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Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il perd son âme

31 décembre 2012 1 31 /12 /décembre /2012 12:22

 

         

 

   Une crise financière ? Oh ! Oh !  Pourquoi pas si nécessaire…

 

Lisons bien cet article en y apportant quelques modifications : "Pour emprunter chariot, le consommateur doit apposer sa main dans un logement spécial qui s'y trouve incorporé (comme les enfants le font actuellement au parc de Disneyland). Le lecteur optique lit le code barre de la main, gravé au laser. Si tout va bien, c'est-à-dire si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est assez approvisionné ou s'il n'est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin.

 

 A chaque fois qu'il introduit dans son chariot un produit quelconque, le lecteur codes barres du chariot enregistre le prix de cet article. Le paiement s'opère automatiquement par connexion du chariot à une caisse sas de sortie. Le client doit de nouveau apposer sa main dans la caisse enregistreuse, pour que celle-ci puisse établir l'intitulé de la facture ainsi que le numéro du compte. La facture est alors automatiquement faite au vu du total affiché par le lecteur optique du chariot. Le client n'a plus qu'à signer cette facture, etc." !

 

Vous le voyez, il ne reste plus grande chose à faire, matériellement parlant, pour l'établissement du système monétaire 666... Matériellement certes, mais psychologiquement, moralement parlant, il faut encore franchir une barrière. Le système 666 porte tellement, en lui-même, la marque de l'infamie qu'un ultime sursaut d'une certaine partie de l'humanité risquerait fort de se produire, réduisant par le fait même à néant le "Plan" au moment où, justement, celui-ci devait s'accomplir.

 

Il faudra donc un bon "coup de pouce"... Ce dernier palier est d'ailleurs bien connu des mondialistes, et cela est judicieusement rappelé dans "Lectures françaises" Janvier 1992 : "Les hommes n'acceptent le changement que sous l'empire de la nécessité, et ils ne perçoivent la nécessité que lorsqu'ils sont confrontés à la crise". Qui a dit cela ? Jean Monnet, un mondialiste notoire. De même, dans un livre extrêmement bien documenté mais hélas en langue anglaise, "Cashless society : a world without money", Wally Wood Jr. fait remarquer "qu'une crise financière pourrait imposer au monde la transformation spectaculaire envisagée plus haut".

 

Voilà donc le "coup de pouce" prévu par les mondialistes, qui d'ailleurs double, superpose "les peuples du Septentrion" qui pourrait être l'autre "coup de pouce" tout aussi efficace. On se trouve toujours dans l'alternative de l'unification luciférienne du monde, soit made in USA, soit made in URSS. Peut-être d'ailleurs l'un entraînera l'autre, dans la pratique...

 

Une crise financière ? Oh ! Oh ! Il ne faut pas chercher bien loin pour voir d'où elle va venir !... D'ailleurs, n'y sommes-nous pas déjà ? Une crise financière, mais... c'est exactement ce que nous vivons, nous sommes en plein dedans, nous ne cessons, comme par hasard, de nous y enfoncer toujours plus profondément, mois après mois !

 

Car enfin, à quoi correspond l'euphorie boursière dans le contexte de récession que nous vivons ? S'il y a quelque chose d'impressionnant, ce n'est certes pas l'envolée de la Bourse, cette bulle de savon artificiellement gonflée jusqu'à l'éclatement, mais bien sa déconnection avec les réalités économiques américaines et mondiales. Et cela, c'est le chemin tout tracé vers un krach de dimension réellement apocalyptique, laissant loin derrière lui la petite secousse d'octobre 1987, et même la dépression de 1929 ! ....  (Ou le Précipice Budgétaire des USA fin déc. 2012 ?  NDLR)

 

Après avoir vu que le système 666 est une réalité inscrite dans notre temps, il ne nous semble pas inutile d'exposer quelque peu les signes avant-coureurs de la crise financière qui l'imposera au monde entier.

 

Aujourd'hui, personne n'est en mesure d'avoir un jugement sérieux sur l'état réel de l'économie américaine. Dans ce contexte aussi incertain, il serait irresponsable pour les chefs d'entreprise comme pour les particuliers de se mettre en risque de change ou de taux. Les entreprises ne doivent pas risquer leurs résultats commerciaux sur les mouvements erratiques des marchés, etc." (Challenges? mai 1991).

 

Dans un tel climat où tout va de plus en plus vite, dans un sens comme dans un autre, tout devient possible. Cette absence de stabilité, de régularité qui n'a pas sa pareille dans les années boursières passées, sauf dans les moments de... krach, est un des plus mauvais signes qui soient. …

 

Car, si depuis l'après-guerre, les principaux indicateurs réels de la vie économique américaine et mondiale, loin de s'améliorer, n'ont cessé d'être de plus en plus alarmants, la Bourse, pendant ce temps-là, continuait à grimper de plus belle... Dans ces conditions, on peut vraiment s'attendre à tout. Mais voyons d'un peu plus près, ces mauvais indicateurs de l'économie américaine et mondiale, dont on vient de nous parler brièvement. Nous jugerons mieux, après cela, si l'euphorie boursière est justifiée...

 

"Etats-Unis : la récession toujours. La reprise n'est pas au rendez-vous aux Etats-Unis. La croissance est en baisse depuis la fin de l'année dernière" (Ouest-France" du 30 août 1991).

 

"Au Japon, malgré un commerce extérieur toujours dynamique, les Banques sont endettées jusqu'au cou" (Challenges, mai 1991).

 

"Etats-Unis : des écoles en faillite. L'Amérique endettée taille dans les services sociaux. L'État français se bat avec son déficit. Ce n'est rien, pourtant, à côté des Etats-Unis où l'endettement généralisé provoque des "coupes claires" dans les services sociaux et freine la reprise écono­mique. Les difficultés financières de New-York font régulièrement la "une" de la presse locale. D'autres, pourtant, ne vont pas mieux. Philadelphie (le berceau de la nation), Washington (la capitale fédérale), ou encore Détroit (le siège de l'automobile) sont dans une position comparable. A l'échelon supérieur, les cinquante États de l'Union ne sont pas dans une situation plus enviable : les deux tiers d'entre eux sont actuellement gravement endettés. Enfin, en haut de la pyramide, l'État fédéral lui-même est aux abois avec un budget toujours en déficit. Le "trou" budgétaire devrait atteindre 2 000 milliards de francs, soit près de 5 % de la richesse nationale. Cette dégradation en cascade à deux causes majeures. D'une part, un endettement colossal accumulé au cours des années de prospérité (1981-89) sous Reagan et dont l'actuel président Bush a hérité.

 

D'autre part, une crise économique plus longue que prévue. Une crise qui frappe les collectivités locales alors que leurs dépenses à caractère social explosent littéralement [parmi ces dépenses, le journaliste cite les centres de lutte contre le Sida...]. Depuis dix ans, les déficits des collectivités locales connaissent des niveaux records. Au printemps dernier, l'État de Californie, traditionnellement le plus riche, a dû se mettre en "état d'urgence budgétaire" face à un déficit de 78 milliards de Francs. Du jamais vu ! (24 Ouest-France" du 3 septembre 1991).

 

"Etats-Unis : chômeurs sans aide en hausse. Triste record outre-Atlantique : en juillet, les chômeurs sans allocation et sans aucune aide publique étaient plus de 300 000. Du jamais vu aux Etats-Unis depuis la grande dépression des années 30 (...) Selon les experts, la situation pourrait s'aggraver dans les prochains mois"( Ouest-France" du 1er septembre 1991).

(C’était il y a plus de 20 ans, croyez-vous que la situation s’est améliorée. NDLR fin déc. 2012)

 

A suivre…

 

Extrait du livre de Louis de Boanergès,

ACTUALITE DE LA FIN DES TEMPS

En dépôt à D.F.T  (France)

 

elogofioupiou.com     

 

 

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