MESSAGES… (20) Ma vérité durera toujours
Ces messages furent transmis à une âme à Fribourg (Suisse), par la Très Sainte Vierge Marie, Reine de l’Univers et de tous les cœurs (31 mai 1965 au 1 janvier 1968), ensuite par Notre Seigneur Jésus-Christ.
1er octobre 1975
Ah ! si seulement le monde entier voulait Nous entendre et Nous écouter et non pas seulement quelques-uns et quelques-unes des âmes qui couvrent ce monde, ce monde si malheureux, ce monde en pleine perdition qui ne sait plus du tout où est la Vérité, où est la Justice, qui n'a plus le sens de ces mots, qui ne sait plus ce que c'est que l'Amour, celui que Je suis venu apporter à la terre; ce monde qui Nous rejette de plus en plus, ce monde qui Nous rejette comme nous ne l'avons jamais été encore jusqu'à aujourd'hui.
Car, en effet, à travers les siècles, Nous avons été bien des fois méconnus, mal connus, Nous avons aussi été beaucoup aimés, beaucoup respectés, beaucoup priés. Mais que fait le monde aujourd'hui ? Il Nous oublie. Ou alors, s'il pense encore à Nous, c'est pour Nous jeter dehors. «Vous serez jetés hors des synagogues, on vous battra, on vous flagellera, on vous fera tout le mal possible en Mon nom en croyant bien faire.» N'est-ce pas exactement cela qui arrive aujourd'hui ? Vous voyez, jour après jour, fondre les malheurs sur le monde et les âmes ne s'en réveillent pas pour autant, du moins des millions d'entre elles. Car si, certes, il est des âmes qui se réveillent et qui comprennent enfin la grandeur de ce que Je suis venu apporter au monde, de la réalité de Mon enseignement, de sa vérité qui durera toujours, il en est tant et tant qui, au contraire, abandonnent tout de plus en plus.
50
Je pense que Je n'ai même pas besoin de vous dire que vous êtes à la veille d'une nouvelle guerre mondiale. Je pense qu'avec tout ce que vous entendez, tout ce qui se passe actuellement, vous en savez assez pour vous rendre compte que les choses ne peuvent pas continuer de cette manière. Et comme la plupart des hommes ne veulent pas écouter Mes paroles, ne veulent pas écouter les paroles de Ma Très Sainte Mère, que la plupart même de Mes ministres Me rejettent pour s'occuper du monde, rejettent en même temps Ma Très Sainte Mère, tous les saints et saintes qui ont donné leur vie pour nous, par amour pour Nous, à cause de cela le pire va arriver. Le pire pour tous ceux qui ne veulent plus avoir la foi, pour tous ceux qui ne veulent plus croire qu'en ce siècle de modernisme, l'Amour, Mon Amour, est une actualité plus vibrante que jamais, que l'amour de Ma Très Sainte Mère pour les âmes est plus grand qu'il ne l'a jamais été.
Parce que les hommes ne veulent plus croire que l’on peut vivre d'amour, cet amour que sainte Thérèse de l'Enfant Jésus avait si bien compris, alors le monde n'a plus besoin d'exister. Si le monde n'existe que pour le plaisir, si le monde n'existe que pour Mon ennemi Satan qui règne en maître partout, si le monde n'existe que pour persécuter ceux qui veulent le bien, ceux qui croient à l'Amour, alors Nous n'avons plus besoin du monde, mais Nous avons besoin des âmes.
N'oubliez pas que si ce mois d'octobre est un mois réservé tout spécialement à Ma Très Sainte Mère, il est également celui du très grand miracle de Fatima. Ce peuple du Portugal qui lutte avec tant de vaillance et qui a réussi jusqu'à maintenant à repousser le communisme ne l'a pas fait par lui-même, mais il l'a fait parce qu'il s'est adressé à Celle qui leur a parlé dans leur propre pays. Parce qu'ils se sont adressés à Ma Très Sainte Mère, à Notre-Dame du Rosaire, et qu'ils ont repris en mains ce rosaire, et pour le dire d'une manière que J'aimerais beaucoup que vous entendiez, d'une manière tellement suppliante, tellement humble, mais en même temps tellement pleine d'espoir, tellement sûre, qu'ils obtiendront la grâce qu'ils demandent, c'est-à-dire voir le communisme repoussé hors de leur pays. Ah ! Mes brebis bien-aimées, si vous aviez autour de vous des âmes comme celles-là. Ce serait le feu en vous. Vous seriez tout en feu, et tout embrasés d'amour, et vous n'auriez plus peur de rien. Car, lorsqu'on sait se tourner vers Ma Très Sainte Mère pour Lui demander quelque chose, lorsqu'on est assez humble, assez petit pour se tourner vers Celle qui, bien humblement, accepta la plus grande de toutes les grâces, on obtient des choses que vous ne pouvez pas imaginer.
Quant à tout ce qui va arriver dans le monde, ce sera bien sûr terrible. Mais pour ceux qui ont confiance, pour ceux qui Nous aiment, pour ceux qui savent prier, pour ceux qui savent où trouver le secours, le refuge, il n'y a point de crainte. Il doit donc y avoir en vous une immense confiance, une confiance illimitée quoi qu'il arrive, de quelque manière que les choses se présentent. Ne jamais se laisser décourager car dès que le découragement peut s'emparer d'une âme, ce n'est plus Moi qui agit sur cette âme, mais c'est Mon ennemi. Ne vous laissez pas troubler, mes brebis bien-aimées, mais suivez-Moi, suivez-Moi, Moi qui suis votre bon pasteur, Moi qui suis votre berger, Moi qui ne vous ai jamais trompé et qui ne le ferai jamais ! Et jetez-vous tous humblement dans les bras de Ma Très Sainte Mère.
Après-demain, ce sera la fête de celle qui sut si bien se jeter dans Mes bras et dans les bras de Ma Très Sainte Mère, sainte Thérèse de l'Enfant Jésus. Qui sut si bien comprendre que ce n'était pas par de grandes actions qu'on parvenait à faire quelque chose, mais que c'était surtout en faisant tout, d'abord, avant tout, par amour. L'Amour, c'est tout. Si vous Me donnez l'amour, vous Me donnez tout et Moi Je vous donnerai tout à Mon tour !
Vous connaissez le calvaire que vit actuellement l'Eglise, la passion terrible de Mon Vicaire sur la terre Paul VI.
Ah ! Si vous aviez pu voir son cœur dimanche, si vous aviez pu voir sa souffrance sur son visage, vous auriez compris qu'il est faux de vouloir le critiquer ou de mettre quelque faute que ce soit sur lui. Non ! Il M'est fidèle, il est fidèle à la Tradition, il est fidèle à l'Eglise de toujours, mais ce sont les autres, ce sont ceux qui sont au-dessous de lui qui ne le suivent plus, et qui donc ne Me suivent plus Moi non plus. Ils ont choisi un autre maître et comme il n'y en a que deux, ils ont choisi Satan.
Eh oui ! C’est le moment ou jamais de crier au feu ! Au feu ! Au feu dans la maison de Dieu, au feu ! Dans Ma maison ! Oui ! Il y a le feu partout dans Ma maison, dans Mes maisons ! Parce que partout Mon ennemi pénètre, et Moi, je suis obligé de partir ! Rares sont les exceptions, rares sont les endroits où vraiment Ma Très Sainte Mère et Moi Nous avons la première place. Rares sont Mes ministres qui savent encore la grandeur du Saint Sacrifice de la Messe, tant bafoué, tant rejeté, plus qu'il ne l'a jamais été, même pas pendant la Révolution française. Oui, Mes brebis bien-aimées, il y a moins de Saints Sacrifices de la Messe valables à l'heure actuelle qu'il n'y en avait pendant la Révolution française, ce temps si terrible où les prêtres étaient persécutés, mais où tant d'eux donnèrent leur vie et furent martyrs, par amour pour Moi, par amour pour Ma Très Sainte Mère et par amour surtout pour ce à quoi ils avaient voulu arriver en se faisant prêtres: Me faire descendre sur l'autel !
Mes brebis bien-aimées, aujourd'hui, combien sont-ils ceux-là, et où sont-ils ? Oh ! Je regarde sur la terre, Je regarde par le monde, Ma Très Sainte Mère regarde, les saints, les saintes, les anges regardent, cherchent, cherchent, mais si rarement Nous trouvons une place. J'ai tant besoin de prêtres, et qui veut m'en donner aujourd'hui ? Mon doux archevêque Marcel ? Oui, de tout son cœur, tant qu'il le pourrait, mais voilà, on veut l'en empêcher, mais très bientôt, il n'aura plus à tenir compte de cet empêchement.
Dans deux jours ce sera la fête de cette petite Carmélite qui mourut si jeune, parce qu'elle avait accomplit l'Amour tout entier en si peu de temps, parce qu'elle avait pris le chemin le plus rapide pour parvenir à l'amour parfait ! Essayez de devenir plus petits encore, plus humbles encore, afin que Ma Très Sainte Mère et Moi Nous puissions encore plus vous donner et surtout, Je vous en supplie, surtout, ne fermez jamais vos cœurs, mais ouvrez-les, écoutez-Nous et ne refusez jamais, oh ! non, jamais, une grâce que nous voulons vous donner !
En effet, un des grands malheurs du monde à l'heure actuelle, c'est que les âmes refusent la grâce. Je veux donner des grâces, Ma Très Sainte Mère Me supplie jour après jour d'en donner, d'en donner encore, mais à qui pourrai-Je les donner puisqu'on ne veut pas les accepter ? Alors, que faire ? L'homme est libre, Je ne peux pas le forcer !
Oh ! Mes brebis bien-aimées, en ce jour si beau qui est le premier du mois du très saint Rosaire, essayez de comprendre mieux que jamais les quinze mystères du rosaire, méditez-les mieux que jamais encore, essayez de les vivre vraiment ! Essayez- de vous mettre à chaque fois en présence de ce que chaque dizaine représente, afin que vous soyez encore plus près de Ma Très Sainte Mère, plus près de Moi et plus près surtout de l'immense mystère d'amour qui représente tout ce pourquoi Je suis venu sur la terre, tout le mystère de la Rédemption.
FIN des messages de Fribourg en Suisse. (1976)
PRIÈRE A NOTRE DAME
O Vierge Immaculée, jetez un regard plein de bonté sur ce monde qui se débat, se déchire sans cesse entre deux puissances: le Règne du Christ et l'œuvre de Satan. Ayez pitié de ceux qui, sur les cinq continents, ont confiance en Vous et en Votre divin Fils, mais qui se heurtent sans cesse à des obstacles presque insurmontables. Ne permettez pas que la tâche merveilleuse accomplie jusqu'ici par l'Eglise de Votre divin Fils, dans le monde entier, soit diminuée à cause de l'incompréhension de ceux qui la guident et des gouvernements qui refusent d'accepter que seul le Christ peut régner sur le monde et l'univers tout entier.
Renforcez le courage et la force de ceux et celles, religieux et laïcs, qui s'efforcent, malgré tout, de faire connaître la Vérité et d'amener les peuples à la Vraie Lumière. Soyez présente, ô Marie, partout où il y a la lutte, intercédez auprès de Votre divin Fils afin que tous soient sauvés.
Accueillez dans Votre Paradis, ô Marie, tous ceux qui ont donné leur vie par amour pour le Christ et tous ceux qui ont en Lui une confiance illimitée.
Ouvrez nos cœurs et nos âmes aux problèmes de tous les pays. Faites-nous généreux, compréhensifs, afin que le monde connaisse enfin la Paix, la Vraie Paix. Notre Dame d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe, d'Océanie, Notre Dame de partout, veillez sur nous, protégez-nous afin qu'un jour, sur tous les continents, retentisse le triomphal
CHRISTUS VINCIT
CHRISTUS REGNAT
CHRISTUS IMPERAT
PENITENCE-CONFIANCE-PRIERE-FIDELITE-ABANDON- AMOUR
NB Le représentant de N.S. J.-C. sur la terre est toujours vivant et c’est S.S. Paul VI. SVP pouvez offrir pour lui un chapelet par jour. Est-ce trop vous demander ?
Elogofioupiou.over-blog.com