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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme

16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 15:38

 

V.   JÉSUS  RENCONTRE   SA  MÈRE.

 

La sainte tradition nous a permis de connaître que, sur le chemin du Calvaire, Jésus rencontra Sa Mère. Anne Catherine Emmerich qui eut la vision de cet événement, (Visions d'Anne Catherine Emmerich sur la vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Tome III (Publié avec imprimatur)  nous dit que Marie pria Jean de la conduire en un endroit où Il dût passer.

 

De nos jours, dans la voie douloureuse que suit l'Église, Marie qui en est la Mère voit ses souffrances présentes et celles qui demain l'attendent. De même qu'elle se rendit sur le chemin de son Fils portant Sa Croix, de même descend-elle vers sa Fille en de nombreuses appari­tions.

 

Nous venons de voir qu'à La Salette, elle apparut en pleurs. A Fatima, lors de la seconde apparition, son cœur était couronné d'épines, elle-même se montrant, pour la der­nière fois, vêtue de violet, sous le vocable de Notre-Dame des sept douleurs. En ces temps modernes, si troubles et si éprouvants, elle apparaît fréquemment, elle pleure, elle pleure même des larmes de sang sur nous tous qui formons l'Église, sa Fille, et sur les malheurs qui jalonnent sa marche et la nôtre. N'est-il pas douloureux de penser qu'en août 1972, à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane, la statue itinérante de Fatima a pleuré jusqu'à trois heures de suite ?

 

(A suivre)

 

Extrait de : MARIE ET LA GRANDE HÉRÉSIE,

                   Guy Le Rumeur (1974)

                   79290 Argenton-L’Église

 

 

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16 février 2013 6 16 /02 /février /2013 15:34

 

Ceux qui calomnie le pape Paul VI, semblent oublier ou ne savent pas, que c’est lui, qui fit élever Sainte Thérèse d’Avila au rang de Docteur de l’Église en 1970.

 

Expliquez moi donc, pourquoi il aurait fait cela, s’il était un ennemi de l’Église, comme le prétende ceux qui sont, aujourd’hui, aveuglé par le démon ?  

 

Le Pape Paul VI, a reconnu avoir commis des erreurs.  (Qui pouvaient bien résulter des pressions exercées sur lui, par son entourage et ou par la collégialité du concile hérétique). Il en a payé et en paye encore le prix, par son exil et son martyr.

 

Le bon Dieu lui a pardonné, en acceptant son martyr.  Pourquoi,  ne pas lui  pardonner et faire l’effort d’essayer de comprendre, au lieu d’accuser ?

 

Ce que vous faites, vous les calomniateurs, ne vous aidera pas, ni n’aidera la véritable Église, qui a encore pour chef ce Saint-Père en exil.  Comme il est toujours vivant, ce sont des anti-papes qui lui ont (supposément) succédés.

 

Nous vous proposons  une neuvaine, pour : a)  hâter le retour du Pape Paul VI, du 14 au 22 février 2013.  b)empêcher la venue d’un troisième faux pape, membre des «Illuminati», comme les deux derniers.

 

https://www.google.ca/search?q=Benoit%2016%20%20Illuminati&ie=utf-8&oe=utf-&aq=t&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a

 

http://lodgamour.blogspirit.com/archive/2009/07/24/benoit-xvi-un-illuminati-au-vatican.html

 

Si vous voulez vous joindre a nous :

 

http://elogofioupiou.over-blog.com/article-neuvaine-pour-hater-le-retour-de-paul-vi-97572883.html

 

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 17:00

 

IV.   LE  PORTEMENT  DE   LA  CROIX.

 

Aujourd'hui les souffrances de l'Église sont particulière­ment vives dans sa montée au Calvaire. Il y a celles de nombreux catholiques qui souffrent des désordres actuels et de l'abandon progressif de la vérité ; il y a celles de tous ceux, qui n’ont tout abandonné pour le Christ et qui ne plient pas le genou devant le néo-modernisme. Ils sont écartés ou mutés pour faire place à des esprits plus souples. Il y a celles de nombreux évêques qui assistent, liés par quelques raisons, à l'autodestruction de l'Église. Il y a enfin celles du Vicaire du Christ qui mène une vie de martyr.

 

On le sait parce qu'il nous a dit ses souffrances, mais aussi parce qu'il n'est pas difficile, pour celui qui a les yeux fixés sur le Vatican et sur quelques conférences épis­copales, de se rendre compte des pressions, des embûches et des humiliations dont il est l'objet.

 

Comment, en plus de cela, ne souffrirait-il pas de voir l'Église dont il est le chef « dans une mer d'erreurs », menacée de schismes, en proie à la désobéissance et parfois à la rébellion ? On le sait enfin par quelques révélations faites à des âmes privilégiées, parmi lesquelles une religieuse du diocèse d'Avezzano (Italie) (Le grand message d'Amour, traduit d'un texte italien por­tant l’imprimatur du dit diocèse et signalé par l’Osservatore Romano le 1" janvier 1972 (Éditions Saint-Michel).

 

(A suivre)

 

Extrait de : MARIE ET LA GRANDE HÉRÉSIE,

                   Guy Le Rumeur (1974)

                   79290 Argenton-L’Église

 

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 16:37

 

I.                  LE COURONNEMENT D'ÉPINES.

 

Voici quelques années que l'on a propagé, en France, la relation d'un membre du clergé qui se serait trouvé avec le pape Paul VI au moment où entrant dans son cabinet de travail, il aurait dit, en désignant l'abondant courrier qui se trouvait sur son bureau : ce sont là autant d'épines !

 

Paul VI, chacun le sait, mène une vie de martyr, et l'Église, Corps mystique, est couronnée d'épines en sa per­sonne. On pense que parfois le Concile fut pour lui un Calvaire, ne serait-ce que lorsqu'il apprit qu'un texte sur la collégialité avait été volontairement entaché d'ambiguïté afin, plus tard, d'être exploité contre la suprématie du Saint-Siège. On dit qu'il pleura.  (Vu et entendu au Concile, Carlo Falconi)

 

II serait certainement possible d'établir une longue suite d'épines faites des heurts, des vexations et des désobéissances dont il a été la victime. Arrêtons-nous simplement au catéchisme hollandais, dont Rome releva vainement les points d'hérésie, afin qu'ils soient l'objet d'amendements, et men­tionnons la façon dont certaines conférences épiscopales accueillirent son encyclique Humanae Vitae.

 

En 1965, le Pape ne put s'empêcher de confier ses souf­frances au monde, parlant des épines profondes et quoti­diennes pour le cœur des pasteurs de l'Église et pour le sien propre, disant même que parfois ses peines avaient le goût de l'agonie (Audience générale du mercredi 17 février). Quelques mois plus tard (audience du 14 juillet), il disait combien les clés de saint Pierre sont lourdes à porter et plus lourdes encore à manier. Plus récemment, le 21 juin 1972, il avait l'humilité et le courage de redire au monde sa souffrance.

 

(A suivre)

 

Extrait de : MARIE ET LA GRANDE HÉRÉSIE,

                   Guy Le Rumeur (1974)

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 17:04

I.                  LA  FLAGELLATION.                 

 

L'atroce flagellation arracha du Corps Sacré de Notre-Seigneur des lambeaux de chair et l'on enseigne que ces souffrances eurent lieu pour la rédemption de l'humanité mais plus spécialement en réparation du péché des sens.

 

C'est aujourd'hui le Corps mystique du Christ qui est fla­gellé. Les membres qui s'en détachent, comme des lam­beaux de chair, le font souvent à cause de leurs sens qui les poussent à rechercher celle à qui ils avaient renoncé pour suivre Dieu.

 

Si cette flagellation est douloureuse pour l'Église entière, en soi d'abord, et aussi parce que les fidèles ne recevront plus renseignement de ces prêtres, ni le pardon de leurs lèvres sacrées, ni les sacrements de leurs doigts consacrés, elle l'est plus particulièrement pour le Saint-Père qui voit affluer vers le Vatican des flots de demandes de prêtres vou­lant être relevés de leurs vœux, lesquels, ces dernières années, ont quitté le ministère à la cadence de vingt par jour. Voici plus de dix ans (en 1974) que des prêtres commencèrent à se plaindre publiquement du fardeau de la continence, en accusant le séminaire de les avoir conduits à prononcer des vœux, alors qu'ils en voyaient mal les conséquences. (Combien sont entrés en religion, celui-ci avec l'irréflexion de l'enfance, celui-là par crainte, cet autre par quelque chagrin, quel­ques-uns attirés par des flatteries. Mais l'important est qu'ils s'y exer­cent dans la vertu et qu'ils y persévèrent jusqu'à la mort. Ce n'est pas sur les dispositions qu'ils y apportent en entrant que l'on peut juger de leur perfection, mais d'après leur persévérance (Dieu à sainte Catherine de Sienne).

 

C'était l'épo­que où, aux abords du Vatican où se tenait le Concile, des propagandistes annonçaient que viendrait le temps où l'on verrait les prêtres mariés. On sait que S. S. Paul VI ne voulut point laisser au Concile le soin d'étudier pleine­ment la question du célibat des prêtres, et il s'en réserva le soin, ce qui aboutit, un an et demi plus tard, à l'encyclique Sacerdotalis Caelibatus (24 juin 1967), encyclique dont trop d'âmes sacerdotales ont fait fi et, qui plus est, sembla être remise en cause lors du Synode de 1971. Être Pape, vicaire du Christ, désigné par la volonté de l'Esprit-Saint, et voir, le cas que l'on fait d'une si importante décision doit être douloureux, et ceci nous conduit au couronnement d'épines.

 

(A suivre)

 

Extrait de : MARIE ET LA GRANDE HÉRÉSIE,

                   Guy Le Rumeur (1974)

                   79290 Argenton-L’Église

 

 

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 17:36

 

 

I.                  LE JARDIN DE GETSÉMANI.

 

L'Église enseigne qu'au jardin de Gethsémani, le Christ, dans son agonie, porta le fardeau de tous les péchés de l'humanité et que lorsqu'il apparut à ses apôtres, ceux-ci le reconnurent à peine. (C'est en vue de cette heure que Pierre, Jacques et Jean, qui l'accompagnaient à proximité immédiate du lieu de l'agonie, ont eu la grâce de Le voir transfiguré sur la montagne du Thabor.)

 

L'Église, aujourd'hui, porte le fardeau des péchés de ceux qui la composent. L'effacement du sens du péché consécutif au silence que l'on fait sur les commandements, la licence des mœurs, la désaffection pour le sacrement de pénitence, les sacrilèges, les insultes au Christ et à Sa Mère, des ministres du culte devenus pécheurs publics, font qu'elle est, en quelque sorte, défigurée au point que ses ennemis s'en réjouissent et sont prêts à crier victoire.

Pendant ce temps, alors que des prêtres souffrent le mar­tyre et que des catholiques sont meurtris de douleurs, com­bien d'apôtres dorment sans se rendre compte de la situa­tion angoissante et dramatique dans laquelle se trouve l'Église, comme les apôtres dormaient au mont des Oliviers ?

 

Ajoutons qu'aujourd'hui des prêtres et des séminaristes abandonnent le sacerdoce comme les apôtres abandonnèrent Jésus au moment de son arrestation.

 

(A suivre)

 

Extrait de : MARIE ET LA GRANDE HÉRÉSIE,

                   Guy Le Rumeur (1974)

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 17:24

Extrait de : MARIE ET LA GRANDE HÉRÉSIE.

                   Guy Le Rumeur (1974)

                   79290 Argenton-L’Église

 

Introduction

                  

Le mal progressiste ou néo-moderniste est maintenant ins­tallé dans le monde et solidement ancré en France. Il s'étend sans cesse en surface en ce sens que chaque jour il conquiert un grand nombre d'âmes, le plus souvent à leur insu, mais surtout il s'enfle, il s'enfle constamment, déme­surément. Les petites erreurs du début se sont multipliées et ont augmenté en gravité. Les faibles atteintes à la doctrine qui inquiétaient tant de bons chrétiens, voici quinze ou vingt ans, semblent aujourd'hui des égratignures si on les compare aux coups de sabre contre les dogmes. Saint Pie X avait dit du modernisme qu'il était le rendez-vous de toutes les hérésies, le jugeant d'après les théories de Loisy et de quelques autres.  (L'abbé Loisy est le principal auteur du modernisme. Exégète, répétiteur d'hébreu à l'Institut catholique, maître de conférences, professeur d'Écriture sainte, il vit cinq de ses ouvrages être mis à l'index en 1903. En 1904 il déclarait ne plus croire à la divinité de Jésus et ajoutait : « Si je suis quelque chose, c'est plutôt panthéo positivo humanitaire que chrétien. » Il fut excommunié en 1908)

 

 On peut en dire autant du néo-modernisme. La différence entre l'heure actuelle et ce début de siècle, c'est qu'en ce temps-là le catholique moyen ne pouvait de lui-même déceler les méfaits d'une hérésie qui reçut un coup d'arrêt avant d'avoir provoqué de grands ravages et que beaucoup ne connurent que par la condamnation portée par saint Pie X dans son encyclique Pascendi Dominici Gregis, tandis qu'aujourd'hui elle s'étale au vu et au su de tous, du moins de ceux qui ne sont ni sourds ni aveugles, au point d'avoir provoqué quelques mises en garde des évêques et du Saint-Siège.

 

Mais avant d'aborder l'ensemble des erreurs, des nouveau­tés et leurs conséquences, il est bon que nous nous pen­chions encore sur la situation douloureuse de l'Église.

 

Jadis elle semblait resplendir, elle était à l'image du Christ annon­çant la vérité au monde. Elle apparaît aujourd'hui comme apparut le Christ sur le chemin du Golgotha, couverte de crachats, de boue, de plaies.

 

Comme Lui, elle reçoit calomnies, sarcasmes, injustices. Au temps du Christ, ses maux venaient surtout du peuple élu ; aujourd'hui, ils viennent surtout des consacrés contestataires ou infidèles, ces Judas dont parlait S. S. Paul VI.

 

Nous savons par l'Écriture que l'abomination de la désolation régnera dans le lieu saint et que le sacrifice perpétuel sera aboli : ainsi sera crucifié le Corps mystique du Christ. Nous n'en sommes pas encore là (NDLR : ce texte fut écrit en 1974) : le Corps mystique vit les mystères douloureux par les­quels est passé Notre-Seigneur. Mais avant de décrire ces moments, faisons nôtre cette remarque : « Le Concile Vati­can II, tout tendu vers une mise en contact de l'Église et du monde, rappelle, de façon frappante, la gloire éphémère du dimanche des rameaux. » (La Passion de l'Église d'Antonio Pacios, missionnaire du Sacré-Cœur aux Éditions du Cèdre)

 

(A suivre)

 

Extrait de : MARIE ET LA GRANDE HÉRÉSIE,

                   Guy Le Rumeur (1974)

                   79290 Argenton-L’Église

 

 

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