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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme

26 janvier 2012 4 26 /01 /janvier /2012 20:42

Pour vous aider à comprendre le complot, dont fut victime, le Pape Paul VI, je me permets de vous, offrir la possibilité de lire quelques pages du volume de Louis de Boanergès.  L’extraordinaire Secret de La Salette. (1988)  Disponible  aux Editions  D F T.

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son feu et sa lave brûlante, alors le peuple fidèle reconnaîtra que ce n'est pas le vrai pape qui est installé sur le trône de Pierre, à Rome [« Jean-Paul II »]; de même, il comprendra que ceux qui l'accompagnent sont des traîtres... Malgré cela, ils continueront encore à chercher à séduire les hommes, pour les attirer à eux et les tromper (...). Le peuple fidèle reconnaîtra le dragon mais les ambitieux et les orgueilleux n'auront pas la chance de reconnaître que c'est le diable et de s'en préserver... »
Le Bon DIEU n'ayant que faire du successeur du Sosie de S.S. Paul VI (« Jean-Paul II ») laisse donc Satan poursuivre sa route et conquérir de plus en plus le Vatican, c'est-à-dire Rome « qui a perdu la Foi » ayant renié le VRAI Pape, Rome qui n'est plus l'Eglise. A partir de 1978 et jusqu'à l'AntéXst, Rome « sera païenne » mais cela ne se verra pas tant que l'AntéXst ne se révélera pas au monde. Le Pape Paul VI quittera mystérieusement Rome en 1981 (suite à « l'attentat » du 13 mai 1981 qui a jeté la panique au Vatican) pour commencer un périple non moins mystérieux que celui de Louis XVII enfant évadé de sa Tour du Temple : l'Histoire permettra certainement de reconstituer un jour ce périple extraordinaire par le témoignage de l'intéressé et des bonnes âmes que la Providence aura mises sur la route de l'auguste exilé.
Il est impossible de passer sans rappeler les prophéties de Marie-Julie Jahenny, de Don Bosco, de Mn'e Royer et d'A.-C. Emmerich sur le martyre de la Papauté, que la survie du Pape Paul VI éclaire singulièrement.
« Le 7 juillet 1880 Jésus dit à Marie-Julie : « l'Église sera privée de son chef suprême qui maintenant la gouverne (...) Le Chef de l'Eglise sera outrageusement outragé ».
« Dans l'extase du 4 novembre 1880, Marie-Julie nous décrit le martyre [de Paul VI] : « La voix de l'Église, sous un soupir voilé, vient faire retentir aux portes brisées de mon âme l'écho de sa voix mourante. Le Pontife suprême lance une parole agonisante vers son peuple, vers les enfants dont il est le Père. C'est un glaive pour mon âme... Je vois de blancs oiseaux emporter dans leur bec son sang et des lambeaux de sa chair. Je vois la main de Pierre percée par le clou comme celle de DIEU. Je vois ses vêtements de cérémonie arrachés en lambeaux, les vêtements dont il revêt sa dignité pour faire descendre DIEU sur l'autel. Je vois tout cela dans mon soleil. Oh ! que je souffre ! »
Prophétie extrêmement remarquable qui nous dépeint le martyre de notre Pape...
« De son côté, Saint Michel dit à Marie-Julie le 29 septembre 1878 : « Jamais, jamais tempête n'aura été aussi forte contre un autre Pontife. Il est déjà martyr avant de subir le martyre; il souffre avant que l'heure n'ait paru. Mais il offre sa Personne et le sang de ses veines pour tous ses bourreaux, et pour ceux qui attentent terriblement à sa vie. Que d'exils à souffrir ! »
Revenons au complément du portrait que fait Jésus de son vicaire, le 9 mars 1878 : « Ce cher et digne représentant sera entré dans une nouvelle alliance pour soutenir ma sainte Église au fort de l'orage. Les peines, les tortures, le mépris. Il recevra tout... jusqu'aux crachats. On ira jusqu'à le conduire à la pierre du Premier Pontife. On lui dira : renie ta foi, laisse-nous la liberté. Mais sa foi sera ferme et constante. C'est moi qui vous aurai donné ce Pontife [vous qui méprisez le martyre du Pape Paul VI, considérez combien Nôtre-Seigneur en est fier... et
(à suivre)
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25 janvier 2012 3 25 /01 /janvier /2012 21:06

Pour vous aider à comprendre le complot, dont fut victime, le Pape Paul VI, je me permets de vous, offrir la possibilité de lire quelques pages du volume de Louis de Boanergès.  L’extraordinaire Secret de La Salette. (1988)  Disponible  aux Editions  D F T.

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mis dans cet état : « Je suis un bien pauvre Pape (sous-entendu) parce que je ne suis pas un vrai pape ! »
C'est cette saine réaction qui le plongera dans l'agonie de Gethsémani qui est la cause de son assassinat : on le fait mourir parce que, contrairement à ce que l'on pensait au départ, la brutale révélation de la survie de Paul VI ne le fait pas basculer dans le camp de l'Ennemi mais provoque, au contraire, une réaction salutaire. Et s'il disait, tout à coup, à la face du monde, la vérité ?! On comprend dès lors pourquoi il ne « régna » que 33 jours...
Mais hélas, la plupart des traditionalistes goberont à qui mieux-mieux, toutes tendances confondues, l'alibi maçonnique des crapuleries financières du Vatican comme cause de cet odieux assassinat, alibi catapulté par un journaliste dont le livre à grand tirage et à grande diffusion immédiats (ceci devrait faire réfléchir...) achèvera de décentrer et de distraire toutes les bonnes âmes du véritable problème de l'Eglise : survie mystérieuse de S.S. Paul VI pour une très humiliante Passion, pour une très crucifiante expiation.
-   « L'objecteur de conscience » éliminé, on fera appel à « Jean-Paul II » qui celui-là est loin d'être un innocent ou un naïf, haut-initié des Loges, pour jouer le rôle final car lui, véritable « Jean-Baptiste » luciférien va introduire l'AntéXst-personne comme Saint Jean-Baptiste avait introduit Nôtre-Seigneur Jésus-Christ : la judaïsation de plus en plus à ciel ouvert de l'église officielle (qui n'est plus l'Eglise infaillible) n'est pas un hasard... Toujours est-il qu'avec «Jean-Paul II », ce « renard rusé » cet « abcès répugnant » comme disent les démons au cours des Exorcismes de Suisse, LE DOUBLE-JEU ANTÉXSTIQUE COMMENCE VRAIMENT, ce qui, en soi, est un épouvantable péché pour celui qui le commet.
Avec « Jean-Paul II », les « dix rois » (autrement dit les hauts dirigeants F.M.) disposent enfin d'une figure de pape, marionnette entre leurs mains pour accomplir leur « même dessein » : continuer, dans un climat d'équivoque la transformation en grand de l'Eglise Catholique en une super-église maçonnique, œcuménique, antéXstique; puis, lorsque les choses seront assez mûres, DONNER CE POUVOIR PAPAL À CELUI QUI « VOUDRA ÊTRE À LA FOIS PAPE ET EMPEREUR », l'AntéXst. Avec « Jean-Paul II » sur le siège de Pierre, on peut dire que la deuxième partie de la Prophétie de la T.S. Vierge à La Salette, est sur le point de s'accomplir : « ROME DEVIENDRA LE SIÈGE DE L'ANTÉXST. »
C'est d'ailleurs ce qu'a révélé le démon, contraint par le Très-Haut, lors de l'exorcisme du 25 mars 1979 sur la possédée-expiatrice de Suisse : « Wojtyla ne signifie pas encore l'antéchrist. Ce n'est pas encore [en 1979] son heure. Actuellement, il est caché derrière lui, il est caché sous la toile funéraire qui recouvre l'Eglise; on ne le voit pas encore publiquement (...). Le peuple fidèle devrait pourtant déjà sentir cette odeur nauséabonde qui se dégage de l'Eglise moderne. Mais il est vrai que nous, les démons, nous avons les filtres suffisants pour cacher cette odeur et la transformer en parfum... (...) Lorsque le peuple sincère et fidèle arrachera toute la toile [autrement dit lorsque la vérité se dévoilera], tout notre plan sera détruit immédiatement. Une fois la toile arrachée, tous les vers et tous les serpents [qui représentent tous les Cardinaux et prélats traîtres et félons] apparaîtront de leur laideur horrible. Lorsque le dragon crachera
(à suivre)
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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 20:48

Pour vous aider à comprendre le complot, dont fut victime, le Pape Paul VI, je me permets de vous, offrir la possibilité de lire quelques pages du volume de Louis de Boanergès.  L’extraordinaire Secret de La Salette. (1988)  Disponible  aux Editions  D F T.

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Epouvante, effroi, indicibles tortures morales ne sont pas des mots en l'air. Le choc moral produit sur « Jean-Paul Ier » a été si fort, selon le témoignage de la Religieuse qui le servait depuis 20 ans et qui ne le reconnaissait plus depuis qu'il était « pape'», qu'il ne peut pas avoir d'autres'causes... « Le lendemain de son élection, le pape avait tellement peur qu'il n'osait pas sortir de sa chambre » titrait « France-Dimanche » le 15 octobre 1978. Exagération de cette revue à sensations ? Hélas non; quand on lit le témoignage de la pauvre Sœur consternée, c'est bien la vérité :
« ... la porte [de la chambre du « pape »] restait fermée [avec une demi-heure de retard sur l'horaire]. « Jean-Paul Ier », toujours invisible et Sœur Vincenza [sa dévouée Religieuse] se sont parlé à voix basse, comme s'ils communiquaient par le trou de la serrure. Le temps passait. On avait l'impression que le St-Père n'osait pas sortir de sa chambre comme s'il avait peur d'être écrasé par tout ce qui l'attendait etc. C'est au matin de sa première audience publique que se joue le premier drame : le pape est si nerveux qu'il ne peut réprimer le tremblement de ses mains. Sœur Vincenza, avec un geste de mère, prend les mains glacées du pape dans les siennes. Comme pour les réchauffer, les apaiser. Et devant tant de gentillesse, le Saint-Père ouvre son cœur à sa fidèle servante : « Je suis un bien pauvre pape » lui confia-t-il. » (Fin de citation.)
Le calvaire de « Jean-Paul 1er » ne faisait que commencer. Sœur Vincenza nous révèle en effet un peu plus loin que depuis son élection, il ne mangeait plus, ne dormait plus, était au bord de la crise de nerfs au cours de ses audiences et ne voyait aucun des dossiers « qui s'accumulaient sur son bureau », tout cela s'aggravant jusqu'au jour fatidique de sa mort... Une attitude aussi incroyable, une perturbation aussi profonde peut-elle s'expliquer autrement que par la connaissance qui lui avait été donnée, dès le lendemain de son élection, de la survie du Pape Paul VI ? En toute objectivité, il faut répondre NON.
Un Evêque, un Cardinal de Venise comme l'était Albino Luciani n'est plus un enfant pouvant s'intimider à ce point de la vie protocolaire d'un Pape, surtout qu'il n'était pas timoré, comme on va le voir. On a voulu faire accroire qu'il s'agissait du scandale financier au Vatican. C'est une thèse insoutenable. En effet, en 1972 déjà, Mgr Luciani (« Jean-Paul Ier ») avait osé se dresser contre les malfaiteurs mitres du Vatican qui avaient « volé » la Banco Cattolica del Veneto; il s'était déplacé à Rome (en pure perte, d'ailleurs, mais la démarche est tout à son honneur) : par là, on voit que lorsqu'il sera élu « pape » en 1978, il était déjà au courant des crapuleries abominables du Vatican, et donc l'état de choc des 33 jours de son « pontificat » n'est pas explicable par cette raison... d'autant que ce courageux Evêque qui se déplace à Rome pour taper du poing sur la table au nom de ses confrères vénitiens spoliés comme lui, ne paraît pas précisément timide ni impressionnable...
Non, la seule raison acceptable de cette agonie morale est bien la révélation qu'il eut de la survie du Pape Paul VI. Jouer le rôle de Pape alors qu'il ne l'était pas révulse cette âme malgré tout honnête, et provoque un état de choc moral qu'il ne peut cacher à ses intimes. Lorsque « Jean-Paul Ier » révèle à Sœur . Vincenza qu'il est « un bien pauvre pape » ce n'est pas, comme le pense la brave Sœur, pour dire que sa nouvelle vie le perturbe, mais la révélation à mots couverts de l'effroyable situation dans laquelle l'a mise son « élection » et qui l'a
(à suivre)
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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 21:53

Pour vous aider à comprendre le complot, dont fut victime, le Pape Paul VI, je me permets de vous, offrir la possibilité de lire quelques pages du volume de Louis de Boanergès.  L’extraordinaire Secret de La Salette. (1988)  Disponible  aux Editions  D F T.

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« C'est dans ces termes que s'est posée la substitution accomplie au Temple (...) Car la substitution d'un autre enfant et l'enlèvement d'un Louis XVII DÉMONÉTISÉ par un faux acte de décès et par l'apparition subséquente de « faux dauphins » (produits par la Franc-maçonnerie) allaient être aussi nécessaires, sinon plus, que les calomnies contre la légitimité des fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette pour atteindre le but ultime [qui sera le « MÊME DESSEIN » des « dix rois », pour la papauté] : OBSCURCIR DÉFINITIVEMENT LA VRAIE LÉGITIMITÉ » (1).
Oh ! Combien Nôtre-Seigneur a été miséricordieux avec nous, lorsqu'il nous a donné ce fil directeur de la Passion de l'Eglise par la Papauté, dans cette locution privée donnée à Sœur Lucie à Pontevedra en 1931, en rapprochant dans un seul et même châtiment la Royauté française et la Papauté !! En vérité, n'est-ce pas ce qui a eu lieu, et d'une manière si frappante avec la Papauté, avec le martyre enduré par le pauvre Pape Paul VI ? « Obscurcir définitivement la vraie légitimité », c'est-à-dire L'INFAILLIBILITÉ DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE... Cela saute aux yeux du « petit nombre qui y voit », comme le dira plus loin Notre-Dame... Mais retournons à Rome, avant de la quitter « en secouant la poussière de nos sandales » et en appelant le Feu du Ciel sur elle.
De 1975 jusqu'à la mort du sosie en 1978, le Pape Paul VI est toujours prisonnier dans sa « Tour du Temple » romaine. Lorsque le sosie ne voudra plus jouer son infâme rôle qui finit par lui répugner (c'était un Prêtre qui, par curiosité, s'était trop intéressé à la Franc-maçonnerie et elle le tenait ainsi à sa merci), il sera supprimé en août 1978 (2); il est évident que lui n'est pas protégé par DIEU...
A sa mort, la démonétisation du vrai Pape Paul VI est accomplie : on élit un successeur non pas à S.S. Paul VI mais à son sosie... c'est-à-dire théologique-ment sur du vent. Du coup, le jour de l'élection de l'anti-pape « Jean-Paul 1" » « Rome a [COMPLÈTEMENT] perdu la Foi » et la prophétie de la T.S. Vierge à La Salette est accomplie intégralement quant à sa première partie... en attendant la réalisation de la seconde. En tous cas, pour le VRAI Pape, Paul VI, cette mort du sosie et l'élection d'un faux successeur a la même incidence sur lui que le faux acte de décès de la Tour du Temple sur Louis XVII et l'usurpation du Trône de France par le bourgeois Louis XVIII : réduction à une mort civile, quoique vivant et détenteur de l'Infaillibilité de l'Eglise !...
Et le monde n'y voit que du bleu, plongé qu'il est dans le péché ou la tiédeur;
et Satan ne voit pas plus loin que s'approprier le pouvoir d'un « pape » que
reconnaît le monde pour le donner à son AntéXst, par le consensus général des
« dix rois » (des hauts dirigeants francs-maçons). En 1978, le DOUBLE-JEU
ANTÉXSTIQUE PEUT COMMENCER. Jean-Paul 1er, moderniste bon teint mais
malgré tout honnête, est épouvanté et effrayé de cette situation que le sinistre
Villot lui révélera crûment dès le soir de son élection : il refusera d'être le
premier « pape » de Satan inféodé à l’AntéXst, puisqu'il n'est pas le Pape du
Christ, et c'est ce qui le conduira après 33 jours d'indicibles tortures morales, au
martyre.   
(1) « Louis XVII », X. de Roche, pp. 270, sq.
(2) Voir le journal « L'Eglise en danger » qui apporte de nombreux détails.
(à suivre)
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22 janvier 2012 7 22 /01 /janvier /2012 20:47


Pour vous aider à comprendre le complot, dont fut victime, le Pape Paul VI, je me permets de vous, offrir la possibilité de lire quelques pages du volume de Louis de Boanergès.  L’extraordinaire Secret de La Salette. (1988)  Disponible  aux Editions  D F T.

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religieux et traditionaliste ! — a lieu en ce moment-là, en 1975. Notez bien la situation : le grand acte est joué. Si « Rome [n'a pas encore radicalement]
perdu la Foi », comme l'annonce la T.S. Vierge, elle ne l'a plus et donc ne représente plus l'Eglise infaillible, que par la présence dans une prison vaticane d'un Pape Paul VI prisonnier (c'est-à-dire par un fil, une ombre). Toute la façade extérieure est déjà « païenne », ainsi que le dira plus loin la T.S. Vierge. Notez encore ceci : un sosie papal à la place du vrai Pape, c'est vraiment la décapitation, de ce Pape.
L'ouvrage de Bonaventure Meyer (1) explique remarquablement bien toute cette première partie, c'est-à-dire le Chemin de Croix du Pape Paul VI : le Bon DIEU a donné un éclairage exceptionnel sur ce problème par les révélations consignées dans beaucoup d'exorcismes, faites par le démon — contraint par Dieu — dont c'était la mission, grâce si méprisée (même — ô douleur — par les meilleurs) mais gravée dans ce livre « pour la chute et le relèvement de beaucoup (...) afin que de bien des cœurs soient révélés les raisonnements » (2)... A l'appui, il y a les photos et les sonogrammes gravés dans une étude de Théodor Kolberg, cet allemand pas seulement « journaliste » mais encore et surtout fervent chrétien — récemment décédé —, documents INCONTOURNABLES prouvant scientifique­ment l'existence d'un sosie du Pape Paul VI à partir de 1975. Nous ne pouvons développer plus longtemps ces ouvrages dans le cadre de notre Commentaire, mait tout Catholique digne de ce nom comprendra qu'il doit les lire, au moins celui existant en langue française du courageux B. Meyer (voir notre bibliographie), et également le petit dossier « Complot au Vatican » paru en 1980 dans le « Nouvel Europe Magazine » et présentant les preuves scientifiques du sosie de Paul VI.
2. La «démonétisation » du Roy Louis XVH par la subversion — « Nous l'avons vu, écrit M. Xavier de Roche, le but final des sectes, c'est la destruction de la Monarchie, de cette Royauté très Chrétienne, rempart de la Foi Catholique (...) On peut tuer le Roi Louis XVI. Comment, par-delà sa mort, détruire durablement la Légitimité royale ? (Car) ce n'est pas d'un Roi, en passant, d'un Roi auquel un autre Roi inévitablement succédera que les sectes veulent se défaire, mais de la Royauté elle-même (...) C'est une gageure, cela paraît impossible. Tuer le petit roi Louis XVII — ou le faire périr de consomption — ne servirait à rien. A rien, absolument à rien, sinon à consolider de façon irrécusable et définitive les droits dynastiques de son oncle Provence [Louis XVIII].
le monde ne connaissent la vérité. Le Vicaire de J.C. est prisonnier. [Suit la dénonciation des trois cardinaux F.M., Villot, Casaroli — chacun sait où J.P. II l'a nommé... — et Benelli.] (...) Le Pape Paul VI qui paraît en public n'est pas le vrai, mais un imposteur. Le vrai, ils lui ont coulé du poison dans les veines afin d'affaiblir son jugement et de paralyser ses jambes. C'est la grande mystification du siècle ! Faites-la connaître au monde. Ce sera la seule façon d'empêcher que le Siège de Pierre ne capitule aux mains de l'Anti-Christ et des agents du mal. (...) Les forces de l'Anti-Christ veulent s'emparer de Rome. C'est l'aboutissement d'une conspiration aux origines lointaines. L'autorité et la puissance du Vatican diminuent et si les forces du mal progressent à la présente vitesse, la Cité connaîtra un bain de sang ! (...) Si vous ne priez pas assez, le Pape Paul VI vous sera enlevé, on en mettra un autre qui a de noirs desseins, sur le Siège de Pierre. Il ne viendra pas de la part de Dieu mais de l'Enfer... » (voir « Des jours d'Apocalypse » de R.S. Catta et « Les apparitions de Bayside » présentées par G.R., 1976).
(1) « L'Eglise en danger », B. Meyer.
(2) Luc II, 34-35.
(à suivre)
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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 18:23

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chrétiens doit-on supposer que, puisque Nôtre-Seigneur Jésus-Christ s'est apparemment soumis à ses ennemis, c'est qu'il y avait faute de Sa part ? Orgueil, par exemple, de n'avoir pas demandé à Son Père Céleste les légions d'anges au Jardin des Oliviers, alors qu'il pouvait très bien le faire comme II le faisait remarquer Lui-même à Saint Pierre ? Si nous acquiesçons à cette mentalité, alors nous ne sommes pas loin de la conception pharisaïque du Messie. Nous avons éprouvé la plus grande indignation à lire qu'on pouvait accuser Louis XVI « d'orgueil » (1) et plus encore S.S. Paul VI de « schizophrénie ou de masochisme dans lequel il paraît se complaire » (2).
Pour le Roy-martyr Louis XVI, les vrais français ont su discerner ce drame de la Passion et réhabiliter en leur cœur ce monarque, en attendant sa réhabilitation officielle et éclatante qui ne saurait manquer d'arriver. Il n'est plus aucun français digne de ce nom qui ne comprenne, à l'heure actuelle, que les actes répréhensibles du roy Louis XVI ne trouvent leur véritable signification que dans le contexte de martyr et de victime expiatrice enduré par ce Roy. Il nous tarde que le Bon DIEU permette cette même réhabilitation pour son Vicaire-martyr dont le destin terrible était de vivre le Châtiment de la Papauté.
Ce point fondamental réglé (celui de mettre la responsabilité de la révolution conciliaire sur le dos de Paul VI), nous allons maintenant le dérouler, ce Châtiment, en suivant la clef donnée par Nôtre-Seigneur à Sœur Lucie de Fatima. Ce Châtiment divin s'abat sur deux Roy s — on notera que Louis XVI et Louis XVII sont tous deux appelés « roys-martyrs » par l'Histoire —, alors qu'il ne s'abattra que sur un Pape. Voyons cela :
1. La décapitation du Roy Louis XVI — Le drame que si peu, si peu ont suivi s'est passé avec S.S. Paul VI, d'une manière définitive en 1975. S.S. Paul VI ne voulant pas jouer sciemment le jeu de la subversion mais étant complètement aux mains de la puissance des ténèbres, est peu à peu (dans un martyre d'âme épouvantable pour lui) puis, brutalement mis hors-circuit sans être supprimé parce qu'ils ne le pourront pas : « les méchants attenteront plusieurs fois à sa vie sans pouvoir nuire à ses jours ». Ils mettront à la place un sosie, ceci dès 1972 — et même un peu avant si l'on en croit certaines rumeurs —, par intermittence, et en tout cas d'une manière définitive en 1975 (comme le prouve scientifiquement Th. Kolberg) lui faisant ainsi endosser et le rendant responsable officiellement de TOUTE la révolution dans l'Eglise jusqu'en 1978.
Le grand passage, « la grande duperie du siècle » comme le dit Notre-Dame à Bayside (3), si lourde de conséquences pour le monde — en ce compris le monde
(1) Abbé de Nantes — C.R.C. 234.
(2) Monseigneur Lefebvre, « Ils l'ont découronné ». Que le lecteur ne se méprenne pas sur nos sentiments vis-à-vis de ces deux grandes figures de la Tradition que nous saluons comme les « dernières » forces vives du Catholicisme. Toutefois, il n'est pas dit que la Grâce éminente qu'ils ont reçue les assure d'une sorte d'infaillibilité... et qu'ils n'ont pas besoin d'entendre parfois des « prophètes » les redresser pour qu'ils continuent, au mieux justement, le bon chemin qu'ils ont pris...
(3) N.D. à Bayside qui disait : « C'est le plan diabolique de Satan de faire la haine du monde se tourner contre le Vicaire le Pape Paul VI à Rome. Le plan de Satan, c'est d'accumuler sur ses épaules, les erreurs et les choses mal faites. Ceux en qui il avait confiance l'on trahi, ayant maintenant assumé le plein contrôle de sa mission (...). Le Pape Paul VI souffre beaucoup. Il n'est pas en mesure de remplir sa mission. Ils l'ont diminué. Il est malade, très malade. C'est un autre qui gouverne à sa place, un imposteur, une création des intelligences de Satan. On a utilisé pour cela des maîtres en chirurgie esthétique. Derrière lui se trouvent trois hommes qui se sont donnés à Satan. Ni ton pays, ni
(à suivre)
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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 21:14

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« Je ne vous ai dit qu'une partie de mon secret afin de vous tranquilliser sur le côté qui paraît énigmatique du Pape. Ce dernier a TROP FAIT CONFIANCE, il a été TROP BON; on l'a trompé facilement : il le sait maintenant.
« II a complètement changé de style et ne développe que des points de vie surnaturelle, appelant à la conversion du cœur, à la pratique d'un vrai christianisme, à l'obéissance à l'Eglise, la VRAIE. Il ira lentement jusqu'au calvaire qu'il a accepté... C'est vrai que, découragé de la trahison qui l'enserre, il a voulu démissionner mais le Seigneur l'a encouragé et lui a redonné des forces... Il reste au Pape à nous redonner officiellement, par dessus tous les mensonges, la messe de St Pie V. Il va le faire, il faut savoir attendre. Le document est prêt mais bloqué... (...) » (1).
Tels étaient les termes de cette lettre, oh combien révélatrice ! Nous connaissons le nom de cet avocat rotai, mais pour des raisons de discrétion nous ne pouvons le publier.
Il a été dit récemment de Louis XVI que « par orgueil, il voulait réussir avec son bon cœur et son adresse là où tous les autres auraient échoué, en faisant, lui, l'unanimité des méchants et des bons (...), jouer au mieux en tirant les plus mauvaises cartes possibles » (2). Cette analyse caractérise au mieux le Pape Paul VI dans ses motivations profondes. C'est pour cette raison qu'on le verra satisfaire à trop d'exigences des progressistes, s'imaginant les ramener au Bercail par là, mais s'angoissant terriblement par ailleurs de « l'auto-destruction » de l'Eglise.
Mais le mot orgueil est de trop. Car en fait, c'est une disposition particulière de la Providence qui aveugle le Roy et le Pape choisis pour expier, afin de les mener par là au Châtiment de la Royauté et de la Papauté auquel cette attitude les mène tout droit... Il n'y a pas forcément faute de leur part, autrement que de faiblesse comme tout juste peut en commettre même arrivé à une haute perfection. Les écrits et allocutions de S.S. Paul VI nous font voir on ne peut mieux cette disposition intime qui le mènera très vite au Châtiment de la Papauté (cf. pp. 114-115 de « Présence et signification de la fin des temps », Louis de Boanergès et l'ouvrage « Iota Unum » de Romano Amerio).
Et pourquoi, aussitôt, supposer de l'orgueil à la base des deux protagonistes de la Passion de la Royauté Française et de la Papauté ? Est-ce que c'est parce qu'on veut bien suivre le Christ mais seulement jusqu'au Jardin des Oliviers, et surtout pas plus loin ? Est-ce que c'est parce qu'on ne veut pas être mêlé, d'aucune manière, à l'humiliante mais nécessaire Passion de l'Eglise et de Son Chef, et garder en toute occasion, même lorsqu'il n'en est plus l'heure, la tête haute sous les « hosannas » d'un Dimanche des Rameaux qu'on voudrait perpétuel ? Evidemment, de cette attitude mondaine à celle qui consiste à rejeter tous ceux qui ont part à la Croix et qui, par décret divin, sont des âmes de Calvaire, il n'y a qu'un pas que certains franchissent avec désinvolture.
Il ne fallait pas attendre d'eux la compréhension du Calvaire enduré par S.S. Paul VI, de son destin de Victime expiatrice. Et pour suivre la logique de ces
(1) Certains passages de ce témoignage ont été publiés dans le journal « L'Eglise en danger » par Bonaventure Meyer. Voir bibliographie.
(2) C.R.C. 234 de l'Abbé de Nantes.
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