Merci monsieur Arcand pour ce beau témoignage de votre amour de la VÉRITÉ. Ce sera un plaisir de vous rencontrer, ce sera pour l’éternité et avec la VÉRITÉ.
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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme
Merci monsieur Arcand pour ce beau témoignage de votre amour de la VÉRITÉ. Ce sera un plaisir de vous rencontrer, ce sera pour l’éternité et avec la VÉRITÉ.
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On entend dire parfois par certaines personnes pieuses: « La piété doit s'accommoder au temps où nous vivons; nous ne sommes plus au moyen âge ; on ne peut plus se rendre ridicule. En exagérant les pratiques extérieures, les mortifications, l'éloignement du monde, on discrédite la religion, on provoque les critiques des indifférents, on les détourne de revenir à Dieu. Il faut se faire une piété appropriée à notre époque et à notre entourage » etc. etc. Que faut-il penser de ce raisonnement et de cette manière du voir ?
Il y a là un peu de vrai et beaucoup de faux ; un peu bon et beaucoup de suspect. Sans doute, on ne doit rien exagérer, et on doit d'autre part tâcher de ne pas effaroucher les mondains en affichant une dévotion hautaine et intransigeante ; mais l'esprit de l'Évangile ne peut être ni altéré ni amoindri, et les pratiques recommandées par la sainte Église sont à observer sans souci de ce que les incrédules penseront. Fais ce que dois, advienne que pourra. Examinons de plus près la situation.
Ces pratiques ne sont pas, par elles-mêmes, la piété, la ferveur ; mais elles l'alimentent et la soutiennent. Elles peuvent être suppléées plus ou moins heureusement par diverses autres ressources, c'est vrai ; mais leur emploi judicieux demeure néanmoins la règle sûre. Sans doute l'union habituelle à Dieu les contient éminemment ; mais cette union, sans leur secours, se maintiendra-t-elle au milieu de tant d'éléments contraires ? Pure illusion !
La question que nous avons à examiner est celle-ci : De nos jours, fait-on aux exercices de piété leur juste part, et n'est-on pas porté à les sacrifier trop facilement ?
La tendance contraire régnait autrefois. Saint François de Sales la combattit victorieusement. Il ne le fit pas en se jetant du côté opposé, comme font les esprits mal pondérés, mais en déduisant des principes les plus vrais les règles les plus sages. On ne saurait lui reprocher d'avoir introduit la moindre cause de relâchement. Ce qu'il demande est important, parfois difficile à pratiquer ; mais il y porte puissamment les âmes par sa douceur, ses ménagements, sa parole toujours encourageante.
Au contraire, que remarquons-nous aujourd'hui dans l'ensemble des personnes pieuses ? Moins de temps donné à l'oraison et aux prières ; moins de pratiques de mortification ; moins d'affirmation de leur foi.
Ces diminutions trouvent une certaine excuse dans l'état même des choses. La vie est bien plus agitée, bien plus absorbée ; les santés sont moins fortes et les habitudes plus délicates ; l'indifférence et l'hostilité nous envahissent !
Mais ne cède-t-on pas trop à ces influences, et la ferveur se sauvegarde-t-elle assez elle-même ? Sous la pression de circonstances défavorables, gardons-nous la saine appréciation des nécessités, la juste mesure des concessions! Nous voyons bien ce qui est abandonné ; nous ne voyons pas trop ce qui le remplace, ou ce qui le remplace est trop extérieur, trop superficiel.
1° Vous avez peu de temps, trouvez-vous ; mais direz-vous sérieusement que quelques quarts d'heure consacrés à votre âme laisseraient en souffrance vos devoirs d'état ? Que de conversations plus longues et inutiles ! Que d'occupations sans valeur ou dont on pourrait se décharger ! Telle personne aisée se privera de toute liberté pour éviter de minimes dépenses : il semble que le soin de l'âme ne doit rien coûter et venir après tous les autres !
2° Telle mortification est-elle vraiment un danger pour votre santé ? Avez-vous essayé, avec conviction d'abord, avec persévérance ensuite ? Si l'on s'y met a contre cœur et avec la persuasion qu'on en sera fatigué, on le sera presque infailliblement ; car le moral influe étrangement sur le physique. Du moins est-il toujours possible de se dédommager par ces mortifications de détail, où la santé n'a rien à voir.
3° Qu'il soit juste de se montrer condescendante, c'est incontestable. La vraie charité est douce, même aux infirmités morales. Mais la prudence enseigne que douceur n'est pas faiblesse ; et l'expérience montre qu'à céder constamment on se rend esclave sans profit pour les autres. Subordonner est sage, sacrifier ne l'est pas. Il semble qu'on n'ait d'autre soin à prendre que celui de dissimuler sa foi ; grande erreur et qui trop souvent dégénère en capitulation, et en trahison !
Renoncer à ses préférences et à ses goûts, quand il s'agit de choses de ce monde ; prévenir les désirs des autres ; ne pas contredire ; ne pas se plaindre ; s'oublier enfin : voilà qui est vertueux et qui accrédite. Mais renoncer aux moyens soutient la vertu, n'est-ce pas l'exposer elle-même? Et certes on a bien le droit de se maintenir sur ce terrain de sages exigences, tandis que l'on s'immole sur tous les autres ?
Et ce n'est pas notre bien personnel qui en profiterait seul ! Il se dégage de notre douce insistance, de nos pratiques surprises ou devinées, une influence religieuse qui agit secrètement sur l'entourage, fût-il hostile. On craint de s'éloigner de la religion en laissant voir qu'on la pratique ; mais rien ne tient plus sûrement éloigné d'elle que l'indifférence et, par cette maladroite réserve, on l'entretient.
Chez telle personne qui se récrie et s'irrite, la préoccupation des choses de la foi prend de la consistance. C'est l'expérience qui le prouve : mieux vaut l'hostilité que l'oubli.
Sacrifiez donc, s'il le faut, ce dont l'omission ne compromet rien, mais imposez doucement ce qui alimente la vie de l'âme et corrobore par surcroît votre autorité.
28 avril-FÊTE : Saint Paul de la Croix, fondateur d'ordre.
Les quatre-vingt-un ans de la vie de saint Paul de la Croix furent comme la reproduction de la vie souffrante et de la Passion de Notre-Seigneur.
Dans son enfance, un banc très lourd lui tomba sur le pied pendant qu'il priait à l'église. Sans prendre garde au sang qui coulait de sa blessure, le saint enfant s'écria plein de joie : « C'est une rosé que Dieu m'envoie ».
Dans l'espoir de mourir pour la religion, Paul s'enrôla dans une croisade contre les Turcs, mais une voix sortie du Tabernacle lui fit connaître qu'il ne devait servir que Jésus-Christ, et qu'il était destiné à fonder une congrégation en son honneur.
Sur l'ordre d'un évêque, et bien que simple laïque, il se mit à prêcher la Passion du Sauveur, et les croix qui vinrent l'éprouver ne tardèrent pas à montrer la réalité de sa vocation. Pendant cinquante années de saints travaux et d'épreuves continuelles, Paul ne cessa jamais de voir et de vénérer partout les marques de l'amour de Jésus-Christ.
Extrait de : LECTURES MÉDITÉES (1933)
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Nous avons une Mère au ciel... et cette Mère, c'est Marie !...
Y a-t-il pour le cœur chrétien une parole plus suave, plus consolante, plus riche d'espérances, de paix et de joie ? Si nous voulons avoir une idée de tous les trésors qu'elle renferme, écoutons les saints.
« O Souveraine bénie, s'écrie saint Anselme, vous êtes la mère de la justification et des justifiés ; vous êtes la mère de la réconciliation et des réconciliés ; vous êtes la mère du salut et des sauvés !
« O refuge assuré ! Ô gage d'espoir qui ne saurait tromper personne ! La mère de Dieu est notre mère... La mère de Celui en qui seul nous mettons toute notre confiance est notre mère ; la mère de Celui qui seul doit être craint est notre mère ; la mère de Celui qui seul condamne, qui seul sauve est notre mère !...
« O Mère glorieuse, vous êtes comblée de bénédictions, mais ce n'est pas pour vous seule, c'est aussi pour nous ! »
« Marie, dit saint Bernard, par son consentement à l'incarnation, a demandé du fond de son cœur et procuré le salut de tous les élus. Depuis lors, elle les a tous portés dans son sein, comme la meilleure des mères porte ses enfants ».
« Et au pied de la croix, dit un autre saint, Marie lui constituée mère de tous les enfants du Sauveur en la personne de saint Jean, qui reçut le droit d'aînesse. Ce fut alors que, lui disant : «Femme, voilà votre Fils », il lui donna pour fils, et saint Jean et tous les autres hommes, non comme des étrangers, mais comme ses propres enfants, qu'elle devait élever pour le ciel».
« La sainte Vierge, dit saint Augustin, est mère du Sauveur selon le corps ; et elle est, selon l'esprit, mère des fidèles qui sont ses membres».
« Marie, ajoute saint Germain, en un seul Fils a donné naissance à tout le peuple chrétien ; elle a fait que ses frères par nature le fussent aussi de son divin Fils ».
« Heureuse journée pour la Mère de Dieu, s'écrie un saint Docteur, que celle où nous sommes devenus ses enfants, mais bien plus heureuse pour nous ! Que je voudrais avoir toute l'éloquence des hommes et des anges pour pouvoir Bénir ce jour mille fois heureux qui nous a faits enfants d'une telle Mère et nous a procuré le bonheur d'appartenir à un tel l'ère ! Que ce jour tienne le premier rang parmi les plus heureux de l'année ; que ce soit un jour rempli d'actions de grâces ; que sa mémoire soit auguste parmi toutes les autres, et qu'on chante à l'honneur de Marie les plus agréables cantiques que l'amour et la reconnaissance peuvent suggérer àdes enfants... »
Tous les saints parlent de la même manière. Marie est mère de Dieu, mère des hommes : elle peut tout obtenir comme mère de Dieu ; elle veut tout obtenir comme mère des hommes.
«Une jeune enfant, élevée chrétiennement par sa pieuse mère, apprenait de celle-ci pour la première fois à former le signe de la croix. Ayant dit : Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, elle fit à sa mère cette réflexion : Mais ici, il n'y a pas de mère ?
« La nature humaine avait parlé par la bouche de cette enfant. L'auteur de cette nature avait dû lui ménager une réponse. La réponse, c'est Marie.
« Marie est tellement notre mère que c'est uniquement pour cela qu'elle est mère de Dieu. Chose admirable et bien digne d'exciter notre amour et notre confiance envers cette Vierge bénie de laquelle est né le Fils de Dieu : elle a été sa mère pour la même raison qui l'a porté à être son fils, pour nous faire enfants de Dieu. Elle est par conséquent moins sa mère en quelque sorte que la nôtre, puisqu'elle ne l'enfante à la vie des hommes que pour nous enfanter à la vie de Dieu... »
Voilà ce que la religion catholique nous a toujours enseignée. Ce n'est donc point par une pieuse métaphore ou une exagération sentimentale que Marie doit s'appeler « notre mère » ; c'est là son vrai titre, fondé sur ce qu'il y a en elle de plus sacré et de plus vénérable ; c'est le terme authentique et officiel qui exprime la mission qu'elle remplit auprès de nous.
Sans doute, nous admettons cela en théorie ; mais pratiquement, la sainte Vierge n'est-elle pas pour nous un idéal mystérieux que nous entrevoyons seulement dans le lointain de la Jérusalem céleste ?
Ne semble-t-il pas que nous attribuons aux siècles passés, et nullement au nôtre, cette prérogative d'avoir eu Marie pour mère dans l'économie de l'existence terrestre et pour le soulagement des peines d'ici-bas ? Ou si Marie nous apparaît encore comme la mère de la pauvre humanité souffrante, n'est-ce pas uniquement dans ce petit coin fortuné de notre patrie et sur cette terre de miracle qui s'appelle Lourdes ?...
Erreur et aveuglement déplorables, qui sont les conséquences de notre peu de foi, et aussi de la funeste nécessité où nous sommes de respirer cet air pestilentiel du rationalisme, répandu dans la société tout entière !
C'est seulement à l'heure de la mort que nous saurons tout ce que nous avons perdu à méconnaître ce beau titre d'enfant de la très sainte Vierge et à ne nous point comporter envers elle comme envers une mère!...
En attendant, nous peinons, nous gémissons, nous portons sans allègement tout le poids de la chaleur du jour et de nos lourdes chaînes, parce que nous ne savons pas recourir à Marie !...
Être malheureux et avoir une mère !... Cela se conçoit-il ? Les mères n'ont-elles pas un secret pour sécher toutes les larmes et des consolations pour toutes les douleurs ?
N’en fût-il pas ainsi, nous savons bien que Marie possède ce secret. Non seulement elle surpasse en tendresse toutes mères, mais ce qu'elle veut, elle le peut: avantage d'un prixinfini, qui n'appartient à aucune mère ici-bas. Son amour ne connaît ni difficulté ni obstacle. Par sa prière elle est maîtresse de la plus puissante de toutes les volontés, celle de Dieu.
Oh ! Vouons-lui dès ce jour une affection sans bornes et, puisqu'elle est vraiment notre mère, soyons vraiment ses enfants !
FÊTE DE CE JOUR: le 2 mai…
Saint Athanase, évêque, naquit en Égypte vers la fin du troisième siècle. Dès sa jeunesse, sa piété, sa science, sa connaissance approfondie des Saintes Écritures le désignèrent comme le défenseur et le champion choisi par Dieu pour défendre son Église contre l'arianisme. Bien qu'il ne fût encore que diacre, il fut choisi en qualité de théologien, par un évêque qui l'emmena en 325 au Concile de Nicée, où son érudition et son habileté à défendre la foi lui attirèrent l'admiration de tous.
Quelques mois plus tard, Athanase fut élu Patriarche d'Alexandrie et pendant quarante-six ans il ne cessa jamais de soutenir, souvent presque seul, les assauts de l’arianisme. Il demeura inflexible contre quatre empereurs romains de Constantinople, fut banni cinq fois, et, sans cesse en butte à toutes les injures, les calomnies, les injustice que pouvaient imaginer les Ariens, il vécut sous la menace continuelle de la mort. Sa vie si agitée se termina dans le calme en 373, non que ses ennemis se fussent lassés de le persécuter, mais parce que son peuple le garantit de leurs attaques.
Extrait de : Lectures Méditées (1933)
Saint Athanase, priez pour nous et pour notre Saint Père Paul VI
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http://bibliothequedecombat.wordpress.com/2013/01/02/mourir-cest-naitre/
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"Qu'il soit flagellé" commande Pilate à un centurion…
"Combien de coups ?"
"Autant qu'il te semble...
Le tout est d'en finir. Et je suis ennuyé. Va."
Jésus est emmené par quatre soldats dans la cour au-delà de l'atrium. Dans cette cour, toute pavée de marbre de couleur, il y a au milieu une haute colonne semblable à celle du portique. A environ trois mètres du sol elle a un bras de fer qui dépasse d'au moins d'un mètre et se termine en anneau. On y attache Jésus avec les mains jointes au-dessus de la tête, après l'avoir fait déshabiller. Il ne garde qu'un petit caleçon de lin et ses sandales. Les mains, attachées aux poignets, sont élevées jusqu'à l'anneau, de façon que Lui, malgré sa haute taille, n'appuie au sol que la pointe des pieds... Et cette position doit être aussi une torture.
J'ai lu, je ne sais où, que la colonne était basse et que Jésus se tenait courbé. Possible. Moi, je dis ce que je vois.
Derrière Lui se place une figure de bourreau au net profil hébraïque, devant Lui une autre figure pareille. Ils sont armés d'un fouet fait de sept lanières de cuir, attachées à un manche et qui se terminent par un martelet de plomb. Rythmiquement, comme pour un exercice, ils se mettent à frapper. L'un devant, l'autre derrière, de manière que le tronc de Jésus se trouve pris dans un tourbillon de coups de fouets. Les quatre soldats auxquels il a été remis, indifférents, se sont mis à jouer aux dés avec trois autres soldats qui se sont joints à eux.
Et les voix des joueurs suivent la cadence des fouets qui sifflent comme des serpents et puis résonnent comme des pierres jetées sur la peau tendue d'un tambour. Ils frappent le pauvre corps si mince et d'un blanc de vieil ivoire et qui se zèbre d'abord d'un rosé de plus en plus vif, puis violet, puis il se couvre de traces d'indigo gonflées de sang, qui se rompent en laissant couler du sang de tous côtés. Ils frappent en particulier le thorax et l'abdomen, mais il ne manque pas de coups donnés aux jambes et aux bras et même à la tête, pour qu'il n'y eût pas un lambeau de la peau qui ne souffrît pas.
Et pas une plainte... S'il n'était pas soutenu par les cordes, il tomberait. Mais il ne tombe pas et ne gémit pas. Seulement, après une grêle de coups qu'il a reçus, sa tête pend sur sa poitrine comme s'il s'évanouissait.
"Ohé ! Arrête-toi ! Il doit être tué vivant" crie et bougonne un soldat.
Les deux bourreaux s'arrêtent et essuient leur sueur.
"Nous sommes épuisés" disent-ils. "Donnez-nous la paie, pour que l'on puisse boire pour se désaltérer..."
"C'est la potence que je vous donnerais ! Mais prenez... !" et le décurion jette une large pièce à chacun des deux bourreaux.
"Vous avez travaillé comme il faut. Il ressemble à une mosaïque. Tito, tu dis que c'était vraiment Lui l'amour d'Alexandre ? Alors nous le lui ferons savoir pour qu'il en fasse le deuil. Délions-le un peu."
Ils le délient et Jésus s'abat sur le sol comme s'il était mort. Ils le laissent là, le heurtant de temps en temps de leurs pieds chaussés de caliges pour voir s'il gémit.
Mais Lui se tait.
Extrait de l’œuvre de : Maria Valtorta
Pourquoi dans ce cas de flagellation, n’a-t-on pas respecté la loi juive qui disait qu’il ne fallait pas dépasser 40 coups ? ( 2 Cor, 11)
Serait-ce a cause que nous les pécheurs nous ne comptons pas nos péchés?
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