Pour vous aider à comprendre le complot, dont fut victime, le Pape Paul VI, je me permets de vous, offrir la possibilité de lire quelques pages du volume de Louis de Boanergès. L’extraordinaire Secret de La Salette. (1988) Disponible aux Editions D F T.
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« Elle est l'assemblée solennelle de la communauté chrétienne, le grand moyen de faire vivre le Christ dans la communauté paroissiale et dans les cœurs de chacun de ses membres. » C'est à la page 13 de notre « Directoire » de 1956, lequel, pour cette magistrale définition qui occulte l'aspect essentiel et premier du Saint-Sacrifice de la Messe, fait appel à un autre « Directoire pour la pastorale des sacrements — adopté par l'Assemblée plénière de l'Episcopat pour les diocèses de France », de 1951. Voir ces documents si importants en-pages photographiques.
Dans le même temps (et c'est notre deuxième exemple) c'est-à-dire en 1952, on construisait des Eglises préparant le nouveau culte dit de Paul VI, face au peuple. Lisez le court article que nous avons reproduit également en pages photographiques et tiré de cet ignoble « Pèlerin du xxe s. », revue démocrato-progressiste à coloration religieuse très pâle, patronnée par la Hiérarchie qui n'a pas été pour peu dans la dégénérescence de la Foi du peuple chrétien et la subversion de l'ordre social. Dès 1963, « une église retenait l'attention du rédacteur ». Nous aussi, elle retient notre attention, « 25 ans » après, car elle est effectivement historique. Qu'on en juge par la lecture attentive de l'article en question...
... Vraiment, quelle astuce proprement diabolique ! Nous faisons ci-dessous un croquis de cette mignonne église néo-rustique dont il faut reconnaître la belle esthétique extérieure et l'art du meilleur goût... camouflant magnifiquement le venin mortel de l'intérieur... comme avec l'AntéXst :
On voit tout de suite le piège, consommé en hypocrisie. Cette église a été conçue architecturalement pour l'expérimentation liturgique. Voilà pourquoi le rédacteur du « Pèlerin » qui ne pouvait tout de même pas l'avouer ouvertement voulait « retenir l'attention » de ses lecteurs... Il est bien facile de comprendre qu'une fois le rideau tiré, il y avait une partie des assistants qui avaient la Messe dos au prêtre tandis que l'autre l'avait FACE AU PEUPLE. C'est ce que le rédacteur du « Pèlerin » appelle « suivre les offices d'une façon parfaite »...
D'autre part, il est bien évident que cette église ne s'est pas construite « à la sauvage » et que l'architecte avait l'approbation de l'Evêque et du prêtre du lieu : autrement dit, la veule et hypocrite Hiérarchie cautionnait voire promouvait (1) le
(1) Qu'attendre d'autre de fonctionnaires concordataires, de surcroît francs-maçons pour beaucoup d'entre eux : G. Riquier précise que le Cardinal Liénart était Franc-Maçon — ce que tout le monde sait, mais ce qui est beaucoup moins connu c'est la suite — : « il était un des dix-sept évêques
( à suivre )
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