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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme

10 juillet 2023 1 10 /07 /juillet /2023 17:00
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9 juillet 2023 7 09 /07 /juillet /2023 17:01
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8 juillet 2023 6 08 /07 /juillet /2023 14:22

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vos commentaires sont très appréciés. Merci ❤️

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8 juillet 2023 6 08 /07 /juillet /2023 12:37

À visionner, j’attends vos commentaires 
 

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16 mars 2023 4 16 /03 /mars /2023 09:01

"En dehors des oraisons jaculatoires le chrétien devrait s’exercer à la mortification chrétienne. Se mortifier, c’est sacrifier pour l’amour de Dieu, ce qui plaît et accepter ce qui déplaît au sens ou à l’amour-propre." Catéchisme st Pie X.

1 Ne pas manger entre les repas.

2 Subir sans se plaindre les incommodités de la saison, et se refuser même quelques-unes de ces précautions extraordinaires que recherche la crainte de souffrir.

3 Examiner dans sa tenue ce qui sent le sans-gêne ou l'amour des aises, et s'en corriger.

4 Faire pendant ses repas une légère privation inaperçue.

5 S'arrêter une minute avant de commencer un repas, pour réprimer l'instinct naturel.

6 Se lever le matin plus promptement qu'à l'ordinaire.

7 Veiller sur les regards, et les tenir bien modestes pendant tel trajet, tel espace de temps.

8 Prendre aux repas le morceau qui se présente, quel qu'il soit.

9 Ne se permettre aucun jeu de main, même très innocent, dans l'intention de se mortifier.

10 Réciter une partie de sa prière sans s'appuyer.

11 Parler un peu moins en récréation.

12 Aller exprès auprès d'une compagne avec qui on ne sympathise pas.

13 S'appliquer d'une manière toute particulière à bien faire le devoir écrit.

14 S'imposer rigoureusement le silence pendant telle étude, tel trajet.

15 Se priver d'un regard qui n'aurait pour but que le plaisir quoique innocent... Se priver,

par exemple, de regarder un tableau, un livre simplement curieux.

16 S'obliger à répondre doucement à tout ce qui nous sera dit.

17 Pratiquer, depuis telle heure jusqu'à telle autre, une grande obéissance, s'engageant devant Dieu à ne pas raisonner et à ne pas examiner.

18 Réciter, en montant au dortoir, une ou deux dizaines de chapelet.

19 Faire une aumône prise sur l'argent destiné à une fantaisie ou à une gourmandise.

20 Chercher l'occasion de rendre service à une compagne. — Ces occasions se trouvent toujours quand on les cherche de bonne foi.

21 Donner un bon conseil ou au moins empêcher une médisance ou un murmure.

22 Faire un peu à ses dépens l'éloge d'une compagne. — Faire au moins tout ce qu'on pourra pour qu'elle brille plus que nous.

23 Employer bien exactement son temps pendant telle étude.

24 S'appliquer courageusement et en esprit d'expiation à la partie des études et à l'ouvrage manuel qu'on aime moins.

25 Être remplie de bonté et de complaisance pour les plus petites compagnes.

26 S'interdire toute dispute, toute contestation pendant la récréation.

27 Demander de balayer la chapelle ou au moins s'offrir à aider celles qui sont chargées d'accomplir cet acte de religion.

28 Éviter dans ses vêtements ce qui pourrait sentir la vanité, et ne pas mettre, tel jour, tel ornement qui n'est pas défendu, mais dont on se pare ordinairement avec complaisance.

29 Mettre toutes ses affaires de classe en bon ordre.

30 Donner, par esprit de pénitence et de détachement, quelques-unes de ces futilités auxquelles on ne s'attache que par vanité, et dont la privation ne doit être sensible qu'à notre égoïsme." Livre de piété de la jeune fille au Pensionnat.

Et les plus courageux : "L’austère austérité consiste à mettre un frein à la nature par les liens d’une mortification rigoureuse, à l’enchaîner comme une criminelle ; contrarie-la en tout : si tu veux manger, bois ; si tu veux boire, mange ; si tu veux parler, tais-toi ; si tu veux te taire, parle… Quand tu te trouves en doute entre deux choses à faire, ne sachant à quoi te résoudre, regarde de quel côté il y a plus de mortification ; parce que là où il y a plus de mortification, il y a plus de perfection." Jésus à Sr Bénigna.

"Que tous les hommes sachent que la grâce arrive après la peine, qu’ils sachent que sans avoir porté le fardeau des afflictions, ils ne peuvent atteindre les hauteurs de la Grâce, qu’ils apprennent que les dons de la Grâce augmentent au fur et à mesure que le fardeau s’alourdit. Que les hommes ne se trompent pas, il n’y a qu’une voie pour rejoindre le Paradis, et la Croix est la seule route pour y accéder." Jésus à Ste Rose de Lima.

Commentaire d'origine – Loiseau

elogofioupiou.com

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12 mars 2023 7 12 /03 /mars /2023 17:00

 Cet article s’adresse aussi aux garçons qu’aux filles

  La plupart des jeunes filles, qui quitter l'école ou le pensionnat, c'est dire un éternel adieu à l'étude, à toutes les études ; c'est fermer pour toujours les livres classiques et tous les traités d'orthographe, de langues, de littérature, d'histoire, de sciences quelconques. Agir ainsi, chacune d'elles pense être libre ; mais il est une étude, une science dont nous allons parler parce qu'on la relègue dans l'oubli avec toutes les autres, par un abus déplorable : c'est l'étude, de la science de la religion.

  Une vraie chrétienne devrait étudier la religion toute sa vie : c'est-à-dire être bien convaincue qu'il lui reste tou­jours beaucoup à apprendre dans cette sublime science, qu'il lui est nécessaire en outre de relire ce qu'elle a appris déjà pour ne pas l'oublier, et enfin qu'elle doit se fortifier de plus en plus dans la connaissance de la religion pour affer­mir sa foi et être à même de la défendre devant les ennemis de l'Église si elle se trouvait obligée à le faire.

   Ajoutons que de toutes les études, de toutes les sciences celle de la religion est la plus noble et la plus importante. Les autres études sont facultatives ; celle-là est indispensa­ble. Et chose triste à dire, c'est souvent l'étude la plus négligée, la moins goûtée. Même chez les catholiques, combien n'ont de la religion qu'une simple teinture, une connaissance très superficielle ! Et cela vient naturellement de ce qu'ils ne l'ont jamais étudiée à fond, qu'ils ont fait passer mille autres choses avant celle-là.

  Comme le remarque judicieusement un auteur, « on croit, dès qu'il s'agit de religion, qu'on en sait toujours assez, et on a les idées les plus étranges des dogmes de l'Église, de ses enseignements, de sa morale même. On fait dire aux prêtres les choses les plus absurdes, les plus ridicules. On en arrive à des préjugés inouïs. Quant aux gens du monde, on ne peut imaginer combien grossières sont leurs erreurs, combien honteuse est leur ignorance. »

  Mais vous, jeune Lectrice, qu'avez-vous à faire ? Vous avez à vous instruire solidement. Et comment y arriverez-vous ? Vous y arriverez par une étude sérieuse et approfondie.

  Mais encore, où ferez-vous cette étude ? Vous la ferez particulièrement au catéchisme de persévérance. Le caté­chisme est l’école de la religion. (Il faut compléter chez soi cette étude par un bon ouvrage de religion, soit un cours d'instruction religieuse, soit le Catéchisme de persévérance de Mgr Gaume, etc. )

  C'est là qu'on apprend à la connaître et à la juger. C'est là qu'elle apparaît sous son véritable jour, dans sa splendeur et dans son immensité.

  Savez-vous, ma chère enfant, ce qu'est la religion catholi­que, à laquelle vous avez le bonheur d'appartenir ? Il n'y a rien dans le monde qui lui ressemble, c'est la plus admira­ble des merveilles.

   La religion catholique existe, personne ne peut le nier ; et, quoique plusieurs disent qu'elle est usée, qu'elle a fait son temps, qu'elle se meurt, elle agit toujours, elle remplit l'univers, elle enseigne, elle commande, elle est pleine de vie.

   En dehors d'elle, il n'y a rien de certain, c'est le doute le plus affreux. Elle seule nous révèle tout ce que nous pouvons désirer savoir sur Dieu, sur la création et sur nous-mêmes.

   En dehors d'elle, où y a-t-il une autorité solide, une loi sacrée, une garantie sociale ? Qui a le droit de parler comme elle et de se faire obéir ? Elle règle nos pensées, nos actions et nos désirs, nous savons par elle ce que nous devons à Dieu, à notre prochain, ce que nous devons à nous-mêmes.

   En dehors d'elle, où est la vertu véritable ? où est la puissance capable de la produire ? Elle seule inspire le courage de la vertu ; elle seule donne la grâce de la porter à sa perfection. Avec elle, nous pouvons être humbles, chastes, résignées ; nous pouvons arriver même à verser notre sang sous la main du bourreau pour confesser notre foi et pour défendre notre vertu.

   Quelle histoire peut-on mettre en parallèle avec l'histoire catholique ? où sont les livres qui renferment ce que ren­ferment la Bible et les saints Évangiles ? Et que dire de Jé­sus-Christ, de sa vie, de ses miracles, de son Église ?

  Non, rien n'est plus grand, rien n'est plus admirable, rien n'est plus digne de notre attention, de notre étude, que la connaissance de notre religion. Il ne faut négliger aucun des moyens qui sont offerts, pour l'avoir aussi complète que possible. Plus on s'y livre, plus l'esprit se dilate, plus le cœur prend d'essor, plus les aspirations deviennent nobles et élevées, plus on domine les misères de ce monde, plus on comprend ses devoirs, et plus on les remplit avec fidélité.   Ne croyez donc jamais connaître assez votre religion, et ne cessez jamais de vous en instruire. Lisez toute votre vie des livres qui vous la fassent voir chaque jour davantage dans ce qu'elle a de merveilleux et de consolant. Assistez, chaque fois que vous le pouvez, aux instructions qui sont faites à l'église. N'oubliez jamais ce qui vous est enseigné : l'oubli de la religion est le plus criminel des oublis.

   A l'heure qu'il est, c'est dans tous les lieux qu'on entend prendre à partie la religion : sa doctrine, son culte, ses minis­tres, tout est attaqué sans trêve ni merci.

   Voilà certes une nouvelle preuve de l'absolue nécessité de bien la connaître, et par conséquent d'en faire une étude approfondie, afin de discerner sans peine ce qu'il y a de faux et d'erroné dans de telles attaques et de ne pas tomber dans le doute ou l'incrédulité si l'on ne voit aucune réponse à faire à ces objections.

    Nous ne conseillons pas toutefois d'engager des discussions avec les impies qui formulent leurs griefs contre le catholi­cisme. Sauf le cas où une femme, une jeune fille serait mise en demeure de dire sa pensée (cas auquel elle devrait affirmer hautement la vérité religieuse) son rôle n'est pas de soute­nir des controverses, et il pourrait se présenter plus d'un inconvénient si elle s'y risquait, surtout n'étant pas par­faitement au courant de ces questions. Mais, pour son propre compte et pour la sauvegarde de sa foi, il est, sinon néces­saire, du moins très avantageux, qu'elle connaisse assez la religion pour démasquer du premier coup le mensonge ou le sophisme. Elle acquerra cette science principalement en consultant un petit traité de défense religieuse, par exem­ple « Le jeune Apologiste ».

Elogofioupiou.com

Extrait des Lectures médités

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11 mars 2023 6 11 /03 /mars /2023 14:46
La liberté ou la déchéance et la mort

À lire dans mon recueil PDF ICI

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