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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme

25 mars 2018 7 25 /03 /mars /2018 09:05

MESSAGES…  (20) Ma vérité durera toujours

Ces messages furent transmis à une âme  à Fribourg (Suisse), par la Très Sainte Vierge Marie, Reine de l’Univers et de tous les cœurs (31 mai 1965 au 1 janvier 1968), ensuite par Notre Seigneur Jésus-Christ.

 

1er octobre 1975

Ah ! si seulement le monde entier voulait Nous entendre et Nous écouter et non pas seulement quelques-uns et quel­ques-unes des âmes qui couvrent ce monde, ce monde si malheureux, ce monde en pleine perdition qui ne sait plus du tout où est la Vérité, où est la Justice, qui n'a plus le sens de ces mots, qui ne sait plus ce que c'est que l'Amour, celui que Je suis venu apporter à la terre; ce monde qui Nous rejette de plus en plus, ce monde qui Nous rejette comme nous ne l'avons jamais été encore jusqu'à aujour­d'hui.

Car, en effet, à travers les siècles, Nous avons été bien des fois méconnus, mal connus, Nous avons aussi été beaucoup aimés, beaucoup respectés, beaucoup priés. Mais que fait le monde aujourd'hui ? Il Nous oublie. Ou alors, s'il pense encore à Nous, c'est pour Nous jeter dehors. «Vous serez jetés hors des synagogues, on vous battra, on vous flagel­lera, on vous fera tout le mal possible en Mon nom en croyant bien faire.» N'est-ce pas exactement cela qui arrive aujourd'hui ? Vous voyez, jour après jour, fondre les malheurs sur le monde et les âmes ne s'en réveillent pas pour autant, du moins des millions d'entre elles. Car si, certes, il est des âmes qui se réveillent et qui comprennent enfin la grandeur de ce que Je suis venu apporter au monde, de la réalité de Mon enseignement, de sa vérité qui durera toujours, il en est tant et tant qui, au contraire, abandonnent tout de plus en plus.

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Je pense que Je n'ai même pas besoin de vous dire que vous êtes à la veille d'une nouvelle guerre mondiale. Je pense qu'avec tout ce que vous entendez, tout ce qui se passe actuellement, vous en savez assez pour vous rendre compte que les choses ne peuvent pas continuer de cette manière. Et comme la plupart des hommes ne veulent pas écouter Mes paroles, ne veulent pas écouter les paroles de Ma Très Sainte Mère, que la plupart même de Mes ministres Me rejettent pour s'occuper du monde, rejettent en même temps Ma Très Sainte Mère, tous les saints et saintes qui ont donné leur vie pour nous, par amour pour Nous, à cause de cela le pire va arriver. Le pire pour tous ceux qui ne veulent plus avoir la foi, pour tous ceux qui ne veulent plus croire qu'en ce siècle de modernisme, l'Amour, Mon Amour, est une actualité plus vibrante que jamais, que l'amour de Ma Très Sainte Mère pour les âmes est plus grand qu'il ne l'a jamais été.

Parce que les hommes ne veulent plus croire que l’on peut vivre d'amour, cet amour que sainte Thérèse de l'Enfant Jésus avait si bien compris, alors le monde n'a plus besoin d'exister. Si le monde n'existe que pour le plaisir, si le monde n'existe que pour Mon ennemi Satan qui règne en maître partout, si le monde n'existe que pour persécuter ceux qui veulent le bien, ceux qui croient à l'Amour, alors Nous n'avons plus besoin du monde, mais Nous avons besoin des âmes.

N'oubliez pas que si ce mois d'octobre est un mois réservé tout spécialement à Ma Très Sainte Mère, il est également celui du très grand miracle de Fatima. Ce peuple du Portugal qui lutte avec tant de vaillance et qui a réussi jusqu'à maintenant à repousser le communis­me ne l'a pas fait par lui-même, mais il l'a fait parce qu'il s'est adressé à Celle qui leur a parlé dans leur propre pays. Parce qu'ils se sont adressés à Ma Très Sainte Mère, à Notre-Dame du Rosaire, et qu'ils ont repris en mains ce rosaire, et pour le dire d'une manière que J'aimerais beau­coup que vous entendiez, d'une manière tellement sup­pliante, tellement humble, mais en même temps tellement pleine d'espoir, tellement sûre, qu'ils obtiendront la grâce qu'ils demandent, c'est-à-dire voir le communisme repous­sé hors de leur pays. Ah ! Mes brebis bien-aimées, si vous aviez autour de vous des âmes comme celles-là. Ce serait le feu en vous. Vous seriez tout en feu, et tout embrasés d'amour, et vous n'auriez plus peur de rien. Car, lorsqu'on sait se tourner vers Ma Très Sainte Mère pour Lui deman­der quelque chose, lorsqu'on est assez humble, assez petit pour se tourner vers Celle qui, bien humblement, accepta la plus grande de toutes les grâces, on obtient des choses que vous ne pouvez pas imaginer.

Quant à tout ce qui va arriver dans le monde, ce sera bien sûr terrible. Mais pour ceux qui ont confiance, pour ceux qui Nous aiment, pour ceux qui savent prier, pour ceux qui savent où trouver le secours, le refuge, il n'y a point de crainte. Il doit donc y avoir en vous une immense con­fiance, une confiance illimitée quoi qu'il arrive, de quel­que manière que les choses se présentent. Ne jamais se laisser décourager car dès que le découragement peut s'em­parer d'une âme, ce n'est plus Moi qui agit sur cette âme, mais c'est Mon ennemi. Ne vous laissez pas troubler, mes brebis bien-aimées, mais suivez-Moi, suivez-Moi, Moi qui suis votre bon pasteur, Moi qui suis votre berger, Moi qui ne vous ai jamais trompé et qui ne le ferai jamais ! Et jetez-vous tous humblement dans les bras de Ma Très Sainte Mère.

Après-demain, ce sera la fête de celle qui sut si bien se jeter dans Mes bras et dans les bras de Ma Très Sainte Mère, sainte Thérèse de l'Enfant Jésus. Qui sut si bien comprendre que ce n'était pas par de grandes actions qu'on parvenait à faire quelque chose, mais que c'était surtout en faisant tout, d'abord, avant tout, par amour. L'Amour, c'est tout. Si vous Me donnez l'amour, vous Me donnez tout et Moi Je vous donnerai tout à Mon tour !

Vous connaissez le calvaire que vit actuellement l'Eglise, la passion terrible de Mon Vicaire sur la terre Paul VI.

Ah ! Si vous aviez pu voir son cœur dimanche, si vous aviez pu voir sa souffrance sur son visage, vous auriez compris qu'il est faux de vouloir le critiquer ou de mettre quelque faute que ce soit sur lui. Non ! Il M'est fidèle, il est fidèle à la Tradition, il est fidèle à l'Eglise de toujours, mais ce sont les autres, ce sont ceux qui sont au-dessous de lui qui ne le suivent plus, et qui donc ne Me suivent plus Moi non plus. Ils ont choisi un autre maître et comme il n'y en a que deux, ils ont choisi Satan.

Eh oui ! C’est le moment ou jamais de crier au feu ! Au feu ! Au feu dans la maison de Dieu, au feu ! Dans Ma maison ! Oui ! Il y a le feu partout dans Ma maison, dans Mes maisons ! Parce que partout Mon ennemi pénètre, et Moi, je suis obligé de partir ! Rares sont les exceptions, rares sont les endroits où vraiment Ma Très Sainte Mère et Moi Nous avons la première place. Rares sont Mes minis­tres qui savent encore la grandeur du Saint Sacrifice de la Messe, tant bafoué, tant rejeté, plus qu'il ne l'a jamais été, même pas pendant la Révolution française. Oui, Mes brebis bien-aimées, il y a moins de Saints Sacrifices de la Messe valables à l'heure actuelle qu'il n'y en avait pen­dant la Révolution française, ce temps si terrible où les prêtres étaient persécutés, mais où tant d'eux donnèrent leur vie et furent martyrs, par amour pour Moi, par amour pour Ma Très Sainte Mère et par amour surtout pour ce à quoi ils avaient voulu arriver en se faisant prêtres: Me faire descendre sur l'autel !

Mes brebis bien-aimées, aujourd'hui, combien sont-ils ceux-là, et où sont-ils ? Oh ! Je regarde sur la terre, Je regarde par le monde, Ma Très Sainte Mère regarde, les saints, les saintes, les anges regardent, cherchent, cher­chent, mais si rarement Nous trouvons une place. J'ai tant besoin de prêtres, et qui veut m'en donner aujour­d'hui ? Mon doux archevêque Marcel ? Oui, de tout son cœur, tant qu'il le pourrait, mais voilà, on veut l'en empê­cher, mais très bientôt, il n'aura plus à tenir compte de cet empêchement.

Dans deux jours ce sera la fête de cette petite Carmélite qui mourut si jeune, parce qu'elle avait accomplit l'Amour tout entier en si peu de temps, parce qu'elle avait pris le chemin le plus rapide pour parvenir à l'amour parfait ! Essayez de devenir plus petits encore, plus humbles encore, afin que Ma Très Sainte Mère et Moi Nous puissions encore plus vous donner et surtout, Je vous en supplie, surtout, ne fermez jamais vos cœurs, mais ouvrez-les, écoutez-Nous et ne refusez jamais, oh ! non, jamais, une grâce que nous voulons vous donner !

En effet, un des grands malheurs du monde à l'heure ac­tuelle, c'est que les âmes refusent la grâce. Je veux donner des grâces, Ma Très Sainte Mère Me supplie jour après jour d'en donner, d'en donner encore, mais à qui pourrai-Je les donner puisqu'on ne veut pas les accepter ? Alors, que faire ? L'homme est libre, Je ne peux pas le forcer !

Oh ! Mes brebis bien-aimées, en ce jour si beau qui est le premier du mois du très saint Rosaire, essayez de com­prendre mieux que jamais les quinze mystères du rosaire, méditez-les mieux que jamais encore, essayez de les vivre vraiment ! Essayez- de vous mettre à chaque fois en pré­sence de ce que chaque dizaine représente, afin que vous soyez encore plus près de Ma Très Sainte Mère, plus près de Moi et plus près surtout de l'immense mystère d'amour qui représente tout ce pourquoi Je suis venu sur la terre, tout le mystère de la Rédemption.

FIN  des  messages de Fribourg en Suisse. (1976)

 

PRIÈRE A NOTRE DAME

O Vierge Immaculée, jetez un regard plein de bonté sur ce monde qui se débat, se déchire sans cesse entre deux puis­sances: le Règne du Christ et l'œuvre de Satan. Ayez pitié de ceux qui, sur les cinq continents, ont con­fiance en Vous et en Votre divin Fils, mais qui se heurtent sans cesse à des obstacles presque insurmontables. Ne permettez pas que la tâche merveilleuse accomplie jusqu'ici par l'Eglise de Votre divin Fils, dans le monde entier, soit diminuée à cause de l'incompréhension de ceux qui la guident et des gouvernements qui refusent d'accepter que seul le Christ peut régner sur le monde et l'univers tout entier.

Renforcez le courage et la force de ceux et celles, religieux et laïcs, qui s'efforcent, malgré tout, de faire connaître la Vérité et d'amener les peuples à la Vraie Lumière. Soyez présente, ô Marie, partout où il y a la lutte, inter­cédez auprès de Votre divin Fils afin que tous soient sauvés.

Accueillez dans Votre Paradis, ô Marie, tous ceux qui ont donné leur vie par amour pour le Christ et tous ceux qui ont en Lui une confiance illimitée.

Ouvrez nos cœurs et nos âmes aux problèmes de tous les pays. Faites-nous généreux, compréhensifs, afin que le monde connaisse enfin la Paix, la Vraie Paix. Notre Dame d'Afrique, d'Amérique, d'Asie, d'Europe, d'Océanie, Notre Dame de partout, veillez sur nous, pro­tégez-nous afin qu'un jour, sur tous les continents, reten­tisse le triomphal

CHRISTUS VINCIT  

CHRISTUS REGNAT

CHRISTUS IMPERAT

PENITENCE-CONFIANCE-PRIERE-FIDELITE-ABANDON- AMOUR

 

NB Le représentant de N.S. J.-C. sur la terre est toujours vivant et c’est S.S. Paul VI.  SVP pouvez offrir pour lui un chapelet par jour. Est-ce trop vous demander ? 

Elogofioupiou.over-blog.com

 

 

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24 mars 2018 6 24 /03 /mars /2018 07:50

MESSAGES… (19) A Rome tout cela sera détruit

Ces messages furent transmis à une âme  à Fribourg (Suisse), par la Très Sainte Vierge Marie, Reine de l’Univers et de tous les cœurs (31 mai 1965 au 1 janvier 1968), ensuite par Notre Seigneur Jésus-Christ.

 

19 août 1975  (suite)

 

Et Mon doux archevêque Marcel, lui aussi vous devez le considérer comme un saint, le vénérer comme tel ! Personne n'a le courage dans le monde entier de lutter comme il le fait ! Avec une constance, une continuité si parfaite, une humilité si profonde, une douceur si angélique ! Et cela parce qu'au fond de son cœur, il sait très bien que ce que Je suis venu enseigner il y a bientôt deux mille ans, Je ne l'ai pas enseigné pour la poussière ou pour des basiliques vides ! Mais Je l'ai enseigné pour une Eglise vivante, une Eglise croyante, une Eglise profondément ancrée dans sa loi ! Or l'Eglise officielle, l'Eglise d'aujour­d'hui, qu'a-t-elle encore de la foi ? Puisque Mes ministres eux-mêmes ont relâché tout ce qui en faisait la puissance ! Ils ont mis de côté les sacrements et ils les mettront de plus en plus de côté jusqu'à en arriver à ne même plus les donner, à ne même plus célébrer le Saint Sacrifice de la Messe ! Et le temps n'est pas loin où la parole terrible des Écritures s'accomplira: « On abolira le sacrifice per­pétuel » ! Par l'Eglise officielle, cela va de soi, et il faut bien que vous le compreniez, car, dans Mon Eglise, il ne se relâchera jamais, même si un jour il devait ne plus apparaître et être comme dans les catacombes, ces cata­combes qui sont si nombreuses à Rome et où tant de milliers et de millions de chrétiens ont eu la foi, le cou­rage et la force de vaincre les tyrans de l'empire romain ! Oh ! Mes brebis bien-aimées, si vous pouvez penser pen­dant quelques instants à Rome, à la Rome impériale, la Rome toute-puissante qui s'étendait si loin, et à ce qu'il en reste aujourd'hui ! Quelques amas de ruines, quelques vestiges et beaucoup d'oubli ! Et dites-vous bien qu'un jour, la Rome chrétienne, la Rome de la foi, la grande Rome du catholicisme, sera elle aussi dans le monde entier une ruine.

A quoi Me servent les beaux temples, les belles cathédra­les ? A quoi Me servent tant de sanctuaires ? A quoi Me servent tant de basiliques ? Tant d'œuvres d'art ? Tant de reproductions de Ma Très Sainte Mère, de Moi-même, de tous les saints, si on ne pense même plus au sens profond de chacune de ces représentations ? Puisque ce ne sont plus que de vastes musées, puisque ce ne sont plus que des tas de pierres, il n'y a plus la foi, que bien souvent, on y fait même plus le signe de la victoire, c'est-à-dire le signe de la croix !

Tout cela sera détruit ! Et il n'en restera pas pierre sur pierre !

Mon Eglise triomphera, oui, mais pas dans ces bâtiments, pas dans ces cathédrales, pas dans ces basiliques ! Non ! Dans les âmes !

Il ne restera à un moment donné plus que les âmes ! Plus que la matière vive ! Vivante ! Pour être Mon Eglise ! Vous n'aurez plus de locaux ! Vous n'aurez plus d'églises surtout !

Mais vous serez Mon Eglise ! Et vous porterez en vous la flamme de la foi ! Cette vive flamme d'amour qui a brûlé le cœur de tous les saints, qui a brûlé le cœur de tous les martyrs.

Vous savez combien Mon ennemi est puissant à l'heure actuelle puisqu'il possède pratiquement le monde entier. Mais vous savez aussi qu'il ne peut pas posséder une âme si cette âme refuse de l'écouter, de se laisser tromper par lui. Les âmes qui se laissent égarer par Mon ennemi, ce sont des âmes qui n'ont pas le courage de prier, de prier à fond, de prendre en main le rosaire ! Car si une âme tient le rosaire, dit le rosaire, Mon ennemi peut bien la tourmen­ter, peut bien lui faire croire beaucoup de choses, mais il ne peut rien contre elle ! Parce que Ma Très Sainte Mère protège cette âme d'une manière toute particulière ! Alors, Mes brebis bien-aimées, veillez bien à avoir toujours sur vous ce rosaire, ce rosaire que Ma Très Sainte Mère donna jadis à Dominique et qui s'est répandu à travers les siècles et qui, hélas ! Aujourd'hui, il reste bien souvent oublié au fond des tiroirs.

Vous qui avez des enfants, donnez-leur le rosaire ! Qu'ils l'aient sur eux continuellement ! Jour et nuit ! Répondez à la haine par l'amour, toujours par l'amour, mais  toujours  aussi par la justice et par la vérité ! Ne cachez pas la vérité '

JE VOUS EN SUPPLIE, NE CACHEZ PAS LA VÉRITÉ !

Tant de Mes ministres, tant de ceux qui sont responsables des âmes cachent actuellement la vérité au monde, et c'est pour cela que, sur les millions d'âmes qui tombent en enfer, Nous avons bien de la peine à en moissonner quel­ques unes pour Nous, ne fusse que pour le purgatoire, en attendant de les prendre au ciel.

Alors redoublez de prières, pour la cause de Mon Eglise, la cause de Mon Vicaire sur la terre Paul VI et de Mon doux archevêque Marcel.  (Mgr Lefebvre est décédé le 25 mars 1991)

A suivre. 

NB : Le représentant de N.S. J.-C. sur la terre est toujours vivant et c’est S.S. Paul VI.  SVP pouvez offrir pour lui un rosaire par jour. Est-ce trop vous demander ? 

Elogofioupiou.over-blog.com

 

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23 mars 2018 5 23 /03 /mars /2018 08:52

MESSAGES … (18)  Je suis vraiment présent a Fribourg

Ces messages furent transmis à une âme  à Fribourg (Suisse), par la Très Sainte Vierge Marie, Reine de l’Univers et de tous les cœurs (31 mai 1965 au 1 janvier 1968), ensuite par Notre Seigneur Jésus-Christ.

 

19 août 1975 (Première partie de deux)

Le monde se débat, se déchire plus que jamais, et vous le constatez bien ! Les paroles que Ma Très Sainte Mère avait prononcées il y a des années déjà concernant la situation mondiale, ne font qu'arriver à terme, les unes après les autres, avec une rapidité incroyable ! Les pays tombent presque du jour au lendemain aux mains de Mon ennemi, aux mains du communisme ! Et personne n'est là pour les défendre ! Personne n'est là pour retenir encore la main de Mon Père sur ces pays ! Et cela pour­quoi ? C'est avec une grande douleur que Je dois le dire, que Je dois vous le dire, c'est à cause de la faillite de l'Eglise ! A cause de la faillite de ceux à qui était confié le trésor le plus sacré, le trésor de la foi ! Parce qu'il ne l'ont plus répandue, cette foi, parce qu'ils n'ont plus voulu parler de ce que Je suis venu Moi-même enseigner autrefois, parce qu'ils ont eu peur et parce qu'aujourd'hui encore, beaucoup ont peur, tremblent, préfè­rent se ranger aux côtés de Mon ennemi plutôt que de lutter contre lui, avec Nous !

Les armes de la foi, vous le savez, ce sont la croix et le rosaire ! Mais cela, beaucoup le trouvent tout simplement trop pénible et trop fatiguant !

Combien de Mes ministres M'ont abandonné ! Combien d'entre eux ont tout laissé tomber ! Même jusqu'à l'idée du péché ! Jusqu'à l'idée de l'enfer ! Et cela par faiblesse, par crainte !

Mais qu'y a-t-il à craindre sur la terre, sinon perdre votre vie ? Mais qu'est-ce que cela si vous êtes sûrs de gagner le ciel, de gagner après la béatitude éternelle auprès de Nous, auprès de Moi, auprès de tous ceux qui vous sont chers, ceux qui Nous ont déjà rejoints ! Oui, la lutte qui est actuellement engagée est terrible ! C'est la dernière ! Et il n'y a pas trois ou quatre parts, il n'y en a que deux: ou bien vous lutterez avec moi, avec Ma Très Sainte Mère, avec toutes les difficultés que cela représente, ou bien vous serez contre --Nous, avec Mon ennemi, et alors vous serez voués à l'enfer ! Des millions de gens se pressent à Rome cette année et tout particulièrement ces mois puisque ce sont les mois des vacances, mais ils y sont en touristes, ils ne savent même pas ce que c'est que l'Année Sainte ! Ils ne savent même pas ce que c'est qu'une porte sainte; ils ne savent même plus ce qu'est une indulgence, ce qu'il faut faire pour la gagner !

Année Sainte ! Année où Ma Très Sainte Mère et Moi, tous les Saints Martyrs de Rome, les Apôtres, tous les succes­seurs de Pierre, voudraient répandre tant et tant de grâces sur ces milliers, ces millions de fidèles qui se pressent à Rome et que Nous ne pouvons pas donner souvent parce qu'à Moi, on Me refuse de descendre sur les autels en ne disant pas les paroles qui Me permettent de venir, et aux âmes, on ne les a pas instruites quant à ce qu'elles doivent faire pour obtenir l'indulgence de l'Année Sainte.

Oui, les basiliques de Rome sont bien belles, mais vastes, mais ce n'est plus la sainteté qui y habite, mais la pous­sière, car même en cette Année Sainte, on n'a pas pris la peine de nettoyer ne serait-ce que les basiliques princi­pales. Et les autels latéraux ne sont pas nettoyés. Ils sont couverts de poussière. Et c'est avec une immense tristesse que les Saints à qui sont dédiés ces autels regardent avec Moi le délaissement dans lequel se trouvent tant et tant d'autels...

Aujourd'hui, Je peux vous dire que d'ici peu, très peu de temps, Mon Eglise triomphera ! Et par la même occasion, Ma Très Sainte Mère !

Oui, Mes brebis bien-aimées, ce triomphe est beaucoup plus proche que vous ne pouvez le penser en voyant ce qui se passe et ce qui se dit autour de vous, mais si vous regardez un peu la situation politique du monde, la rapi­dité avec laquelle elle se dégrade, pensez que Nous aussi, Nous allons rapidement, plus rapidement encore ! C'est pour cela qu'en ce jour où vous venez de célébrer la fête du Cœur Immaculée de Ma Très Sainte Mère, Je veux que vous ressentiez en vous une immense espérance, une immense joie, une immense reconnaissance aussi, re­connaissance pour tout ce qui a été fait, pour toutes les grâces que vous avez reçues. Une immense reconnaissance aussi pour avoir eu la foi en ce qui se passe ici. (Fribourg) ! Pour avoir eu le courage de croire malgré tout ce que vous avez pu entendre, que Je suis vraiment présent et que l'âme pri­vilégiée n'est pas trompée par Mon ennemi, n'est pas l'objet du démon comme beaucoup veulent le croire, mais qu'elle est bien tout simplement à Mon service et que c'est parce qu'elle n'a jamais refusé de faire ce que Je lui demandais, comme jadis ce que Ma Très Sainte Mère lui demandait. C'est parce qu'elle a toujours tout accepté que vous avez aujourd'hui la joie, la grâce immense d'être dans Mon Eglise, c'est-à-dire dans Ma Barque, et non pas dans l'une des innombrables barques qui flottent aux alentours, ne sachant trop où naviguer et n'ayant pas le chef de l'Eglise à sa tête, c'est-à-dire Mon Vicaire sur la terre Paul VI, que vous devez vénérer comme un saint, déjà maintenant ! Un saint martyr ! Car c'est cela qu'il deviendra un jour !

A suivre. 

Elogofioupiou.over-blog.com

 

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21 mars 2018 3 21 /03 /mars /2018 08:42

MESSAGES … (17) Ma présence est encore réel lorsque

Ces messages furent transmis à une âme  à Fribourg (Suisse), par la Très Sainte Vierge Marie, Reine de l’Univers et de tous les cœurs (31 mai 1965 au 1 janvier 1968), ensuite par Notre Seigneur Jésus-Christ.

 

30 juin 1975 (suite)

 

J'étais présent sur la terre au Jeudi-Saint, lorsque J'ai institué la Sainte Eucharistie. Je suis encore présent au­jourd'hui, à chaque fois qu'un de Mes ministres pro­nonce vraiment les paroles que Je prononçais ce jour-là. Donc, si Je vous ai quittés en apparence, si J'ai quitté la terre, Je suis toujours avec vous et aussi longtemps que dans le monde entier il se trouvera un endroit où un de Mes ministres croyant vraiment à Ma présence réelle, dira les paroles sacrées, Je descendrai sur l'autel et Je serai parmi vous.

Dans la lutte actuelle, les endroits se font de plus en plus rares où Je peux vraiment descendre. Mais malgré tout, il en reste encore beaucoup, plus que vous ne le croyez, plus que vous ne pouvez le savoir, et cela durera encore. Alors ne vous découragez pas, allez de l'avant, et quand bien même vous devez célébrer le Saint Sacrifice de la Messe dans un endroit qui n'a rien d'une église, mais qu'à cela ne tienne, puisqu'on a pris toutes les églises pour en faire autre chose. Oui, presque toutes les églises qui sont Mes maisons ont été bâties pour Moi, en Mon honneur et pour Ma Très Sainte Mère, nous sont reprises les unes après les autres pour en faire des salles de concert, des théâtres, que sais-Je encore.

Alors ne soyez pas tristes si vous devez avoir le Saint Sacrifice de la Messe dans un hangar ou dans une maison quelconque. Ne soyez pas tristes puisque vous avez la cer­titude que Je suis vraiment parmi vous, avec Ma Très Sainte Mère.

De plus en plus, à travers les événements, vous voyez que soit ce que Ma Très Sainte Mère avait dit, il y a bien des années déjà, soit ce que J'ai dit Moi-même, se réalise. Et même les choses qui vous paraissaient les plus incroyables, vous les voyez fondre sur vous en si peu de temps que vous n'avez presque pas le temps de réagir. Oui, tout s'accomplira jusqu'à la dernière lettre avant que les temps ne passent, mais vous n'êtes pas sans remarquer que les temps vont vite, très vite, et que le salut de l'humanité doit se faire très rapidement, avant que Mon Père ne décide de juger le monde, car alors il sera trop tard. Il est déjà trop tard pour beaucoup qui ont laisser passer la grâce de choisir, de choisir entre le sacri­fice, la peine, la croix et la facilité du monde d'aujour­d'hui. Choisir entre l'Eglise de toujours, entre son ensei­gnement à travers tous les saints et toutes les saintes qui se sont succédé, tous les papes, ou l'Eglise d'aujourd'hui, cette Eglise officielle qui se veut toute à tout, qui se veut ouverte à toutes les croyances et qui n'est plus Mon Eglise. Ce n'est pas sans une immense tristesse que Ma Très Sainte Mère et Moi Nous regardons le monde. Nous pleurons bien souvent, parce que Nous savons que si les âmes étaient mieux éclairées, il en est beaucoup qui comprendraient quel chemin elles doivent choisir.

Vous devez faire tout votre possible pour éclairer les âmes ! Mais rapidement, Je vous le répète, le temps presse. Il n'est plus lieu d'attendre maintenant. Croyez-vous que les armées de Mon ennemi attendent, elles, pour envahir le monde ? Pour se jeter sur des pays qui semblent encore libres à l'heure actuelle et qui ne le seront plus peut-être dans un mois ?

Vous en avez fait l'expérience, vous savez ce qui s'est passé au cours de ces derniers mois dans le monde, vous avez vu s'écrouler des pays comme le Vietnam, vous avez vu s'écrouler le Cambodge et tant d'autres pays, le Portu­gal où Ma Très Sainte Mère avait pourtant lancé Son cri d'alarme, ce cri qui n'a pas été entendu, qui n'a pas assez été lancé, puisque la Russie ne s'est toujours pas convertie et que bien au contraire elle répand ses erreurs à travers le monde et cela de plus en plus, et ne croyez pas qu'elle va s'arrêter où elle en est maintenant, oh non ! Vous êtes tous menacés ! Vous vous croyez libres aujour­d'hui, mais demandez-vous si vous serez libres dans deux, dans trois mois !

Oui, Mes brebis bien-aimées, le communisme qui fait tant de ravages et qui atteint si facilement les masses d'âmes même dans les pays chrétiens, agit avec une rapidité foudroyante. Et pourquoi ? Parce que ceux qui devraient en­seigner la vérité ont cessé de prier. Parce que la grande partie de Mes ministres et même ceux qui sont les plus responsables dans l'Eglise ont cessé de prier ! S'il y avait cette barrière de prières dans le monde, le communisme ne pourrait pas avancer comme il le fait. Si l'Eglise s'était opposée violemment comme elle aurait dû le faire, à cette avance, ils auraient été bien obligés de rester sur leurs positions. Mais rien ne s'oppose à leur avance ! Rien, absolument rien ne les retient, puisqu'ils peuvent par­venir plus facilement au pied de Mon Vicaire sur la terre que n'importe qui d'entre vous ! Bien plus facilement que Mon doux archevêque Marcel, lui qui pourtant lutte pour Mon Eglise, lui qui forme de saints prêtres, des prêtres selon Mon Cœur, des prêtres selon le cœur de Ma Très Sainte Mère ! Eh bien, pour lui, toutes les portes se ferment au Vatican. Et pendant ce temps, pendant que lui doit se débattre dans de terribles problèmes, qui peut se présen­ter devant Mon Vicaire sur la terre ? Je n'ai pas à vous le dire, vous le savez bien. Un communiste, bien sûr ! (Il s'agissait de Gromiko, ministre des affaires étrangères d'URSS.)

Mes brebis bien-aimées, si Je vous dis tout cela, c'est pour que la situation soit bien claire devant vos yeux, que ce soit en pleine conscience que vous vous engagiez à Ma suite. Je vous demande de réapprendre au monde à prier, de réapprendre au monde que Je suis venu par amour pour les hommes, de réapprendre au monde ce que Ma Très Sainte Mère a donné, le Rosaire ! De réapprendre au monde toutes les vérités qui sont cachées dans la Sainte Ecriture, dans le catéchisme et dans toute la Tradition de Mon Eglise.

N'oubliez pas un seul instant que c'est par l'amour que vous triompherez, que c'est par la charité, charité entre vous d'abord, charité envers les autres qui n'ont pas com­pris et qui ne peuvent pas savoir qu'ils sont dans l'erreur.

Vous devez toujours agir par amour, mais toujours dans la vérité. Car la vérité sans amour ne peut que faire du mal et l'amour sans la vérité, ce n'est plus la vérité. C'est ce que beaucoup de Mes ministre essaient de faire croire à leurs fidèles aujourd'hui, qu'il n'y a plus de péché, qu'il n'y a plus besoin de confession, qu'il n'y a plus besoin de sacrements. Il font cela pour arranger les gens, arranger les gens peut-être pour la terre, mais cela ne prépare pas les âmes pour le ciel ! Or, chaque âme qui est sur la terre est destinée au ciel et non pas à Mon ennemi.

A suivre. 

NB Le représentant de N.S. J.-C. sur la terre est toujours vivant et c’est S.S. Paul VI.  SVP pouvez offrir pour lui un chapelet par jour. Est-ce trop vous demander ? 

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20 mars 2018 2 20 /03 /mars /2018 09:21

MESSAGES… (16) Vous aurez à passer un examen

Ces messages furent transmis à une âme  à Fribourg (Suisse), par la Très Sainte Vierge Marie, Reine de l’Univers et de tous les cœurs (31 mai 1965 au 1 janvier 1968), ensuite par Notre Seigneur Jésus-Christ.

 

30 juin 1975 (Première partie de 2)

L'Église connaît la persécution la plus tragique qu'Elle n’a jamais connue à travers les siècles.

Oui, bien sûr, dès le début, la persécution a commencé puisque Moi-même, Je suis mort sur la croix pour vous, par amour pour vous. Et puis, tous Mes apôtres ont été martyrs. Et puis tous ceux qui leur ont succédé, qui ont cru en Moi et qui ont cru en leur parole, à leur enseigne­ment, ont été à leurs tours martyrs.

Les premiers successeurs de Pierre ont tous été martyrs. Et, aujourd'hui, ce sont ceux-là même qui devraient défen­dre cette foi, ce sont ceux-là même qui devraient défendre cette Eglise et tout ce que J'ai enseigné, tout ce que Je lui ai donné à travers les siècles et tout ce que Je lui donnerai encore, ce sont ceux-là qui la trahissent, qui ne veulent plus donner la vérité aux âmes, qui ne veulent plus la donner parce que cela les gêne, parce que cela les empêche de vivre comme ils le veulent, c'est-à-dire selon le monde. Mais qu'est-ce que cela veut dire ? Qu'est que cela apporte que de vivre selon le monde ? Facilité certes, pendant votre vie ici-bas, possibilité d'accéder à tous les plaisirs que procure ce monde, mais cela ne vous apporte ni la paix, ni le bonheur.

Si J'ai passé par la croix, Moi-même, par amour pour vous, si Ma Très Sainte Mère a tant souffert au pied de cette même croix, si elle a tant pleuré sur le chemin du Cal­vaire, ce n'était certes pas pour promettre à ceux qui ac­cepteraient de reconnaître en Moi le Fils de Dieu une vie facile, une vie agréable, une vie de plaisir, oh non ! Mais votre vie sur la terre à vous tous, et surtout à vous qui comprenez mieux que quiconque ce que J'ai voulu ensei­gner et qui a été transmis par les apôtres, c'est que votre vie terrestre est en somme comme un examen que vous avez à passer, un examen qui doit vous entraîner à la sainteté, à l'amour fraternel ! Un examen qui doit vous faire connaître les désirs de Mon Cœur. Connaître les désirs du Cœur de Ma Très Sainte Mère et puis qui doit vous faire monter dans cet amour, vous embraser de plus en plus, afin que vous soyez capables de sortir du monde, de quitter le monde ! Déjà à Mes apôtres J'avais dit ces paroles. Je leur avais dit qu'ils n'étaient pas du monde et que parce qu'ils n'étaient pas du monde, ils seraient persé­cutés en Mon Nom, à cause de Moi. Je leur avais dit que parce qu'ils n'étaient pas du monde, ils seraient rejetés par le monde.

Eh bien vous, parce que vous n'avez pas voulu être du monde, parce que vous n'avez pas voulu suivre le monde, et faire ce que fait l'Eglise officielle actuellement, c'est-à-dire qu'au lieu d'imposer la Vérité, elle se soumet elle-même au monde, à cause de cela, vous le savez bien, vous êtes vous-mêmes persécutés, rejetés, rejetés par vos famil­les, rejetés par les autorités ecclésiastiques en tout premier lieu. Mais n'oubliez jamais une chose, si vous êtes rejeté du monde, Moi, Je ne vous rejetterai pas ! Ni Ma Très Sainte Mère ! Et il vaut mieux que vous passiez toute votre vie dans la souffrance et dans la peine pour passer toute votre éternité auprès de Nous ! Plutôt que de passer votre vie dans la joie, dans les plaisirs, dans l'insouciance, dans l'abondance des biens matériels pour partir au fond de l'enfer pour l'éternité !

Regardez un peu autour de vous lorsque vous circulez, soit pour votre propre vie, soit pour vos affaires. Regardez, combien sont-ils qui tournent les yeux vers Ma Très Sainte Mère ou vers Moi ? Et en cette période, plus encore que pendant le reste de l'année, cette période fatale des vacan­ces qui revient et où les gens ne savent faire qu'une chose, aller le plus loin possible pour jouir le maximum de quel­ques semaines qu'ils appellent de détente, pour se per­mettre toutes les libertés, pour commettre plus de péchés qu'il ne s'en commet durant toute l'année, pour se livrer à la débauche, aux jeux, à tout ce que Ma Très Sainte Mère et Moi Nous rejetons !

Oui, Mes brebis bien-aimées, chaque année, lorsque com­mencent les vacances, le Cœur de Ma Très Sainte Mère et le Mien sont lourds, lourds de peines parce que Nous voyons tant d'âmes partir pleines d'insouciance, pleines de mépris même, parce que beaucoup qui se tiennent en­core assez bien lorsqu'ils sont dans leur pays, à cause des autres, se livrent aux pires des péchés lorsqu'ils sont au loin. Pour vous, vous devriez trouver des vacances lorsque vous êtes auprès de Moi, auprès de Ma Très Sainte Mère. C'est là que vous devriez prendre le temps de reposer vos cœurs, de reprendre des forces, de reprendre courage aussi. Il vous faut, relever la tête, recommencer, dans les cata­combes comme au cours des premiers siècles de l'ère chrétienne.

Mais recommencer avec une foi plus vive que jamais, en étant bien persuadés au fond de vos cœurs que vous n'êtes pas seuls, mais que Nous sommes continuellement avec vous, Ma Très Sainte Mère et Moi, et tous ceux qui ont donné leur vie et leur sang pour cette Eglise que J'ai fon­dée, cette Eglise qui doit garder la Vérité, qui est la dépo­sitaire de ce que Je lui ai donné !

Vous essuierez encore bien des tempêtes ! Vous n'êtes pas au bout de vos peines. Les temps qui commencent maintenant pour vous sont loin d'être des temps florissants où vous pourrez en toute quiétude faire de grandes pro­cessions, de grandes fêtes, les grandes fêtes de l'Eglise ouvertement. Non, ce temps est révolu. Et pour ceux qui n'ont pas su apprécier tout cela, eh bien, ils pourront y repenser maintenant, y réfléchir et se demander ce que cela représentait !

Il vous faudra du courage, beaucoup de courage, de la volonté, beaucoup de volonté, mais surtout, il vous faudra beaucoup d'amour ! Il vous faudra un amour plus grand que tout ce que vous pouvez donner de vous-même ! Je suis mort sur la Croix par amour pour vous ! Eh bien, vous, vivez tous les événements que vous devez traverser par amour pour Moi, par amour pour Ma Très Sainte Mère, par amour pour l'Eglise, mais par amour pour l'Eglise avec Mon Vicaire sur la terre Paul VI, et non pas séparés de lui, car si vous enlever Mon doux Vicaire sur la terre Paul VI, alors vous n'êtes plus de Mon Eglise.

Mon Eglise, elle est une, sainte, catholique et elle a à sa tête Mon doux Vicaire Paul VI, aussi longtemps que ce sera la volonté de Mon Père. Cela, vous devez le compren­dre, même si bien des fois, vous vous interrogez sur son attitude, si des fois vous êtes impatients parce qu'il ne parle pas au nom de la Tradition comme vous le désireriez tant ! Mais qu'à cela ne tienne, ce que Je vous demande et ce que Je vous redemanderai toujours, c'est d'avoir con­fiance, cette confiance inébranlable.

Oui, vous devez avoir confiance, vous devez être aban­donnés, vous devez être entièrement donnés, mais donnés à Ma Très Sainte Mère, donnés à Moi-même ! Vous avez tout ce que J'ai enseigné Moi-même et qui se trouve dans la Sainte Écriture. Vous avez l'enseignement de toute l'Eglise. Vous n'avez qu'à regarder tout cela et vous verrez que nul ne peut ici-bas renier 19 siècles de Vérité.

A suivre. 

Elogofioupiou.over-blog.com

 

 

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19 mars 2018 1 19 /03 /mars /2018 13:28

MESSAGES…  (15) Savez-vous qu’il y a deux Églises.

Ces messages furent transmis à une âme  à Fribourg (Suisse), par la Très Sainte Vierge Marie, Reine de l’Univers et de tous les cœurs (31 mai 1965 au 1 janvier 1968), ensuite par Notre Seigneur Jésus-Christ.

 

10 juin  1975 (suite)

Dans le précédent article, on a vu que l’Église officielle est la fausse Église

cela représente un total rejet du monde, un total rejet de l'Eglise officielle ! Soyez bien conscients que si vous acceptez de rester avec Moi, avec Ma Très Sainte Mère, vous n'aurez absolument plus rien à voir avec l'Eglise officielle ! Il faut bien se dire qu'il y a deux Églises: Mon Eglise avec Mon doux Vicaire sur la terre Paul VI, et l'Eglise officielle avec toute la hiérarchie en dessous de Mon Vicaire, et que Je suis obligé de rejeter puisqu'elle-même Me rejette !

Car ceux qui ont condamné Mon doux archevêque Marcel, (Il s'agit de Mgr Marcel Lefèbvre. Décédé le 25 mars 1991) ne se rendent pas compte que c'est Moi-même qu'ils ont con­damné une nouvelle fois à la Croix ! Que c'est Moi-même qu'ils ont jeté dehors !

Or, il ne manquait plus que cela, que des membres haut placés dans la hiérarchie Me jette hors de l'Église pour que l'acte fut complet ! Car il y a plusieurs années déjà que Mes ministres, beaucoup de ceux qui étaient Mes ministres, M'ont rejeté, ne veulent même plus croire à Ma présence dans la Sainte Eucharistie !

Or, dans cet immense acte d'amour que J'ai voulu faire pour vous les hommes, Me donner à vous jour après jour, jour après jour jusqu'à la fin des temps, afin de ne jamais vous laisser seuls, afin que vous trouviez toujours le cou­rage nécessaire pour tout entreprendre, mais toujours au nom de la Vérité, au nom de l'Amour ! A cause de cela, J'ai voulu rester parmi vous, dans les tabernacles ! Dans le Très Saint Sacrement de l'autel ! Je me suis donné jus­que dans l'Hostie ! Et c'est vous, vous les hommes qui Me jetez dehors !

Vous Me chassez de Mes maisons, vous Me les prenez les unes après les autres ! Vous Me chassez du temple, com­me J'ai été chassé de Mon vivant de la synagogue de Jérusalem, de celle de Nazareth et d'autres encore. Oui, les hommes agissent aujourd'hui exactement la même chose qu'il y a deux mille ans !

L'homme sans l'amour, l'homme sans la foi n'est qu'un barbare ! n'est qu'un loup !

Or, Moi, Je suis l'Agneau ! Je suis l'Agneau immolé pour vous ! L'Agneau qui a donné sa vie par amour pour vous ! Alors, ceux qui veulent Me suivre doivent être aussi des agneaux et non pas des loups. Je comprends qu'au fond de certains de vos cœurs, il puisse y avoir un désir de révolte contre ce qui se fait. Peut-être des pensées de ven­geance parfois, parce que d'un côté tout est permis par l'Eglise officielle ! On laisse faire les pires abus ! Jusque dans les églises ! Et de l'autre côté, tout ce qu'il y a de plus saint, de plus sacré, de plus traditionnel, le Saint Sacrifice de la Messe, de la Messe tridentine, on l'interdit On l'excommunie !

Et du moment que vous, vous voulez rester fidèles à ce Saint Sacrifice de la Messe-là, vous devenez tout à coup pour les autres pires que des lépreux ! On se détourne de vous ou alors on vous crache au visage ! Je l'ai dit, il y a quelque temps déjà, que J'étais trahi, trahi une nouvelle fois, trahi par ceux-là même qui devraient enseigner la Vérité !

Ces paroles ont pu paraître terribles lorsqu'elles ont été données, mais vous voyez vous-mêmes maintenant ce qu'il en est. Vous pouvez toucher du doigt jusqu'où va cette trahison qui est bien pire que la première puisqu'elle vient du sein même de l'Eglise !

Oh ! Mes brebis bien-aimées, priez ! Ne cessez pas de prier ! Donnez la plus grande partie de votre temps à la prière ! Vous savez que Ma Très Sainte Mère l'a toujours demandé, le réclame encore ! Priez et faites prier ! Dites aux gens que vous pouvez rencontrer de prier ! Ne per­dez plus de temps en paroles inutiles ou vaines, mais priez et faites prier ! Un chapelet, cela ne prend pas tellement de temps ! Alors réapprenez aux gens à le réciter, ce cha­pelet ! Donnez-en à ceux qui ne savent plus où ils ont mis le leur ! Qui n'en possèdent plus I Et priez, priez beau­coup !

Priez le plus que vous pouvez pour qu'un grand nombre d'âmes aient la lumière, acceptent la grâce, se convertis­sent et se tournent vers Moi, vers Mon Eglise ! Vers Celle que J’ai fondée ! Et se détournent de celle qui actuellement bafoue tout ce que J'ai enseigné et tout ce que tant de saints, à travers les siècles, ont manifesté comme étant bon, étant pur, étant vrai !

Ils ne veulent plus de la Vérité, donc ils ne veulent plus de Moi !

Soyez bien conscients de cela ! Si on ne veut plus Moi-même, si ne ne veut plus Ma Très Sainte Mère, si on se moque de ceux qui récitent le chapelet, alors c'est qu'on ne veut plus la Vérité, on ne veut plus l'Amour. Je vous ai dit que l'homme, lorsqu'il n'a plus la foi, lors­qu'il n'a plus la vérité, lorsqu'il ne croit plus à rien qu'au monde et à l'homme en lui-même, devient un loup ! Or, que font les loups ? Ils ne font que des massacres ! Ils ne font que couler le sang ! Ils ne connaissent que la haine ! Ils ne connaissent que la loi de la race ! Seulement, le loup, c'est un animal, donc il n'est pas conscient de ce qu'il fait ! Mais l'homme, lorsqu'il est dans cet état-là, est conscient, lui, de ce qu'il fait ! Il veut le mal ! Il veut le mal pour le mal, pour ce que cela lui donne ! Il veut Satan, il a choisi Satan !

Il a rejeté l'Amour et ils M'ont rejeté ! Ils se déchireront comme des bêtes fauves entre eux et le temps n'en est pas si éloigné !

Lorsque, sur le Mont des Béatitudes, J'ai dit « Heureux ceux qui pleurent, heureux ceux qui ont faim, heureux ceux qui souffrent persécution pour Moi, car Je leur don­nerai le royaume des cieux », ce n'est certes pas à ceux qui se sont fait une religion pour eux que J'adressais ces paroles ! Ces paroles sont pour vous, Mes brebis bien-aimées ! Vous qui essayez de Me rester fidèles à travers toutes les embûches de l'ennemi. « Heureux les persécu­tés ! » Oui, cette phrase est bien pour vous aujourd'hui, car vous êtes persécutés.

Je vous en supplie, Mes brebis bien-aimées, bannissez de vos cœurs toutes idée de haine ! Toute pensée de ven­geance ! N'ayez que de la pitié ! N'ayez que de l'amour pour ceux qui vous persécutent aujourd'hui, car leur tour viendra d'être persécuté, n'en doutez pas ! Et pas de la manière dont ils le croient ! Parce qu'en faisant ce qu'ils font aujourd'hui, en vous persécutant vous-mêmes, ils ne se rendent pas compte qu'après, ils retourneront le couteau contre eux et à leur tour, ils seront persécutés ! Car cette Eglise officielle qui veut tant, sous prétexte d'ouverture, avoir des contacts avec l'ennemi, avec le com­munisme, à travers le monde, sera bientôt engloutie par ce même communisme, par ces mêmes chefs d'Etat qui sont reçus aujourd'hui au Vatican sans difficultés, alors qu'on refuse l'accès de ce même Vatican à un archevêque." (Mgr Marcel  Lefebvre)

A suivre. 

NB Le représentant de N.S. J.-C. sur la terre est toujours vivant et c’est S.S. Paul VI.  SVP. Pouvez-vous offrir pour lui, un chapelet par jour. Un rosaire.  Est-ce trop vous demander ? 

Elogofioupiou.over-blog.com

 

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18 mars 2018 7 18 /03 /mars /2018 09:17

MESSAGES…   (14) Le monde n’a plus le temps de M'aimer…

Ces messages furent transmis à une âme  à Fribourg (Suisse), par la Très Sainte Vierge Marie, Reine de l’Univers et de tous les cœurs (31 mai 1965 au 1 janvier 1968), ensuite par Notre Seigneur Jésus-Christ.

 

10 juin  1975  (Première partie de 2)

Aujourd'hui, le monde a tout ce qui pourrait le rendre heureux ! Plus que tout !

Le monde a tout, il peut tout s'offrir ! Mais il n'a plus le temps de M'aimer ! Il  n'a plus le temps de se tourner vers Mon Cœur, vers ce Cœur qui déborde d'amour pour les âmes ! Il n'a plus le temps de se tourner vers le Cœur de Ma Très Sainte Mère qui fut transpercé de douleur à cause des hommes !

Oui, les hommes d'aujourd'hui ont le temps de tout faire, ont le temps de gagner autant d'argent qu'ils en veulent souvent, de se payer de belles vacances, tellement inutiles, tellement vaines, mais ils n'ont plus le temps de penser qu'ils ont une âme. Une âme immortelle ! Une âme qui doit nous appartenir à Nous ! Et non pas à Mon ennemi et à toutes ses légions qui sévissent à travers le monde entier actuellement. Vos âmes sont à Nous, elles sont à Moi ! Je suis venu sur la terre pour les racheter ! Je suis venu sur la terre par amour, uniquement par amour ! Et ce que Je demande du cœur de chaque homme, c'est de l'amour ! Un peu d'amour ! J'en trouve si peu ! Je suis venu, J'ai appelé Mes premiers disciples, Je leur ai donné une mission, Je le ai envoyés pour enseigner les nations et pour les baptiser Au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ils l'ont fait, ils ont accompli leur tâche au prix de leur vie !

Pierre a été jusqu'au bout de la mission qui était la sienne et qui était toute particulière, celle de fonder Mon Eglise. Cette Eglise, malgré toutes les tribulations qu'Elle connut pendant des siècles, a fait son chemin, a avancé. Parfois dans l'ombre, parfois même cachée, parfois dans les triom­phes les plus grands qu'Elle a connus dans ses heures de gloire. Parfois, dans le sang et dans les larmes, pour arriver jusqu'au temps que vous connaissez, que vous vivez vous-mêmes. Or ces temps, jamais l'Eglise ne les a connus à travers les siècles et pourtant que de luttes n'a-t-Elle pas rencontrées sur sa route; que d'écueils n'a-t-Elle pas dû sur­monter ? Combien sont tombés pour Elle ? Combien ont donné leur vie, leur fortune, leur temps... leur sang pour Elle ?

Si Dieu Mon Père vous donnait le chiffre de tous ceux qui ont combattu et qui ont donné leur vie pour Mon Eglise, vous vous rendriez compte qu'ils sont beaucoup plus nom­breux que les millions de soldats qui sont tombés sur les champs de bataille pour des causes purement humaines. Oui ! Ils sont beaucoup plus nombreux, les martyrs ! Ils sont beaucoup plus nombreux ceux qui se sont dépensés pendant toute une vie pour transmettre la Vérité aux âmes ! Ils sont beaucoup plus nombreux et elles sont beau­coup plus nombreuses celles qui ont renoncé au monde pour se donner tout entiers et tout entières à Nous, à la vie du monastère, du couvent.

Ils sont beaucoup plus nombreux et elles sont beaucoup plus nombreuses aussi toutes celles qui se sont dévouées toute leur vie, au chevet des malades, auprès des enfants malheureux, auprès des orphelins, tout cela par amour pour Moi, par amour pour Mon Eglise !

Tout cela pour en arriver à aujourd'hui ! A cette terrible séparation qui est faite maintenant, mais que Je vous ai annoncée depuis longtemps déjà ! Pour en arriver à cette terrible séparation d'une Eglise bien installée, qui paraît bien puissante, qui paraît avoir toutes les possibilités ima­ginables dans le monde, toutes les facilités, à qui on accorde tout, à qui toutes les concessions sont faites et qui fait elle-même toutes les concessions possibles vis-à-vis même des pires ennemis de l'Eglise ! Et Mon Eglise ! Celle que J'ai vraiment formée et celle pour laquelle J'ai dû revenir depuis plusieurs années maintenant, pour la soutenir, pour indiquer ce qu'elle avait à faire, pour indi­quer la ligne qu'elle devait garder si elle voulait rester fidèle à Mon enseignement, si elle voulait rester vraiment Mon Eglise.

Plus les jours passent et plus vous remarquez combien la division se fait.

L'Eglise officielle (la fausse Église) continuera sur sa lancée, elle continuera à avoir des satisfactions mondaines, purement humaines, mais Je ne susciterai plus de vocations pour cette Eglise-là, ni parmi les prêtres, ni parmi les religieux et les religieuses car elle n'en mérite plus !

Par contre, Mon Église fidèle, même si elle paraît bien petite, même si vous vous sentez bien peu nombreux, soyez bien certains que c'est par vous qu'elle sera main­tenue. Bien sûr, vous allez devoir maintenant comme rentrer dans l'ombre. Vous allez avoir une vie qui ressem­blera un peu à la vie des premiers chrétiens dans les cata­combes. Vous n'aurez plus de facilités pour avoir le Saint Sacrifice de la Messe de toujours, de la Messe tridentine. Il faudra vous réunir en secret. Il faudra vous cacher ! Mais ne craigniez rien, parce que toujours Ma Très Sainte Mère et Moi, et tous ceux qui sont morts pour Mon Eglise, seront avec vous pour vous aider, pour vous soutenir, et pour vous aider aussi dans la vie de tous les jours, car plus vous irez de l'avant, plus votre position deviendra difficile vis-à-vis de vos familles, vis-à-vis de vos enfants, sauf si vous êtes capables d'éduquer vos enfants dans le sens de ce que J'ai toujours enseigné.

A SUIVRE

NB Le représentant de N.S. J.-C. sur la terre est toujours vivant et c’est S.S. Paul VI.  SVP,  offrez pour lui un chapelet par jour, un rosaire ?  Est-ce trop vous demander ? 

Elogofioupiou.over-blog.com

 

 

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