que, s'ils eussent été pieux, en un mot, il leur eût été, je ne dis pas facile, mais possible, de mettre ainsi tout d'un coup leur foi de côté ?

 

«Ils l'ont fait, non seulement parce que les passions aiment toujours à secouer un joug importun, mais parce que Dieu, qui n'occupait qu'une place à part dans leur vie, qui n'y était qu'un accident, n'a pu empêcher d'autres préoccupations de s'implanter chez eux, et, lorsqu'elles y ont eu pris racine, d'en arracher des croyances qui manquaient à la fois de pro­fondeur et de points d'appui. »

 

Le strict nécessaire est souvent insuffisant, et les pratiques non exigées d'une manière rigoureuse sont parfois une sorte de nécessité. Ce qui perd une foule d'âmes, c'est cette fausse persuasion qu'on peut se passer des pratiques de la piété chré­tienne.

 

S'en tenir aux devoirs de rigueur, c'est croire que, pour traverser le fleuve de la vie humaine et arriver au ciel qui se voit à l'autre bord, il suffit de mener la barque en droite ligne. C'est compter sans le courant, c'est-à-dire sans les passions, les mauvais exemples, les occasions de péché, les entraînements de toute sorte : or ce courant fatal emporte avec violence la fragile nacelle et la fait descendre beaucoup plus bas qu'au point désiré. Au lieu d'aboutir au ciel, on abou­tit à l'enfer !

 

Extrait de : LECTURES MÉDITÉES (1933)

 

 

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7 août 2013 3 07 /08 /août /2013 08:40

Cette date est celle le de la mort du FAUX PAUL VI.   Ça fait 35 ans que le FAUX PAUL VI à été assassiné…!

 

Pour ceux qui veulent savoir ce qui s’est vraiment passé, voir :

 

http://paulvipapemartyr.over-blog.com/article-l-affaire-paul-vi-65046865.html

 

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6 août 2013 2 06 /08 /août /2013 23:19

 

Une personne occupée des soins de son ménage peut-elle trouver le temps de prier… 

                                 

Pour  répondre à cette question, nous ne pouvons mieux faire que de citer quelques pages des Mémoires d'une mère de famille, pages aussi suggestives que chrétiennes.

 

« Élevée  dans  l'austérité  de la foi  catholique,  j'aimais naturellement la prière et les exercices religieux. A ne con­sulter que mes goûts, j'eusse volontiers consacré une bonne partie de mon temps à méditer, à lire des livres de piété, à adorer Dieu dans son temple. Je ne sais quel attrait m'en­traînait de ce côté-là ; et si parfois le travail avait pour moi un côté déplaisant, c'était précisément en ce qu'il m'empê­chait de prier, d'aller à l'église, autant que je l'aurais voulu.

 

J'en parlai plus d'une fois à mon confesseur ; mais toujours ce bon prêtre sut me remettre et me consoler. « Les vocations  ne sont pas les mêmes», me disait-il ; par conséquent les devoirs varient. Autre chose est d'être religieuse, autre chose » est d'Être la femme d'un laboureur. Autant une sœur dans un couvent serait blâmable de livrer à des occupations profanes le temps qu'elle doit à ses exercices de piété, autant vous seriez déraisonnable de passer vos journées à l'église, pendant que votre mari a besoin de votre aide, ou que vos enfants et votre ménage réclament vos soins. Votre place est à côté de votre époux, ou dans la maison au milieu de vos enfants.

 

La bonne prière pour vous est de remplir vos devoirs avec douceur, force et patience. Je réserve, bien entendu, que vous faites exactement vos prières du matin et du soir, et que vous assistez aux offices du dimanche. Après cela, qui vous empêche d'élever souvent votre cœur vers Dieu, et de lui offrir, par de courtes et fréquentes aspirations, vos travaux et vos peines ?

 

Cette sainte habitude fera de votre vie une prière continuelle. Et comme vos occupations sont variées et distrayantes, prenez pour règle de rattacher la pensée de Dieu à des objets, à des lieux qui vous sont familiers, y traçant même des signes particuliers qui vous  rappelleront sa présence, et provoqueront votre cœur à  s'élever vers lui.

 

Un vieux proverbe disait : «Qui travaille prie ». Appliquez-le-vous ; mais en vous souvenant que le « travail n'est une prière qu'autant qu'il est fait pour Dieu et sous l'œil de Dieu. »

 

Je tâchais de conformer ma vie à ces sages avis. Ainsi, quel­que pressée que je fusse de me mettre à l'œuvre, je ne faisais rien avant d'avoir offert à Dieu ma prière du matin. Je sais combien de femmes se dispensent de ce devoir, sous prétexte que le temps leur manque ; pour mon compte, j'ai toujours cru avoir le temps de rendre mes hommages à mon Créateur, et de travailler au salut de mon âme.

 

Ah ! Si Dieu avait tous les moments qu'on perd chaque jour ! Je mettais la même importance à faire faire la prière à tous mes enfants ; c'est là un devoir impérieux, sacré pour une mère ; c'est à elle à former ces jeunes cœurs à la piété ; elle serait certainement responsable si, par sa coupable négligence, elle les laissait croupir dans l'abandon de leurs devoirs.

 

Le soir, la prière se faisait en commun ; c'était une heureuse habitude que j'avais contractée chez mon père ; je n'aurais pas dormi tranquille, si on n'y eût satisfait. Me conformant ensuite au conseil de mon confesseur, j'avais pris la résolution de faire une aspira­tion, un acte de foi, ou d'espérance, ou d'amour, ou de con­trition, etc., chaque fois que j'entrerais dans tel lieu, que je commencerais telle action, que je verrais tel objet. Cette pra­tique, d'abord pénible, me devint ensuite tellement fami­lière, tellement facile, qu'elle se présentait à mon esprit d'elle-même et sans le moindre effort. Vraiment, il suffit d'une bonne volonté pour faire bien des choses qui, au premier abord, sembleraient impossibles.

 

Chaque fois que le temps me le permettait, je ne manquais pas d'assister à la messe en semaine ; et cela arrivait encore assez souvent, parce que je prenais mes mesures en conséquence. Hélas ! ce grand acte de la religion, le plus su­blime et le plus fructueux sans contredit, est à peu près uni­versellement délaissé ! Maintes et maintes fois, il m'est arrivé d'être seule à la messe avec le célébrant. Je songeais alors à ce verset du dernier Évangile selon saint Jean : « Il est venu dans son propre domaine, et les siens l'ont méconnu ! »

 

Je sais toutes les objections que vous pouvez faire : Vous n'avez pas le temps, vos occupations ne vous permettent pas d'assister au saint sacrifice ; etc. Je connais par expérience ce qu'il y a là de vrai ; mais je sais aussi avec quelle complaisance on se l'exagère.

 

Combien de fois ne vous ai-je pas vues, commérant ensemble, vous entretenant des rumeurs du village, dé­chirant parfois la réputation de votre prochain ? La messe sonnait, et nulle de vous ne songeait à y aller. Était-ce le temps ou la bonne volonté qui vous manquait ?

 

Eh bien ! Je trouve que mon père avait raison : on devrait se faire une loi d'envoyer chaque jour un membre de la famille à la messe, pour y représenter les siens, et il est bien triste de penser que pour une foule de femmes, la messe est le dernier de leurs soucis !

 

Mais ma grande ressource, celle, je dois l'avouer, où j'ai surtout puisé la force nécessaire pour accomplir mes devoirs, c'était la fréquentation des sacrements.

 

Ici encore, on objecte le défaut de temps, la multitude des occupations. Ah ! Est-il un meilleur emploi du temps, une plus utile occupation que celle d'aller confesser ses fautes, et recevoir son Dieu à la Ta­ble sainte ?

 

Ce n'est que là qu'on s'affranchit un peu de son fardeau de misères quotidiennes ; là, on se ranime ; là, on re­trouve des forces ; là, on se retrempe pour reprendre sa route ; là, on puise lumière et conseil pour accomplir sa tâche. Si Jé­sus-Christ appelle à lui «ceux qui sont accablés », à qui ses pa­roles s'adressent-elles, sinon à nous, qui avons une si large part dans les tris­tesses et les fatigues de cet exil? 

 

Qui doit être plus pressé que nous de recourir à cette fontaine vivante de force et de consolation ? Et pourtant, nul ne s'en excuse, nul ne s'en éloigne plus volontiers que nous. C'est une remarque que j'ai faite bien des fois : l'on abandonne souvent, étant mariée, les pratiques pieuses que l'on observait fidèlement étant jeune fille.

 

Telle a été, pendant longtemps, l'ornement de son sexe et l'édification de la paroisse, qui, une fois engagée dans le mariage, devient tout à coup aussi indifférente qu'elle était pieuse, aussi négligente qu'elle était fidèle, sans qu'on puisse s'expliquer cela autrement que par cette manie de s'embarras­ser dans ses propres occupations, de s'adonner trop exclu­sivement a nos travaux quotidiens; comme si la destination ultérieure eût subitement changé, et que l'on ne fût plus créée que pour le travail, et non pour sauver son âme !...

 

Voilà ce que j'appelle un abus, et d'autant plus terrible, je le répète, qu'une mère est l'intermédiaire naturel entre Dieu et sa famille. Qu'on s'étonne, après cela, du désordre qui règne trop souvent dans le sein d'un ménage ; moi, je m'éton­nerais que pour la plupart, il en fût autrement. Si le bon Dieu ne bâtit pas la maison, c'est-à-dire s'il n'affermit pas lui-même la pierre angulaire, qui est la femme, à quoi sert tout le reste ?

 

Où tendent tous ces travaux, toute cette activité, ce mouvement perpétuel, ces soucis du jour et de la nuit, si le ciel ne les féconde ?

 

 L'industrie humaine espère-t-elle se passer du secours d'en haut ? Une femme aura-t-elle la présomption de remplacer la Providence ? Ce serait une bien grande folie. Et pourtant on dirait que c'est là la pensée d'un grand nombre : tant elles se mettent peu en peine de se rendre Dieu propice. C'est à elles que le Seigneur répète, et à bon droit, ces paroles qu'il adressait jadis à Marthe : « Vous vous donnez beaucoup de soucis, et pourtant une seule chose est nécessaire. »

 

Oui, vous vous tourmentez fort, pau­vres mères, pour pourvoir aux besoins de votre famille ; vous avez mille inquiétudes sur le présent et sur l'avenir, et vous oubliez la chose principale, la seule nécessaire : le salut de votre âme, et, par suite, le salut de vos enfants.

 

Ah ! Croyez-en ma vieille expérience: personne, ici-bas, n'a plus besoin des secours de Dieu qu'une mère de famille ; personne ne court plus grand risque en négligeant ses devoirs religieux ; car, à sa propre ruine, elle ajoute celle des siens ; et, au lieu de se former en eux une couronne immortelle, elle s'y pré­pare des accusateurs et des juges.

 

Mémoires d'une Mère de famille.

 

 

Extrait de : LECTURES   MÉDITÉES (1933)

 

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5 août 2013 1 05 /08 /août /2013 23:32

 

Une jeune fille, avant d'entrer en religion, alla trouver le saint Curé d'Ars. Dans le cours de la conversation, celui-ci lui dit : «Vous souvenez-vous, mon enfant, d'un certain bal, auquel vous avez assisté, il y a peu de temps? — Dans ce bal, vous avez, rencontré un jeune homme inconnu, distingué et admiré de tout le monde? — Oui, mon Père, répondit la jeune fille. — Vous auriez bien voulu danser avec lui, vous étiez; jalouse, chagrine, pleine de dépit de voir qu'il vous préférait les autres et ne vous demandait pas pour dan­ser avec lui. — En effet, mon Père. — Vous rappelez-vous que, quand il partit, vous avez, cru apercevoir à la porte, sous ses pieds, deux flammes bleues que vous avez prises pour une illusion de vos yeux trompés par l'obscurité ? — C'est vrai, mon Père. — Eh bien, ma fille, ce jeune homme était un démon. Celles avec les­quelles il a dansé sont damnées ou en état de damnation. Et savez-vous pourquoi il ne vous a pas demandé à danser avec lui ? C'est à cause du scapulaire que vous aviez sur vous, et que par dévotion à Marie, vous aviez avec raison conservé comme une sauvegarde ! »

(Annales du Carmel, 1881, p. 199.)

 

En 1845, le « King of the Océan » quittait le port de Londres se dirigeant vers l'Australie. Parmi les passagers se trouvait un pasteur protestant, le Révérend James Fisher, accompagné de son épouse et de ses deux enfants. Lorsque le navire entra dans l'océan Indien, une tornade d'une force inouïe balayait la mer. Les vagues en furie soulevaient le vaisseau comme s'il eut été un fétu de paille. Les membres de l'équipage, comme les passagers, eurent la certitude que sans une inter­vention divine leur perte était inévitable. Le pasteur protestant, avec sa famille et quelques autres agenouillés sur le pont et cramponnés au bastingage, demanda à tous de se joindre à eux dans une prière confiante pour obtenir du ciel pardon et miséricorde. Mais la tempête, redoublant de rage et de fureur, semblait se moquer de leurs cris et de leurs supplications.

 

Parmi l'équipage, se trouvait un jeune matelot Irlandais ; tout à coup, mû par une inspiration surnaturelle, il entrouvrit sa vareuse et retira son scapulaire, puis le tenant dans sa main, il traça un grand signe de croix dans l'espace et le lança dans la mer. Aussitôt les flots se calmèrent ; les hurlements de la rafale se turent et une légère brise berçait doucement le navire. Puis, gracieuseté suprême de l'Étoile de la mer, une petite vague, sautant par-dessus bord, rapporta aux pieds du petit matelot le scapulaire qu'il avait lancé quelques instants auparavant dans l'océan en furie.

 

Alors, le Révérend Fisher, s'approchant avec un profond respect du jeune homme lui demanda ce que signifiait cette pièce d'étoffe brune marquée des ini­tiales B.V.M. qu'il tenait en main et qui avait opéré un tel prodige.

 

Bientôt renseigné sur l'origine et la puissance du scapulaire, il résolut d'abjurer le protestantisme et de se joindre à l'Église catholique qui possède une si puissante avocate dans la Vierge du Carmel. Rendu à destination, à Sydney, il se fit instruire des vérités de la foi catholique ainsi que tous les mem­bres de sa famille, et peu après, tous avec le plus grand bonheur, furent admis dans l'Église catholique, introduits par celui qui devait être plus tard Mgr l'arche­vêque Paulding. (Cf. «Mary in her Scapular Promi­se », 1942, p. 120, by J.M. Haffert.)

 

Un évêque missionnaire, Mgr Paulding, voyageait dans une partie peu fréquentée de l'Australie intérieure. Il tomba malade en route et fut soigné avec dévouement par une pieuse veuve. Revenu à la santé, le prélat promit à sa charitable hôtesse de venir lui administrer les derniers sacrements quand elle mourrait. Plusieurs années se passèrent, lorsqu'une nuit d'automne, arriva une lettre invitant le pontife à remplir la promesse qu'il avait faite à sa bienfaitrice. En dépit de la rigueur de la saison, l'évêque se mit en route sans hésiter. Après avoir marché plusieurs jours, il arriva enfin, accablé de fatigue à la maison qu'il était venu chercher de si loin. A son grand étonnement, il trouva le logis vide. C'était au milieu de la forêt ; tandis qu'il méditait sur ce qu'il allait faire, son attention fut attirée par le bruit d'une hache. C'était un robuste bûcheron irlandais qui abattait des arbres. Il apprit de lui que la pauvre veuve s'était confessée et qu'elle était morte. L'évêque comprit que le bon Dieu l'avait envoyé pour un autre que sa bienfaitrice. Fatigué de sa longue route, il s'assit sur un tronc d'arbre et s'adressant au bûche­ron, il lui dit :

 

« Eh bien, mon cher ami, après tout, je ne veux pas être venu ici pour rien. — Mettez vous à genoux, je vais vous confesser. » L'Irlandais s'excusa d'abord, alléguant son manque de préparation, en ajoutant ces mots : « Il y a si longtemps que je me suis confessé que je ne puis m'y résoudre. » Pour motiver son refus, il invoquait mille raisons que l’évêque combattit avec force et douceur. Finalement, la grâce triompha. Le brave bûcheron s'agenouilla et contrit, fit sa confession.

 

L'évêque lui fit promettre d'aller communier le diman­che suivant, et ils se séparèrent. A peine le missionnaire avait-il fait quelques pas, qu'il entendit un bruit suivi de quelques faibles gémissements. Il revint en toute hâte sur ses pas et trouva son pénitent mort, écrasé par la chute d'un arbre.

 

Si l'on veut savoir maintenant à quoi est due cette admirable miséricorde de Dieu, appelant ainsi un évêque à des centaines de lieues de sa résidence, dans une mauvaise saison d'automne, et par des chemins pleins de dangers et difficultés, pour ouvrir le ciel à l’âme d'un pauvre bûcheron ; c'est que cet homme portait le scapulaire de Notre-Dame du Mont Carmel. Qui n'admirera ici la fidélité de la sainte Vierge à tenir la promesse qu'elle a attachée à son scapulaire ! (Chro­niques du Carmel de Bruxelles, avril 1893.)

 

En 1640, sur les frontières de la Lorraine, une escouade de soldats fut surprise par l'ennemi. Le chef, profitant de sa force, ordonna de ne pas faire quartier aux soldats de l'escouade. Tous furent impitoyable­ment mis à mort. Il s'en trouva cependant un, un seul qui tout en ayant été percé de plusieurs coups mortels, ne rendait pas le dernier soupir. Pour l'achever, les uns lui assenaient sur le corps et sur la tête des coups de crosse de fusil. Le voyant toujours en vie, ils redoublaient leurs coups sans pitié, quand tout à coup, le pauvre blessé leur dit, avec un calme qui les étonna : « C'est en vain que vous cherchez; à m'ôter la vie, je ne mourrai pas sans confession ; je porte le scapulaire du Carmel. » — « Pourquoi ne le disais-tu plus tôt, dit un cavalier, nous t'aurions laissé la vie. Crois-moi, fais un acte de contrition, car il n'y a pas de prêtre ici

 

« J'espère, dit le moribond, que Dieu me fera la grâce d'en trouver un. » Le protégé de Marie survécut à tant de blessures mortelles, et quoique mutilé, il se traîna comme par inspiration sur le chemin de Mets. Un prêtre conduit par la Providence, vint à passer. Le soldat fit sa confession, reçut l'absolution que son âme semblait attendre de la protection miraculeuse de la Reine du ciel. Il expira aussitôt aux pieds du prêtre, plein de foi, en paix du Seigneur. (Brocard, « Instruc­tions sur le scapulaire», p. 275.)

 

En 1648, au siège d'Ypres par les Français, le capitaine du régiment de Lomboy reçut en pleine poitrine un coup de mousquet d'une force irrésistible. La balle dont il fut frappé, s'aplatit sur son scapulaire, de sorte qu'il n'en reçut pas la moindre égratignure. On trouva la balle dans ses habits ; elle portait très visiblement l'empreinte de l'image de la sainte Vierge et de l'Enfant Jésus. (Brocard, opus cit.)

 

Un homme qui avait failli à l'honneur, était bourrelé de remords. Pour se soustraire aux poursuites de la justice et aux tourments de sa conscience, il résolut de se suicider. Quoi qu'on puisse lui représenter, raconte le Père Milleriot, Jésuite, rien ne pouvait l'empêcher d'attenter à ses jours.

 

Lors d'une rencontre, le Père dit au malheureux : « Au moins, mon ami, accordez-moi une grâce ; je vais vous donner le saint scapulaire, promettez-moi de ne pas le quitter. » L'autre accepta l'of­fre, et s'en alla. Le Père se disait tout bas : « Mon ami, je te tiens... Tu peux essayer de te tuer si tu veux... tu n'en mour­ras pas. » Le même jour, le malheureux, obsédé par la tentation du désespoir, alla se jeter dans la Seine. Mais il ne parvient pas à se noyer quoiqu'il s'y précipitât à deux reprises et qu'il ne sût nullement nager. Il avait gardé son scapulaire, cela explique tout. Il fut cepen­dant très malade; touché d'une protection aussi mira­culeuse, il se convertit. (Chronique du Carmel d'Alost, Belgique, 1893.)

 

La sainte Vierge est fidèle à sa promesse du scapu­laire non seulement à l'égard de ses enfants de l'Église catholique mais elle secourt également les non catho­liques qui portent sa livrée. Il y a quelques années, un jeune prêtre commençait à exercer son ministère à l'hôpital Bellevue de New York. Un matin, un appel lui vint de la chambre d'un malade.

 

Aussitôt il se munit des objets nécessaires et se dirigea vers l'endroit d'où lui semblait être parvenu l'appel. Il s'approcha du lit du patient qui lui parut être bien près de sa fin, et demanda à ce dernier s'il aimerait à se confesser. « Je ne suis pas catholique », vint la surprenante réponse.

 

Confus, le jeune prêtre se tourna vers la garde-malade et lui dit : « Il doit y avoir erreur, cet homme dit qu'il n'est pas catholique » — « Pourtant, il porte un scapulaire, mon Père. »

Le prêtre retourna auprès du moribond et lui dit : « Si vous n'êtes pas catholique, pourquoi portez-vous un scapulaire ? »

— « Parce que des religieuses catholiques, qui recueillaient des aumônes près de notre usine m'ont prié de le porter. »

— « Bien, aimeriez-vous à devenir catholique ? »

— « O mon Père, il n'est rien que je désirerais autant ! ...»

Quelques jours plus tard, il s'éteignit doucement après avoir été régénéré dans les eaux du baptême. (Cf. Haffert, opus cit., p. 102.)

 

II y a quelques années, un journal, « The Irish Çatholic », rapportait un fait qui illustre bien le pouvoir que nous avons à notre disposition par le scapulaire.

 

Le Docteur Francis Zaldiia, ex-Président de la Colombie, en Amérique du Sud, était un magistrat éminent mais en opposition ouverte avec l'Église catholique. On doit lui attribuer, en partie, l'expulsion des Jésuites. Néanmoins, il avait un fils à qui il avait fait donner une éducation soignée, et qui était à terminer ses études au Collège américain, à Rome. Le jeune clerc qui se destinait à la prêtrise avait une dévotion particulière envers la Sainte Vierge. Bien qu'il eût prié la Madone avec instance pour obtenir la conversion de son père, tous ses efforts avaient été vains.

 

Après avoir été ordonné prêtre, le jeune Colombien retourna dans sa patrie. Quelques années après le retour de son fils, l'ex-Président tomba gravement ma­lade, mais il ne donnait nullement à penser qu'il son­geait à mourir en chrétien ; au contraire, il attendait la mort avec une placidité déconcertante, comme si la chose ne l'eût pas concerné.

 

Ceci jetait dans des tran­ses mortelles son fils prêtre, accouru auprès de son père mourant. Faisant une suprême tentative, et profondé­ment attristé, il dit à son père : « Cher père, tout ce que la science peut faire a été fait. N'aimeriez;-vous pas à recevoir maintenant quelque assistance spirituelle? S'il vous plaît, acceptez, ce scapulaire. »

 

Le mourant accepta la livrée de Marie, et peu après, il fit une confession générale et déclara, avec une joie marquée, vouloir mourir en fils soumis et repentant de la sainte Église. (Cf. Haffert, opus cit., p. 100.)

 

II faudrait être bien mal intentionné et d'une mau­vaise foi inconcevable pour abuser de la promesse atta­chée au scapulaire et prendre prétexte de ce privilège pour donner libre cours à ses passions. « Ne vous y trompez; pas, s'écrie le Bx de la Colombière, dans un de ses sermons ; être assez heureux pour rendre le der­nier soupir, revêtu du saint scapulaire, voilà, quoi que vous en pensiez, ce qui ne dépend plus de vous...

 

«Libre à vous de prendre le saint scapulaire et de le profaner toute votre vie, en ne vous servant d'un objet aussi saint que pour en couvrir vos désordres, et vous en assurer l'impunité. Mais écoutez, ceci et ne l'oubliez jamais : — Mourir avec le scapulaire du Carmel, oui, c'est être assuré de son salut, car la promesse de Marie est formelle : « Quiconque mourra revêtu de ce saint habit, sera préservé des feux éternels », toutefois, nous le répétons, cette grâce est un don gratuit.

 

Vous même, s'il le faut, par un secret et très juste jugement de Dieu, vous aurez pris soin de vous en dépouiller aupa­ravant de vos propres mains. Ainsi échoueront tous les calculs de votre trompeuse sagesse... »

 

Nous pourrions multiplier les exemples de pauvres malheureux qui, par un juste châtiment de Dieu dont ils avaient outragé la bonté, se sont eux-mêmes dé­pouillés du scapulaire au moment de la mort.

 

« Un homme, livré au vice honteux de l'ivrognerie et à tous les désordres qui en sont ordinairement la suite, donnait de grands scandales dans le pays. Il n'en­trait jamais à l'église et ne pouvait voir un prêtre sans blasphémer. Il ne cessait pourtant pas de porter le sca­pulaire qu'il avait sans doute reçu dans sa jeunesse après la première communion. La maladie, celle dont il devait mourir, vint le surprendre au milieu de ses désordres . . .

 

L'approche de la mort ne changea rien à ses dispositions; il refusa obstinément de recevoir le prêtre. Or, quelques jours avant de rendre l'âme, il tomba dans une sorte de léthargie que l'on considéra comme un indice certain de sa fin prochaine. On s'at­tendait à chaque instant à recueillir son dernier soupir. Mais, voilà que tout à coup, les personnes qui entou­raient son lit, le voient s'agiter, se débattre avec une extrême violence, comme un homme qui cherche à se débarrasser d'un grand poids sous lequel il est pris. On s'empresse autour de lui et on lui demande ce qu'il éprouve : « J'étouffe »... s'écrie le moribond avec une sorte de désespoir : « J'étouffe ...» et en disant ces paroles, il écarte de ses deux mains, avec une fiévreuse impatience, les vêtements qui couvraient sa poitrine, ayant enfin rencontré son scapulaire. « Voilà, dit-il, ce qui me fait tant souffrir ... et l'arrachant aussitôt il le jeta loin de lui. . . Un moment après, il expirait dans toutes les apparences de la réprobation, et dépouillé de son scapulaire. » (Chroniques du Carmel d'Alost, Belgique, septembre 1892.)

 

Un prêtre du diocèse de Montréal racontait un fait bien affligeant arrivé à l'un de ses compagnons d'en­fance : « Ce jeune homme qui habitait une des parois­ses environnantes de la métropole disparut tout à coup. Cette disparition soudaine fit beaucoup de bruit aux alentours. Tout le monde en parlait. Sa famille s'en inquiéta et fit des recherches de toutes parts mais en vain. Deux mois environ après cet événement, quel­qu'un de l'endroit qui connaissait parfaitement le jeune homme, traversait par hasard la montagne au pied de laquelle demeurait la famille du pauvre infortuné. Il aperçoit tout à coup un cadavre suspendu à un arbre. Il recule d'effroi, mais la première impression passée, il s'approche, et examinant de plus près, il reconnaît dans ce malheureux le jeune homme soudainement disparu; et à quelque distance de lui, son scapulaire suspendu à une petite branche ! ...» (Cf. Savaria, opus cit., p. 126.)

 

Extrait de : LE  SCAPULAIRE DE NOTRE-DAME DU MONT-CARMEL

                        Par une Carmélite de Montréal. (1955)

 

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5 août 2013 1 05 /08 /août /2013 03:01

« Les catholiques n’ont à se faire aucun souci pour l’infaillibilité de ces néo-canonisations. Elles procèdent d’un Sosie de l’Église catholique »  Ainsi s’exprime dans une interview Mgr Williamson, résistant à « l’avalement » de la FSSPX par la Néo-église conciliaire.

Cette  expression a été largement moquée par ses ennemis, (d’une façon hélas ! fort injurieuse. On ne traite pas un prêtre de cette façon; encore moins un évêque) Mgr Williamson n’est pas du tout, mais pas du tout survivantiste. La question n’est pas là.

Il n’empêche que son expression ne manque pas de justesse. La tactique des ennemis de l’Église a, au cours des temps, suivi une méthode éprouvée : « On ne détruit réellement que ce qu’on remplace » (Napoléon III un expert du carbonarisme maçonnique)

Dans le projet antéchrist de Lucifer, qui veut s’incarner pour égaler Dieu, il faut une institution  qui lui rende un culte. Pour arriver à son but, il faut par un long travail des esprits remplacer l’esprit du Christ par une pseudo église vouée d’abord au culte de l’homme, puis toute dévouée à sa personne pseudo divine quand il viendra.

Il lui a fallu des générations de complices humains, naïfs ou intéressés à ses promesses de prospérité, de paix, de jouissances. Que peu à peu la doctrine  antéchrist niant la Divinité et la Royauté de Jésus remplace la doctrine Catholique...!   

Que le clergé imbu de ces nouveautés remplace les vrais prêtres puis les évêques, puis les cardinaux, puis enfin couronne le tout par de pseudo papes…. ! Ainsi comme disait une brave religieuse « Des paroisses entières iront en enfer en procession, curé et religieuses en tête »

Le tout est en train de se jouer… C’est une néo- église qui tente de se mettre en place, ressemblant extérieurement à l’Église fidèle, la vraie, l’irremplaçable ; mais pensant et agissant à 180°…

Les preuves de l’existence du sosie physique de SS Paul VI sont abondantes et cohérentes. Le sosie fut établi pour servir de porte voix à la subversion, à ceux qui tirent les ficelles C’est une évidence pour ceux qui n’ont pas encore les yeux crevés.

Les preuves de l’existence de cette église « doublure-sosie » crèvent les yeux, il suffit d’ouvrir les yeux et les oreilles.

Merci Monseigneur Williamson. Nous prions pour vous. Priez pour nous. Nous savons que vous mettez votre espérance dans un miracle. Sur la nature de ce miracle, nous  mettons à votre disposition toutes les informations que nous avons. En ces temps de ténèbres palpables, la moindre chandelle est bienvenue… !

http://amdg.over-blog.fr/pseudopapes-pour-pseudo-%C3%A9glises

 

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